vendredi 5 décembre 2008

Des enfants raflés à l'école

Je fais suivre un message pathétique;

Alors que partout en France on décore les villes pour l'arrivée des fêtes .
A Lyon cette nuit tout le monde sera dans la rue pour le début des festivités.
Dans le même temps l'ombre de la période vichiiste s'installe partout.
La France, un peu plus tous les jours perd son honneur et sa dignité sous l'ère sarkoziste.
Aucune ville n'est épargnée . A Grenoble, le maire est de gauche et pourtant, c'est dans sa ville que les faits cités plus bas se sont produits.
nous sommes en Hiver, le froid s'installe partout les enfants écrivent au père Noël et partout les forces de police traquent l'étranger, humilient notre jeunesse 'évènements du Gers' , le pouvoir distribuent des chèques en blanc à ceux qui sont co-responsables du fiasco économique et qui par leur incompétance font plonger dasn la torpeur des dizaines de milliers de citoyens.
Oui aujourd'hui, je ne sais pas si on va pouvoir être à la fête.
Je vous invite à faire suivre l'article qui suit partout afin que nul dans ce pays ne puisse dire, 'Je ne savais pas'.


Date: Mon, 1 Dec 2008 15:59:39 +0100> > >

Une première en Isère : des enfants raflés à l'école>
> Bonsoir,> Hier s'est produit un fait très grave à l'école du Jardin de> Ville, à> Grenoble. A 15h45, un père de quatre enfants (un moins de trois> ans, deux> scolarisés en maternelle et un en CE1 à l'école du Jardin de> Ville) est> venu, accompagné de deux policiers en civil, chercher ses> enfants, pour "un> rendez-vous en préfecture", ont compris les enseignants. A 19h,> on apprenait> que la famille au complet était au centre de rétention de Lyon.> Ils y ont dormi. Ils étaient injoignables hier soir. On a réussi> à les> joindre tôt ce matin aux cabines téléphoniques du centre de> rétention (qui,> rappelons-le, est une prison). Ils étaient paniqués. On a> prévenu le centre> que la CIMADE, seule association ayant le droit d'entrer dans> les centres de> rétention, irait voir la famille ce matin. Arrivés au centre,> les militants> de la CIMADE les ont cherchés, sans succès : la famille était en> route pour> l'aéroport, leur avion décollant une demi-heure plus tard.> Nous n'avons rien pu faire, nous attendions que les militants> des la Cimade> comprennent la situation de la famille, afin de pouvoir les aider en> connaissance de cause. Ils ont été expulsés ce matin.> Leurs chaises d'école resteront vides.> C'est une première en Isère : la traque des étranger-e-s pénètre> dans les> écoles.> Les seuls enfants en situation irrégulière sont ceux qui ne sont> pas à> l'école.>

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