mardi 16 février 2010

gideon Levy

Il y a 1 mois, j'ai eu la chance de rencontrer Gideon Levy de passage à Lyon, invité par l'Union Juive Française pour la Paix lors d'une tournée française pour la promotion de son livre Gaza, recueil d’articles pour Haaretz, 2006-2009. Il s’agit du seul déplacement en province de ce journaliste du quotidien israélien de référence Haaretz.

La salle de la maison des Passages ce 13 janvier 2010 était noire de monde et son intervention en anglais laissa tout de même plus qu'un sceptique. Au moment des questions, je m'étais même permis une boutade en lui demandant s'il n'était pas un agent du gouvernement israélien pour proner un pessimisme aussi décourageant. Dans la salle, certains n'ont pas apprécié mon humour mais peu importe, j'ai quand même réussi à poser ma question et surtout lui affirmer qu'ici à Lyon capitale de la résistance, nous étions optimistes et que nous croyons à une solution pour le peuple palestinien qui ne soit pas une capitulation. C'est en anglais qu'il était intervenu. C'est donc avec joie que je vous fais partager cet interview qui décrit assez bien ses propos.


Entretien avec Gideon Lévy par Françoise Germain-Robin
Israël n’est pas une démocratie. Sauf pour les juifs  !

Né en 1955, à Tel-Aviv, journaliste israélien et membre de la direction du quotidien Haaretz, Gideon Levy dénonce inlassablement les violations commises contreles Palestiniens et le recours systématique à une violence qui déshumanise les peuples dressés l’un contre l’autre. Gideon Levy occupe une place particulière dans la presse israélienne, celle de l’imprécateur. Ses éditoriaux et ses chroniques dans le quotidien Haaretz sont autant d’actes d’accusation contre la politique d’occupation et de colonisation de son pays, Israël, à l’égard des territoires palestiniens. Il est l’un des rares journalistes à s’être dressé contre la guerre à Gaza.
De passage à Paris, où il présentait le recueil de ses articles publié par Éric Hazan [1], il a accordé un long moment à l’Humanité.


Quand on lit vos articles, on se dit que vous y allez fort dans la critique d’Israël, beaucoup plus que ce que peuvent se permettre la plupart des journalistes français…
Je sais. J’ai donné une fois une interview à TF1 et après cela, le journaliste m’a téléphoné pour s’excuser de ne pas pouvoir diffuser mes propos car s’il le faisait, il serait accusé d’antisémitisme et il aurait des ennuis. J’ai donc de la chance d’être dans un journal qui me laisse toute liberté et qui m’a toujours soutenu, même s’il arrive souvent que des lecteurs protestent et même se désabonnent à cause de mes articles.

Êtes-vous nombreux dans ce cas  ?
Je ne suis pas tout à fait seul mais presque. Il y a aussi Hamira Hass. À part nous deux, je ne vois personne d’autre.

Il y avait aussi Amnon Kapeliouk,
qui était un grand ami et qui est mort l’été dernier.
Oui, il avait ouvert la voie bien longtemps avant moi. Il était à Yediot Aharonot, mais il n’y écrivait plus ces dernières années. Il collaborait encore au Monde diplomatique. Une semaine avant sa mort, il a demandé à me parler et je lui ai téléphoné, mais son esprit n’était déjà plus là.

Pourquoi occupez-vous une place si particulière ? Est-ce en raison de votre formation ?
Non. Il n’y a qu’une seule raison à mon attitude. À la fin des années 1980, au moment de la première Intifada, j’ai commencé à visiter les territoires occupés, à la fois la Cisjordanie et la bande de Gaza. Semaine après semaine, j’ai réalisé qu’il se passait là un drame, mais un drame dont personne en Israël ne voulait entendre parler. Si je n’étais pas allé dans les territoires occupés à ce moment-là, je ne serais pas devenu ce que je suis. Je serais comme la majorité des Israéliens.

Votre milieu familial était-il de gauche  ?
Absolument pas. À la différence d’Hamira Hass, dont la famille était communiste, je viens d’une famille totalement apolitique. Mes parents venaient d’Europe et appartenaient à la classe moyenne. Mon père était un Allemand des Sudètes, un réfugié typique. Il a vécu soixante ans en Israël sans réussir à y trouver sa place. Il avait tout laissé là-bas, sa vie, ses parents, sa fiancée. Il avait fait du droit mais n’a pas pu le pratiquer en Israël, c’était trop différent. Il a travaillé dans une ferme. Mais il ne parlait jamais de tout cela. Il avait fermé la porte du passé et ne voulait surtout pas l’ouvrir. Il était traumatisé par son exil. Il a rencontré ma mère en Israël. Elle était née en Tchécoslovaquie et était venue en 1939, à l’âge de seize ans. Ils se sont rencontrés en 1945. Elle était infirmière mais n’a jamais exercé. On parlait allemand à la maison. Mais on ne parlait ni du passé ni de politique.

Où êtes-vous né  ?
À Tel-Aviv. J’aime cette ville. C’est ma ville. Il s’y passe beaucoup de choses, c’est très vivant. C’est à la fois une Babel et une bulle. J’ai besoin de cette bulle pour me ressourcer quand je reviens des territoires, à la différence d’Hamira Hass qui vit à Ramallah et qui déteste Tel-Aviv. Moi, j’en ai besoin. De son agitation, de ses cafés, de sa culture, de son ambiance. Beaucoup de ceux qui viennent manifester leur solidarité avec les Palestiniens ne vont jamais à Tel-Aviv, ils se contentent de passer par l’aéroport. C’est un tort. C’est très différent de Jérusalem, où la tension est permanente  : entre Ashkénazes et Séfarades, entre laïcs et religieux, avec les Palestiniens. Où que l’on se tourne, à Jérusalem, cela sent l’occupation.

Comment êtes-vous devenu journaliste  ?
C’était un de mes rêves d’enfant  : je voulais être chauffeur de bus, premier ministre ou journaliste  ! Alors j’ai fait Sciences-Po et pendant le service militaire, j’ai travaillé pour la télévision de l’armée. Puis j’ai fait une incursion en politique, en travaillant pour Shimon Peres. Cela a duré de 1978 à 1982, à raison de 16 heures par jour  ! À l’époque, il était le chef de l’opposition, j’avais confiance en lui. Maintenant, je sais qu’il a une très grande responsabilité dans la colonisation et dans bien des mauvaises choses. Il montre au monde une belle image d’Israël, mais c’est du bluff. Il n’a pas mérité son prix Nobel de la paix. Comment peut-on parler de paix et en même temps construire des colonies  ? C’est ce qu’il a fait et c’est même lui qui a commencé  : il était ministre de la Défense quand on a construit la première colonie à Hébron et il a laissé faire. Quiconque construit des colonies ne veut pas la paix, ne peut pas être un homme de paix.

Comment expliquez-vous que
la colonisation ait continué après
les accords d’Oslo, qui étaient censés conduire à la paix  ?
Parce qu’il n’y avait pas un mot sur les colonies dans ces accords. C’est une des raisons de leur échec. Je pense que c’est une grosse erreur d’Arafat de n’avoir pas exigé l’arrêt de la colonisation. C’est une erreur que je comprends, car il voulait arriver à quelque chose qui serait construit sur la confiance réciproque, il voyait cela comme un premier pas. Mais c’est une erreur historique, car, à l’époque, cela aurait été plus facile que maintenant de démanteler les colonies  : il y en avait beaucoup moins, même pas la moitié.

Que pensez-vous de cette phrase 
de Mofaz [2] qui dit que vos articles dans Haaretz prouvent qu’Israël est une démocratie  ?
Je n’ai pas entendu cette phrase. Mais ce n’est pas une preuve, et Israël n’est pas une démocratie. Sauf pour les juifs ! Comme juif, c’est vrai, j’ai toute liberté d’écrire ce que je veux. Sans doute plus que je n’en aurai en Europe. Je ne suis pas sûr que si j’avais été citoyen d’un pays européen en guerre, on m’aurait laissé publier un article contre la guerre dès le premier jour. C’est ce que j’ai fait l’an dernier, au premier jour de la guerre contre Gaza.

D’où vient cet amour pour Gaza
que vous proclamez  ? C’est plutôt à contre-courant en Israël…
Ce que j’aime, c’est le peuple de Gaza. C’est un peuple que je trouve très beau. Parce qu’il a tant souffert, depuis si longtemps, et qu’il a su, dans cette misère et ces humiliations qu’on lui a imposées, garder sa dignité et son humanité. La plupart des habitants de Gaza sont des réfugiés de 1948, il ne faut pas l’oublier. Ils ont vécu depuis des décennies des choses horribles et ils ne se sont pas brisés. Ils ne sont pas des grands combattants – de toute façon, que peuvent-ils faire contre la puissance de l’armée israélienne  ? Mais ils résistent en essayant, malgré tout ce qu’ils endurent, de mener une vie normale. Dans ce grand camp de concentration qu’est la bande de Gaza, ils sont très pauvres, mais ils restent humains et chaleureux. Ils sont enfermés mais ils restent ouverts aux autres.

Comment expliquez-vous qu’ils aient voté en majorité pour le Hamas  ?
Parce qu’ils étaient déçus par le Fatah et l’OLP, qui ne leur avaient pas apporté la paix promise, ni la sécurité, ni la fin de l’occupation. Le Hamas était la seule alternative. Les dirigeants du Hamas se présentaient comme plus propres. Ils se donnaient l’image de véritables résistants alors que le Fatah continuait d’accepter des négociations vides de contenu, « pour la galerie », avec Israël. À mon avis, beaucoup ont voté pour le Hamas à regret, par désespoir, parce qu’ils voyaient l’avenir en noir.

Et vous, comment le voyez-vous  ?
En noir, et même en très noir. Pas seulement pour les Palestiniens. Pour nous, Israéliens, aussi. Il n’y a aucune perspective parce qu’Israël n’a payé aucun prix pour l’occupation et la colonisation des territoires palestiniens. Donc, cela va continuer. Il n’y a pas de pression suffisante pour que cela change, ni de l’intérieur où le camp de la paix est très faible, ni de l’extérieur. Obama a échoué à faire plier Netanyahou et se désintéresse de la question. L’Europe le suit et ne fait rien. Elle porte une très lourde responsabilité dans ce qui est arrivé à Gaza et dans la poursuite du blocus qui étrangle un million et demi de Palestiniens. Elle leur avait promis qu’il serait levé, qu’il y aurait des fonds et des moyens pour la reconstruction. Il n’y a toujours rien et Gaza est à nouveau complètement oublié. Va-t-il falloir à nouveau des Kassam pour qu’on s’y intéresse  ? C’est cela qui est terrible.

N’y a-t-il pas un espoir de voir 
la justice internationale s’en mêler après le rapport Goldstone  ?
Non, les États-Unis vont le bloquer. Le rapport dit qu’il y a eu crimes de guerre, ce qui veut dire qu’il y a des criminels de guerre. Normalement, c’est à Israël de les juger, comme le demande le rapport. Mais Israël refuse et c’est donc au monde de le faire. Où est-il aujourd’hui, ce monde qui a applaudi le juge Goldstone quand il s’occupait des Balkans et du Rwanda  ? Pourquoi a-t-il une attitude si différente lorsqu’il s’agit d’Israël  ? C’est pourtant le même juge, avec la même compétence et le même sérieux. Mais les Américains ne le laisseront pas aller jusqu’au bout parce qu’ils soutiennent Israël et parce qu’ils ont peur pour eux-mêmes, à cause de leurs propres crimes en Irak et en Afghanistan.

Où en sont les négociations pour l’échange du soldat Shalit contre des prisonniers palestiniens, parmi lesquels Marwan Barghouti et peut-être aussi Salah Hamouri  ?
Je rappelle qu’il y a 11 000 prisonniers palestiniens dans nos prisons qui, pour la plupart, comme Salah Hamouri, n’ont rien fait et sont des prisonniers politiques. En ce qui concerne Barghouti, je ne suis pas sûr qu’Israël accepte de le libérer. Netanyahou le considère comme une menace car il peut devenir un partenaire pour la paix. Je le connais très bien. Nous sommes allés ensemble à Strasbourg et en Espagne après Oslo. C’est un véritable homme de paix, mais il a toujours dit  : « Si vous ne voulez pas cesser l’occupation, nous mènerons la lutte armée. » Je crois que lui seul est capable de réunifier les Palestiniens, mais je ne suis pas sûr qu’Abou Mazen tienne beaucoup à le voir libre.

Votre pessimisme est donc total  ?
Non. Je crois qu’il faut être réaliste et croire au miracle. Et aussi qu’il faut agir, qu’il faut continuer de harceler Israël, piquer sa peau d’éléphant en multipliant les campagnes de solidarité, en alertant l’opinion.
Entretien réalisé par Françoise Germain-Robin
[1] Gaza, articles pour Haaretz, 2006-2009, de Gideon Levy, traduits de l’hébreu par Catherine Neuve-Eglise. Éditions la Fabrique, 240 pages, 14 euros.
[2] Shaoul Mofaz, général, ancien ministre de la Défense et ancien chef d’état-major sous Sharon, est aujourd’hui le numéro deux du parti Kadima de Tzipi Livni. Il est l’auteur d’un plan de paix prévoyant la création provisoire d’un État palestinien dont les frontières deviendraient définitives dans trois ans.
Source: L'Humanité


extraits de la conférence donnée à Lyon




dernier extrait où on s'en prend à moi parce que certains ne savent pas ce qu'est l'humour.

lundi 15 février 2010

Musique et religion: l'art d'en imposer

Il y a quelques mois suite à la projection d'un film qui parlait des problèmes de communicatoin entre Israéliens et Palestiniens, le réalisateur considérait que la politique et la religion ne menaient à rien et qu'il y avait un espoir à travers la musique pour rapporcher les 2 populations. J'en avais parlé avec un rep...résentant culturel de ma commune et il m'avait ouvert les yeux sur un domaine que j'ignorais totalement et qui était l'impact religieux sur le domaine de la musique. Il m'avait orienté vers la lecture d'Edward Saïd ' éminent intellectuel palestinien décédé il y a peu de temps. Mes recherches permanentes m'ont amené vers le lien suivant qui raconte l'histoire des chants en a capella lien.
Aujourd'hui, j'ai franchi une autre étape avec l'histoire des notes de musique grâce à ce lien

dimanche 14 février 2010

BHL haché menu; Pour une fois ça m'a fait plaisir

Voici l'extrait concernant l'échange. Pour une fois Zemmour m'a plu. vous me direz toute personne qui aurait dit ses 4 vérités face au propagandiste affabulateur sioniste aurait été la bienvenue. Il a bien essayé de sortir ses jockers classiques qui quand ça concerne BHL, n'ont plus aucune valeur. en la personne de Zemmour et un moins sévère Nolleau, il n'a pas fait long feu. Il était même un moment dubitatif. Il ne savait plus à qui il avait affaire. Il ne pouvait même pas le pauvre lui dégainé : vous êtes un antisémite. Il était mal à l'aise et même son classique petite frappe contre les musulmans se retourna contre lui. allez monsieur BHL, c'est pour quand le prochain rendez vous qu'on puisse se payer de votre tête.

Il en n'était pas à sa première humiliation BHL. Il doit aimer ça. jetez un coup d'oeil sur ce lien



bhl zemmour nolleau debat(1/2)
par gamahucher





Bhl zemmour nolleau debat (2/2)
par gamahucher

vendredi 12 février 2010

Sarko premier: bientôt 3 ans qu'on se le farcit


Nicolas Sarkozy va bientôt souffler ses 3 bougies à la tête de la France. Il avait fait de belles promesses et ce matin , j'apprenais que le PIB faisait un plongeon . Les journalistes qui ont depuis longtemps oublié leur métier et ont appris sans qu'il ait eu besoin de leur forcer la main l'auto -censure se sont vite dépêchés de dire que la baisse concernait toute l'Europe. Hyper rassurant, On coule mais on n'est pas seul. On se rassure comme on peu. Personne au sein de la pseudo majorité pour questionner sieur Sarko et lui demander s'il faut tenir le cap. quant à l'opposition, elle essaye juste d'être présentable pour les élections à venir et se réjouit presque de voir la France se casser la figure. Ne pensez pas pas que c'est par cynisme. L'opposition n'a rien à proposer. elle ne fait que jouer son rôle malsain de contradicteur et attendre dans les coulisses son tour aux rennes du pouvoir pour reprendre à nouveau à zéro les éternelles réformes dont l'un des objectifs non avoué est de laisser son nom pour la postérité. Et on s'étonne des taux d'abstention. Sarko n'a pas encore soufflé ses 3 bougies que déjà tous les chacals se bousculent pour la présidentielle qui aura lieu dans plus de 1000 jours .

Mais au fait lorsque un candidat se présente pour l'élection présidentielle, il est sensé être irréprochable. Il doit bien aussi présenter un CV, un peu comme quand on postule pour un emploi dans une entreprise. Il doit bien y avoir une commission pour juger que le candidat est apte physiquement et mentalement à postuler pour celle lourde fonction. Est on bien sûr que toutes ces précautions aient été prises pour sieur Sarko premier. si ce que vous allez lire par la suite, s'avère exact, hé bien je dirai non et qu'on s'est fait bien et bel arnaqué.


Mais pourquoi tant de haine envers le corps enseignant en général et les chercheurs en particulier ? Tout simplement parce que Notre Majesté souffre du complexe du cancre parvenu. Président médiocre, il fut par le passé élève médiocre, bachelier médiocre et étudiant médiocre. Mais aucune trace de cette médiocrité dans son curriculum vitae. Et pour cause, il l'a customisé, l'animal. Officiellement Notre Souverain Eclairé serait titulaire d'une maîtrise de droit privé, d'un certificat d’aptitude à la profession d’avocat, d'un DEA de sciences politiques obtenu avec mention et aurait fait des études à l’Institut d’Etudes politiques de Paris. Waouh !
> >
> > Mais alors pourquoi est-il aussi nul ? Tout simplement parce que la plupart de ces titres universitaires sont faux. Une enquête menée par Alain Garrigou, professeur de sciences politiques à Nanterre le prouve :
> > http://www.fondation-copernic.org/spip.php?article219
> > En parcourant l'annuaire des anciens élèves de Sciences Po, il a pu constater que Sarkozy de Nagy Bosca n'y figure pas, ce qui signifie qu'il n'a pas mené ses études à leur terme et ne peut donc se parer du titre d'ancien élève réservé aux seuls diplômés. Et son DEA ? Pourquoi n'en trouve-t-on aucune trace dans les archives de Paris X Nanterre ? Tout simplement parce que si le candidat Sarkozy apparaît bien dans le procès verbal de la première session, il est ajourné pour ne pas s'être présenté à l’épreuve écrite terminale et n’avoir pas rendu son mémoire.
> > Et son certificat d'aptitude à la profession d'avocat ? Obtenu sur le fil avec la note médiocre de 20 /40 (7/20 à la première épreuve et 13/20 à la seconde).
> > Mais rappelons aussi, pour compléter le tableau, les notes obtenues au bac par le candidat 18917 en 1973 (Jury 80, lycée Molière) : 7/20 à l'épreuve écrite de français et 12 à l'oral (voilà pourquoi il s'exprime toujours dans un idiome approximatif), 9/20 en philo, 8/20 en maths (il a néanmoins su s'augmenter de 200 % !), 10/20 en anglais ("magnifical" s'exclama-t-il un jour en présence de la reine d'Angleterre) et 11/20 en économie (on n'est pas sortis de la crise !). Avec 142 points sur 300, le médiocre petit candidat fut recalé et fut obligé de se présenter au repêchage. Ne nous étonnons donc plus des propos méprisants qui sortent de la bouche de ce vilain petit personnage médiocre et rancunier qui a tant souffert de ne jamais avoir été reconnu à sa juste valeur par ses professeurs.

mardi 2 février 2010

Poètes pour Haïti


Chers amis,

Enfin, pour aider Haïti, Poètes pour Haïti, le tout premier livre humanitaire en ligne, est né.

Il regroupe des textes de plusieurs poètes du monde.

Nous citerons quelques 50 contributeurs généreux qui ont livré des textes forts, emplis de chaleur et d'espérance
pour Haïti :

Xavier Bordas, Arnaud Delcorte, Kenzy Dib, David Giannoni, José Lemoigne, Jean-Yves Loude, Alain Mabanckou, Paul N'Zo Mono, Ernest Pépin, Dana Shismanian, Julienne Salvat, Philippe Tancelin, Erkut Tokman, Khal Torabully, Farah Willem...

Il est important que vous en preniez connaissance et de le diffuser auprès de vos amis et dans vos réseaux.

Vous trouverez l'adresse du site ci-après.
Et une affiche ci-attachée.Merci de participer, par le biais de la littérature, au secours et à la reconstruction de ce pays éprouvé.

Au plaisir de la suite de ce contact renoué...

Je sais que vous êtes là, dans ce projet créatif, porteur d'avenirs...
Bien proche,