mardi 13 septembre 2022

MERE TERESA , le démon déguisé en ange



 http://fluctuat.premiere.fr/Societe/News/Des-chercheurs-s-attaquent-au-mythe-de-Mere-Teresa-3679850

 https://www.youtube.com/watch?v=M0RSQ4UQjMg

 http://www.monde-diplomatique.fr/1996/11/HITCHENS/5888

 http://www.bladi.net/forum/threads/mere-teresa-etait-escroc.221534/

 http://www.lematin.ch/.../mere-teresa-sainte/story/19474634

 http://fr.video.canoe.tv/video/en-vedette/en-vedette-aujourdhui/1906868890/le-cote-tenebreux-de-mere-teresa-entrevue/2184989238001

 http://www.atlantico.fr/pepites/et-mere-teresa-etait-pas-sainte-que-658128.html

 http://atheisme.org/hitchens.html

Tellement exclusif que La Croix, en mars 2003, publiait un extrait des conférences de Carême du Cardinal Poupard qui – Dieu du Ciel ! – faisait longuement état de cette »nuit« .
« Cinq ans seulement après sa mort, ce qui est tout à fait exceptionnel, le pape Jean-Paul II va la béatifier le 19 octobre prochain. La vie de Mère Teresa, un long fleuve tranquille? Une vie de joie intérieure couronnée de succès fulgurants, pourrions-nous croire. Il n’en est rien. «Mon sourire est un grand manteau qui couvre une multitude de douleurs, écrivait-elle en juillet 1958. Tout le temps à sourire. Les Sœurs et les gens pensent que ma foi, mon espérance, mon amour me comblent en profondeur, et que l’intimité avec Dieu et l’union avec Sa volonté imprègnent mon cœur. Si seulement ils pouvaient savoir.» Aujourd’hui seulement nous savons, par la documentation réunie pour son procès de béatification, ce que recouvrait cette confidence dramatique. Nous disposons maintenant de sa correspondance inédite avec les Pères jésuites, Céleste Van Exem et Joseph Neuner, qui furent ses confesseurs, et avec l’archevêque de Calcutta, Ferdinand Périer, et son successeur, le cardinal Lawrence Picachy. Elle nous livre son secret, caché même à ses plus intimes collaboratrices qui n’ont jamais rien soupçonné: dix-huit mois de dialogue ininterrompu avec Jésus, une voix intérieure qui lui inspire, bien plus qui lui commande de créer un ordre nouveau pour aller avec Lui et pour Lui vers les plus pauvres. Et ensuite, un demi-siècle de nuit obscure, avec seulement un mois de lumière en octobre 1958 où, dans l’oppression de son abandon spirituel, elle obtient un signe de sa présence cachée. Tout le reste du temps, et ce temps, c’est un demi-siècle, elle vit la foi dans l’épreuve, comme Thérèse de Lisieux dont elle a voulu prendre le nom: «J’éprouve que Dieu n’est pas Dieu, qu’Il n’existe pas vraiment. C’est en moi de terribles ténèbres. Comme si tout était mort, en moi, car tout est glacial. C’est seulement la foi aveugle qui me transporte, parce que, en vérité, tout est obscurité pour moi. Parfois, l’agonie de la désolation est si grande et en même temps le vif espoir de l’Absent si profond, que l’unique prière que je réussisse encore à réciter, c’est: «Cœur sacré de Jésus, je me confie en Toi. Je comblerai ta soif d’âmes.» Aujourd’hui, j’ai ressenti une joie profonde : parce que Jésus ne peut plus vivre directement l’agonie, Il désire la vivre à travers moi. Je m’abandonne plus que jamais à Lui.»

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