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lundi 23 janvier 2012
mardi 15 février 2011
Ce n'est pas faute de volonté mais l'Algérie, ce n'est pas facile
Fort des milliards de dollars qu'il contrôle.
Fort du fait qu'il contrôle l'ensemble des rouages du pays
Fort parce qu'il agite le spectre de la guerre civile
Fort parce qu'il s'appuie sur une partie de la population encore sous le choc des années noires
et qui n'a que faire de la démocratie et qui se contente des miettes du pays
et il n'empêche que nous avons le devoir de ne pas laisser tomber notre action en vue de la démocratisation du pays parce qu'il est inconcevable qu'un pays comme l'Algérie peuplé de plus de 35 Millions d'habitants puisse au XXI ième siècle être pris en ôtage par une bande d'individus qui ne tire sa légitimité que par la force des armes.
nous avons le devoir moral de lever la tête et de tout faire pour que le peuple algérien puisse s'exprimer sur son avenir, son mode de gouvernance , son avenir en respect pour son passé mais aussi pour poursuivre le combat qu'il a mené contre la colonisation et qui n'est toujors pas achevé.
Il n'est pas acceptable qu'un pays aussi riche puisse tolérer en son sein une misère indescriptible d'une grande partie de sa population et de voir sa jeunesse ne rêver que d'exode pour ne pas sombrer dans la folie du néant.
Plusieurs actions ont été entreprises afin d'amener le pays vers une voie démocratique; ces actions ont été systématiquement réprimées par la police et dénnoncées par une partie de la population .
Les citoyens qui manifestaient leur désir de vivre libre dans un pays démocratique ont été considérés comme d'habitude d'agents de l'étranger. Il n'empêche, il nous faut continuer à nous mobiliser dans un cadre citoyen, pacifique en tentant de rassembler autant que faire se peut l'ensemble de la société civile à travers tout le pays pour amener à passer d'un régime totalitaire à un régime libre et démocratique au service du peuple.
quelques vidéos et appels pour compléter cet article
Appel à manifester le 18 février 2011
http://www.facebook.com/#!/event.php?eid=188284437872118
Appel à manifester le 18 février 2011
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vendredi 31 décembre 2010
La démocratie balbutie en Côte d'Ivoire
Mon intérêt pour l'expression démocratique en Afrique ne date pas d'aujourd'hui. Il a toujours été présent et pour avoir longtemps et souvent échangé sur le sujet avec mes amis Africains, chaque évènement électoral en Afrique a toujours été pour moi un moment important. Au moment de la décolonisation même si les peuples africains rêvaient de liberté et d'égalité, ils ont du rapidement déchantés et pendant des années se plier aux règles de la Françafrique avec des dictatures soutenues par la force des armes par la France. Toute opposition était vouée à se taire ou à disparaître. Il a fallu attendre en réalité la chute du mur de berlin et l'effondrement de l'Union Soviétique pour assister à une soif de démocratie et une volonté plus soutenue des classes moyennes et des classes populaires de ne plus se laisser dicter leur destin par des dictatures souvent familiales soutenues par des forces étrangères qui agissaient en fonction de leurs intérêts. La France fait parti des pays qui ont longtemps soutenu les pires dictatures quitte à fomenter des coups d'états pour placer ses pions et la France commence aujourd'hui à prendre conscience des conséquences de cette situation où le manque de démocratie impliquait corruption, misère et exploitation des richesses des pays qui faisaient parti des zones sous influence française. Mais la volonté de démocratie est toujours aussi forte et face à la non volonté de partager le pouvoir ou de répondre aux attentes des peuples d'Afrique, de nombreuses révoltes ont éclaté un peu partout avec son flot de réfugies et de candidats à l'exil.
Ce qui se passe en Côte d'Ivoire est tout à fait exemplaire et nouveau dans le paysage politique africain.
Pour la première fois , il y consensus entre la quasi majorité des chefs d'états africains pour s'opposer au maintien au pouvoir de Laurent Gbagbo.Pour les chefs d'état africains accepter ce maintien au pouvoir qui s'est fait avec la complicité du président du conseil constitutionnel aurait eu de graves conséquences pour les scrutins à venir.
Ce qui se passe en Côte d'Ivoire est tout à fait exemplaire et nouveau dans le paysage politique africain.
Pour la première fois , il y consensus entre la quasi majorité des chefs d'états africains pour s'opposer au maintien au pouvoir de Laurent Gbagbo.Pour les chefs d'état africains accepter ce maintien au pouvoir qui s'est fait avec la complicité du président du conseil constitutionnel aurait eu de graves conséquences pour les scrutins à venir.
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