mercredi 16 mai 2012

Mission accomplie pour Najat Vallaud-Belkacem

Elle revient de loin Najat Belkacem porte parole de Ségolène Royale, elle réussit certainement grâce aux appuis de Gérard Collomb à  se positionner dans l'équipe de campagne de François Hollande ce qui lui offrait automatiquement une place au gouvernement bien méritée au vu de son parcours sans faille dans la ville de Lyon même si le début de son mandat comme conseillère générale ne fut pas évident.

L'article qui peut ébranler Najat maintenant exposée aux feux de l'actualité. Peut on être à la tête du ministère des droits de la femme et au service du roi du Maroc dans un pays où le PJD est aux commandes du pays. Un dilemme qu'elle va bien être obligée de résoudre en démissionnant de l'un des postes.

http://voxmaroc.blog.lemonde.fr/category/portrait




Droit des femmes et porte-parole du gouvernement

Najat Vallaud-Belkacem

Porte-parole de Ségolène Royal en 2007 puis de François Hollande en 2012, cette élue lyonnaise couvée par le maire, Gérard Collomb, vole aujourd’hui de ses propres ailes. Jeune espoir de la génération Hollande, engagée dans un combat législatif courageux dans la circonscription historique de Raymond Barre, elle devrait connaître à 34 ans, sa première expérience ministérielle.

En 2002, elle n’avait pas voté. Dix ans plus tard, la voilà au gouvernement. Où elle sera sûrement la benjamine de l’exécutif. Elle ne veut pas être une icône de la diversité, elle s’horripile avec raison quand les journalistes la comparent à Rachida Dati.

Najat Vallaud-Belkacem a été propulsée sur la scène publique lors de la précédente présidentielle, en 2007, quand elle devient porte-parole de Ségolène Royal. Une campagne «dure», confiait-elle récemment mais qui lui a tanné le cuir. «Elle n’est pas stressée ou hystérique, c’est plutôt rare en politique», apprécie l’ancienne candidate PS. Elle parle avec calme et le sourire jamais trop loin. Même si elle est capable de se déchaîner sur twitter.

Najat Vallaud-Belkacem est née au Maroc, deuxième d’une famille qui comptera sept enfants, et a rejoint son père en France, à 4 ans, dans la région d’Amiens. Boursière, elle fait des études de droit, sciences-po où elle rencontre son futur mari... à la bibliothèque. Puis elle rentre au cabinet de Gérard Collomb, le maire de Lyon, qui fait office de mentor pour ses débuts en politique.

En 2004, élue pour la première fois, elle siège à la tribune pour la séance inaugurale du conseil régional Rhône-Alpes. Elle se découvre un «complexe d’imposture», raconte-t-elle dans son portrait de dernière page dans Libé, que chaque nouvelle promotion ranimera. «C’est comme si vous étiez à un mariage où vous n’êtes pas invité : vous avez toujours peur que quelqu’un vous dise qu’il faut partir, que vous n’êtes pas à votre place.» Aujourd’hui, elle a trouvé une place.


Elle ne passa pas inaperçue lors de la campagne de Ségolène royale aux primaires socialistes.

 http://parolededemocrate.blogspot.fr/2010/10/cest-qui-le-prochain.html



et de François Hollande pour les présidentielles


elle eut le droit à un morceau de tarte à la crème






 






Ses positions sur le Hamas sont claires

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