jeudi 25 octobre 2012

Quelle position adopter face au drame syrien

Qui sont ces gens dont certains sont des intellectuels et pas des moindre qui ne se nourrissent pas d'histoires de complots matin , midi et soir et qui pensent que bashar est un héros comme avant, ils pensaient que khadafi était un ange ?
Des intoxiqués des lectures de collon l'imposteur ou de meyssan l'agent de Damas quand ce n'est pas les lectures d'infosyrie, site du facho chatillon . Je pense qu'il n'y a rien à espérer de cette catégorie qui a pris fait et cause pour bashar même s'ils ne l'avouent pas parce que ça fait mauvais effet de soutenir un dictateur sanguinaire alors ils préfèrent critiquer les rebelles, les traitant ouvertement d'islamo sionistes wahabites salafistes à la solde des usa et du petit , tout petit Qatar. Par contre ils ne diront pas vive bashar, ça nuirait à l'image humaniste qu'ils voudraient se donner. Mais vous ne trouverez jamais la moindre critique du régime de bashar, jamais la moindre dénonciation des massacres de bashar et même mieux, le premier charlot journaliste qui dira que c'est un crime des rebelles malgré les preuves effarantes du contraire , ils sauteront sur cette information pour justifier leur position de prudence et feront une grande publicité de ce fake.
Et même si la piste du fake ne convainc même pas les serviteurs du régime, vous ne lirez jamais une dépêche de reconnaissance de leurs "erreurs". Difficile de se ridiculiser en avouant une erreur d'appréciation qui ne pourrait que les grandir.
On nage en plein dans l'hypocrisie et la mauvaise foi et le comble, c'est quand des individus qui n'ont aucune notion de géopolitique essayent de vous convaincre que vous êtes intoxiqués. L'hôpital qui se fout de la charité. Michel Collon, le spécialiste du mensonge permanent qui se permet de critiquer les médias qu'il nome mainstream 'ça fait chic d'utiliser du franglan' et qui en terme de propagande et de mensonge bat des records et ne se mettra jamais en question.
On pouvait admettre tout au début que les sceptiques  étaient pour certains, pas au fait de la situation et que le doute était permis.
Mais aujourd'hui se taire ou soutenir le régime de Bashar est tout simplement criminel au mieux faire acte de complicité active ou passive selon son degré d'implication dans le soutien au régime terroriste de bashar el assad.


Il s'agit de mon opinion personnelle qui n'engage que moi.




Pour certains humanistes anti bashar comme Jean Bricmont, "toute ingérence humanitaire en Syrie n'est qu'une ingérence militaire déguisée, l'humanitaire n'étant que son cheval de Troie".
En conclusion, n'envoyons aucun secours, pas d'empêchement à l'aviation syrienne de bombarder les villes, pas de forces de protection et surtout pas d'armes pour se défendre. Laissons la coopération militaire entre les pouvoirs syriens, russ
es, iraniens se développer dans le cadre de coopérations militaires entre états souverains et surtout laissons le dictateur bashar éliminer quelques centaines de milliers de syriens, et détruire les villes rebelles. Pour ces humanistes de salon, il restera toujours une majorité pour s'incliner et tout rentrera dans l'ordre. Si on devait bien les écouter, il faudrait conseiller aux peuples de ne jamais se révolter et d'être de gentils citoyens bien dociles et obéir à son dictateur ou son roi descendant d'un prophète ou pas. Il faudra dire aux peuples tentés par la révolte que la politique ce n'est pas un jeu d'enfants et qu'il est réservé à des gens sérieux même si ces gens sont corrompus jusqu'à la moelle.

A écouter ces humanistes de salon , les peuples colonisés auraient du rester sous la soumission des puissances coloniales qui elles seules étaient capables de dire ce qui leurs était bon ou pas.

Mais ces humanistes savent bien se défendre et ils sortiront l'exemple irakien qui n'a rien à voir . "Quand en Irak, les chiites s'étaient révoltés en 1991, personne n'est intervenu pour les secourir et quand en 2003, les usa sans l'accord de l'Onu est intervenu personne ne les ont appelés.

Ils sortiront aussi l'exemple Afghan . Je répondrai la même chose et celui qui qui avait appelé à l'aide, le commandant Massoud, a été éliminé , Dieu sait par qui.
Et en Afghanistan, c'était une invasion militaire pour déloger un régime pas pour faire de l'aide humanitaire.

Il y a aussi le cas Libyen. Pour ce cas, je dirai bon débarras pour la Libye et la région sauf si on apprécie le violeur en série Muammar Khadafi . On a évité à la Libye, le désastre Syrien et ceux qui avancent des bilans farfelus qu'ils donnent des infos certifiées et sures et qu'ils arrêtent de s'appuyer sur les méga mensonges d'un certain Michel Collon .

Les Syriens, aujourd'hui, ne veulent plus rien de personne juste qu'on les laisse se défendre contre un monstre. Ils n'ont que faire de l'occident qui roule pour ses intérêts mais considérer que l'ingérence humanitaire est le cheval de Troie de l'ingérence militaire, c'est un peu fort quand on se dit humaniste.

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