samedi 4 août 2012

Il faut aider le peuple syrien

La guerre en Syrie dure depuis mars 2011. Depuis que le dictateur de Damas, Bashar El Assad avait décidé de réprimer par les armes toute tentative de fomenter des troubles. Le dictateur en chef pensait par une répression ferme enlever dans la tête du peuple syrien toute envie de reproduire une révolution dans le pays mais il fait le contraire de ce qu'il fallait faire.
Il a maladroitement réagi en envoyant la troupe et ses milices armées contre le peuple et a entraîné le pays dans une spirale de violence à montée exponentielle provoquant la désertion de milliers de soldats et officiers supérieurs et transformant les centaines de manifestations pacifiques en opposition armée à laquelle bashar a répondu par encore plus de destructions, souffrances et massacres pour rendre toute tentative de normalisation impossible avec lui à la tête de l'Etat. Bashar a fait comme beaucoup de dictateurs avant lui ou d'états colonialistes. Il a usé de la répression en espérant tétaniser le peuple syrien comme l'a fait son père avec Hama en 1982.

Depuis quelques semaines, la situation s'est extrêmement aggravée et pratiquement, c'est tout le pays qui est touché dont l'effet visible en dehors des massacres et destructions est l'exode massif de milliers de syriens vers les états frontaliers: Liban, Turquie et Syrie mais aussi l'Algérie. 

Je vais étudier la situation pays par pays mais avant tout, je vais lancer un appel.


 Depuis le début de la révolte, de nombreux syriens ont été arrêtés, torturés, et contraints par la violence d’abjurer oralement leur religion et de renier leurs croyances. Dans certains quartiers, les miliciens du régime tuent, violent, et pillent, puis laissent des inscriptions sur les murs visant à insulter l’identité religieuse de leurs victimes. Cette politique d’humiliation des consciences constitue une violation très grave des droits humains les plus fondamentaux, et s’ajoute à la longue liste des exactions commises par le régime. La liberté de conscience et de religion est un droit fondamental, défendons-le."


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