Aujourd'hui ciel bleu à l'horizon et au dessus de ma tête. Cela fait des mois que je n'ai pas connu un dimanche aussi zen. Pourvu que ça dure. 3 échéances électorales que je vais suivre de très près. Les législatives en France qui verront dans mon département l'élection de la première députée non blanche de tous les temps et c'est une amie Hélène Geoffroy que je salue au passage. La question crucial sera de savoir combien d'élus frontistes seront élus. A la différence de beaucoup et même si ça choque, je considère qu'il s'agit d'élus républicains et démocrates et même si le bleu est ma couleur préférée, je ne partage pas un soupçon de l'idéologie frontiste représentée par Marine Le Pen. Mais arrêtons de considérer les frontistes comme des parias de la politique française, ils font parti de l'échiquier politique, ils sont la troisième force du pays. Plutôt que passer son temps à les diaboliser et sans pour autant banaliser leur score, la démocratie, ce n'est pas l'alternance umps, c'est aussi le risque de voir le FN au pouvoir. Combattons le à coup d'arguments et laissons ces histoires de diables de côté.
La gauche l'emportera haut la main, la question est de savoir si le PS aura la majoruté absolue et combien d'élus le FN alignera à l'assemblée. Ses chances d'avoir entre 3 et 4 élus sont très fortes.
La seconde élection qui s'avère cruciale est l'élection pour le second tour des présidentielles égyptiennes. Qui l'emportera: le candidat du peuple ou le candidat de l'armée. Pour le premier même s'il est considéré comme le candidat des frères Musulmans, aujourd'hui il incarne plus le peuple qu'autre chose et à la suite de l'annulation des élections législatives égyptiennes qui représente une véritable surprise, il est à craindre que la victoire du candidat de l'armée Monsieur Ahmed chafik face au candidat du peuple Mohamed Morsi soit annonciateur d'une crise très grave qui pourrait s'achever en une véritable guerre civile et certainement un coup d'état en règle comme cela s'est produit en Algérie début 1992, il y a exactement 20 ans.
La troisième élection qui se déroule en Grèce qui n'est que la reprise de la précédente qui avait un blocage des institutions peut aussi changer totalement l'avenir de l'Europe et l'écroulement du château EURO. Si la gauche qu'on appelle radicale et que préfère nommée populaire l'emporte, la Grèce quitera certainement la zone euro avec des conséquences sur l'ensemble du bassin sud de l'Europe mais si la droite dure l'emporte, la Grèce restera. tout reste à jouer .
La soirée s'annonce chaude et palpitante et malgré l'enjeu de ces 3 élections, je ne peux m'empêcher de penser au peuple syrien soumis aux bombardements meurtriers de l'armée criminelle de Bashar el Assad. Plus de 60 morts hier encore. Les observateurs de l'Onu qui depuis avril n'ont constaté aucun respect de cessez le feu, jettent l'éponge et se retire. Ils laissent Bashar massacrer sans témoins si ce n'est ces citoyens reporters cibles privilégiées des pro bashar.
La gauche l'emportera haut la main, la question est de savoir si le PS aura la majoruté absolue et combien d'élus le FN alignera à l'assemblée. Ses chances d'avoir entre 3 et 4 élus sont très fortes.
La seconde élection qui s'avère cruciale est l'élection pour le second tour des présidentielles égyptiennes. Qui l'emportera: le candidat du peuple ou le candidat de l'armée. Pour le premier même s'il est considéré comme le candidat des frères Musulmans, aujourd'hui il incarne plus le peuple qu'autre chose et à la suite de l'annulation des élections législatives égyptiennes qui représente une véritable surprise, il est à craindre que la victoire du candidat de l'armée Monsieur Ahmed chafik face au candidat du peuple Mohamed Morsi soit annonciateur d'une crise très grave qui pourrait s'achever en une véritable guerre civile et certainement un coup d'état en règle comme cela s'est produit en Algérie début 1992, il y a exactement 20 ans.
La troisième élection qui se déroule en Grèce qui n'est que la reprise de la précédente qui avait un blocage des institutions peut aussi changer totalement l'avenir de l'Europe et l'écroulement du château EURO. Si la gauche qu'on appelle radicale et que préfère nommée populaire l'emporte, la Grèce quitera certainement la zone euro avec des conséquences sur l'ensemble du bassin sud de l'Europe mais si la droite dure l'emporte, la Grèce restera. tout reste à jouer .
La soirée s'annonce chaude et palpitante et malgré l'enjeu de ces 3 élections, je ne peux m'empêcher de penser au peuple syrien soumis aux bombardements meurtriers de l'armée criminelle de Bashar el Assad. Plus de 60 morts hier encore. Les observateurs de l'Onu qui depuis avril n'ont constaté aucun respect de cessez le feu, jettent l'éponge et se retire. Ils laissent Bashar massacrer sans témoins si ce n'est ces citoyens reporters cibles privilégiées des pro bashar.
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