vendredi 25 mai 2012

Bashar el Assad est devenu fou

Bashar est devenu fou et même la psychiatrie ne veut pas de lui.Malgré la présence des observateurs de l'Onu et après la visite de ceux de la ligue arabe, le régime totalitaire de Bashar El Assad n'a jamais cessé la répression et à l'anniversaire de la mort de  Hamza al Khatib, toutes mes pensées vont aux enfants tués par dizaines ces derniers jours.

http://www.youtube.com/watch?v=Ly0WBt-wNl8&feature=share&skipcontrinter=1

lundi 21 mai 2012

Après le choc de la mort vient l'heure des hommages.

J'avais annoncé la mort de deux divas de la chanson  et qui plus est le même jour.

Il était difficile ainsi de les distinguer quand j'avais voulu partager le deuil avec les fans des deux chanteuses.

Warda Al Djazaïra née Nafissa Fettouki   a été honorée vendredi au Caire où elle vivait et où s'est déroulée la plus grande partie de sa carrière avant que son cercueil ne rejoigne l'Algérie pour être enterrée au carré des Martyrs au même lieu où sont enterrés les plus grandes personnalités algériennes.
Au cours du voyage, le drapeau libanais qui était placé sur la tombe avait disparu à l'arrivé. Etrange. Warda était tout autant algérienne que libanaise. Le drapeau libanais aurait dû être conservé. 

Ce Liban symbolisé par la mère dont même le nom semble avoir été effacé des mémoires et pourtant, c'est elle qui l'initia au chant.  d'après mes recherches, la mère à Warda originaire d'une grande famille sunite de Beyrouth aurait pour nom Houda Yammout ' A vérifier)

Il n'empêche que l'organisation des funérailles en Algérie aurait fait couler beaucoup d'encre et pas simplement pour l'honorer mais aussi pour reprocher au régime algérien de chercher à l'utiliser pour ses propres rendez vous.






jeudi 17 mai 2012

Lyon champion d'europe des clubs champions de football

Pas de réaction du public lyonnais et pas de réaction de personne. C'est tout de même bien triste que seules les victoires masculines intéressent les passionnés de football. 

un petit clin d'oeil à Louisa Nacib, l'Algérienne de l'équipe de France, de l'OL et de Biskra 








  http://www.lebuteur.com/entretien/actualites/louisa-necib-la-zidanette-de-france




http://www.olweb.fr/fr/Accueil/100007/Article/59483/Dimanche-venez-faire-la-fete-a-Gerland


 http://www.ina.fr/sport/football/video/3430965001008/portrait-de-camille-abily-joueuse-de-football.fr.html

http://www.eurosport.fr/football/ligue-des-champions-feminine/2011-2012/1.-ffc-frankfurt_mtc509610/live.shtml






L'équipe en 2011 déjà championne d'europe des clubs champions




Le football féminin est une vieille histoire
 http://www.ina.fr/sport/football/video/LYC9305245676/football-feminin-le-football-club-de-lyon-champion-de-france.fr.html

Donna Summer et Warda Djazaïra en 1 seule journée, c'est trop

Très difficile d'apprendre coup sur coup le décès de deux grandes chanteuses mondialement connues et qui étaient pour moi des incontournables de la chanson. L'une brillait en occident mais pour un public mondial et l'autre  était la voix du monde arabe, une des plus grandes voix des 50 dernières années. toutes 2 nous ont quitté en laissant dans le deuil leurs fans qui se comptent en dizaines de millions de personnes amoureux de leurs voix et de leurs registres.

Je commencerai par parler de Warda al djazaïra née en France dans le 18 ième arrondissement d'un père algérien (gérant d'un foyer d'ouvriers à Boulogne Billancourt qui sera, dès 1936, un centre d'activités d'organisation nationaliste de lutte pour l'indépendance du Maghreb. Plus tard, il deviendra propriétaire d'un cabaret de musique arabe installé dans le Quartier Latin de Paris, dont Warda sera la vedette jusqu'à sa fermeture en 1958, date de l'exil de toute la famille au Liban et d'une mère libanaise originaire d'une grande famille musulmane de Beyrouth en 1939 et décédée tout à l'heure vers 20h à l'âge de 72 ans d'une crise cardiaque au Caire en Egypte . Elle commence à chanter, initiée dès son plus jeune âge par sa mère à la chanson libanaise, en 1951, à l'âge de onze ans, au Tam-Tam initiales de Tunisie, Algérie, Maroc). Le tam-tam qui se trouvait dans le quartier latin appartenait à son père (Mohammed Ftouki)  qui aurait dû s'appeler le Grand Maghreb mais se fut refuser par le préfet de l'époque.En 1951, elle fait ses premiers pas à 11 ans comme présentatrice de l’émission enfantine qu’Ahmed Hachelaf produisait à la RTF.

Un seul regret, ses positions en faveur des dictateurs arabes spécialement Khadafi et Assad.  Dans la vie, on peut pas être parfait partout.

Sa dépouille sera rapatriée vendredi en Algérie ou auront lieu ses funérailles.















Warda Al - Jazairia & وردة الجزائرية A BISKRA 07... par Alliance-ANR-UDR-MDS 

 

Warda El Djazaïria à El Watan : La diva sur le divan


larosealgrienne.jpgInterview-Warda El Djazaïria à El Watan : La diva sur le divan
Non ce n’était pas une séance de psychanalyse et le divan n’était là que pour la commodité. Pourtant, durant de longs moments, Warda El Djazaïria s’est confiée à Faycal Metaoui, allant au bout de ses sentiments, livrant ses états d’âme de cantatrice mais également de femme et de citoyenne algérienne.

Cela faisait longtemps qu’on ne l’avait pas entendue. Dans les médias où elle n’a jamais été avide d’articles et d’interviews, comptant plus sur son aura personnelle que sur les promotions publiques. Sur scène aussi, où ses apparitions se sont faites plus rares, rendant chacun de ses concerts comme un événement auquel accourent de partout ses admirateurs et admiratrices, sevrés de son répertoire, angoissés à l’idée que ce soit le dernier. Quel destin exceptionnel que celui de cette chanteuse que l’histoire de l’Algérie et des contingences familiales ont voulu voir balancée entre Alger, Paris et le Caire, dans un triangle existentiel très particulier. En effet, il n’existe aucun autre exemple, à ce point, que ce soit en art, en littérature, en sport ou en politique, d’une personnalité connue et reconnue dans l’ensemble du Monde arabe, des extrémités du Maghreb à celles du Machreq, et d’une expérience de vie aussi riche et originale. Quel destin aussi que celui de la musique algérienne qui veut que sa seule diva, au sens convenu du terme, ait connu son éclosion loin de ses sources.
Attention, il ne fait pas de doute que Cheïkha Tetma, Fadela Dziria et toutes les grandes voies féminines de la chanson algérienne étaient de grandes cantatrices. Il s’est trouvé seulement que seule l’Egypte avait réussi, dès les années cinquante, à créer de véritables « industries culturelles » — le cinéma, la musique mais aussi le théâtre— et tout le décorum qui va avec : les débuts de la presse people, les grandes réceptions, les couvertures radio et télé. Une diva est en fait une grande cantatrice qui a atteint le stade d’icône. Il se trouve que cette icône au visage sublime n’hésite pas à être simple. Elle est absolument désarmante quand elle évoque l’état de sa voix aujourd’hui, la vieillesse (c’est son mot) quelle assume avec panache. Et c’est avec une candeur étonnante qu’elle se prononce sur sa carrière, ses choix de vie, ses projets abandonnés ou encore poursuivis, ses passions, ses réticences, ses rapports à la politique, des artistes qui l’émeuvent en Algérie ou ailleurs, etc. Elle se confie aussi sur son vécu et sa vision de l’algérianité et, inévitablement, de ce match de football qui ne veut décidément pas se résoudre à n’être que ce qu’il est.

« Peut-être que je transmets du bonheur au public »

-  Avez vous visité Souk Ahras, la région de votre père ?
Je n’ai jamais été à Souk Ahras. Je n’ai plus personne là-bas. La maison de mon père n’existe plus. Qu’est-ce que je vais voir là-bas ? Je vais aller pleurer ? Mais je garde un bout de terre de Souk Ahras avec moi. Mon père a tout fait pour que je reste algérienne malgré que je sois née à Paris. C’est lui. Il m’a rempli la tête de l’Algérie. On ne doit jamais oublier ses origines. Mon algérianité est toujours présente. Même en Egypte, les gens le sentent quand je parle. Même quand je parle en dialecte égyptien, on le sent. La façon de parler et de penser les choses n’est pas égyptienne.
-  Oui, le fait que Warda garde le nom d’El Djazaïria ne plaît pas…
Oh, s’il n’y avait que cela ! Aujourd’hui, il faut être Egyptienne pour être aimée. Mais, je sais qu’avec le grand public, je suis aimée, envers et contre tous. Les Egyptiens aiment découvrir leurs voix, leurs acteurs. Alors, quand il y a des Syriens qui commencent à produire des séries de qualité, les Egyptiens montrent leur jalousie.
-  Il ya aussi toute cette campagne autour du match Égypte-Algérie pour le 14 novembre prochain…
Hablouni ! (Ils m’ont rendue folle). Je ne peux plus entendre ce qu’ils disent sur nous là-bas. Il est difficile de vivre en Egypte et d’entendre les attaques contre l’Algérie. J’ai peur d’éclater et de perdre mon public. Ce qui se dit est méchant. Je ne parle pas bien sûr pas de mes amis artistes. Je parle de ces gens qui me critiquent dans les journaux. Certains d’entre eux disent qu’ils nous ont donné la liberté, le développement, alors je leur dis : “que nous ont-ils donné d’autre” ? Donc, pour eux, les Algériens n’ont rien fait. Tout cela pour un match de football ! Le sport reste le sport. Ya rabbi ! Je suis un peu énervée. Que le meilleur gagne et qu’on en finisse ! On ne va pas se tuer pour le football quand même. On meurt en Palestine et en Irak et on va mourir encore pour un match de foot. Allez, changeons de sujet !
-  Permettez-moi d’insister, comment justifiez-vous ces comportements ? Parfois, il y a de la haine dans les écrits…
Il y a de la haine cachée même dans les attitudes. Il n’y a pas de nuances dans les écrits et dans leur façon de parler. Ils disent, écrivent et répètent : “L’Egypte va battre l’Algérie”, “L’Egypte va battre l’Algérie”, à l’infini ! Je refuse ces écrits haineux…Si je réponds, on va peut-être me chasser d’Egypte ! Il faudra que je vende ma maison en 24 heures. Je vais voir le match à la télévision à la maison !
-  Par le passé, il y avait aussi d’autres campagnes contre vous. C’est visiblement cyclique…
Ce qui les embête, c’est que je reviens sous les lumières après une maladie. J’ai marqué un arrêt. Je suis revenue et mon public me demande toujours. N’oubliez pas que je suis vieille par rapport aux autres. Cela irrite un peu. Mais cela ne me gêne pas. Des campagne en Tunisie aussi… Là, c’est autre chose. Je ne comprends plus rien. J’ai fait un grand gala en Tunisie avec un public magnifique. Il y a de belles photos. J’ai tout donné (…). Je vous avoue que j’aimais la Tunisie. Les Tunisiens sont gentils, un peuple qui aime la vie, fêtard mais je ne vais plus chanter dans ce pays. Dans le monde arabe, j’adore chanter au Liban. Les gens m’adorent dans ce pays. Peut-être que ma mère est Libanaise. Vous allez rigoler, mais j’aime chanter à Paris aussi. Les salles sont souvent remplies par des Maghrébins, je me sens un peu en Algérie là-bas. Mais cela fait longtemps que je n’ai pas chanté à Paris. Du moins, avant les opérations que j’ai subies.
-  Dans la vie de Warda, il y a eu beaucoup de ruptures. Comment les avez-vous vécues ?
Des ruptures en raison de la maladie. La première rupture avec l’art, c’était après mon premier mariage. Je devais m’occuper des enfants. Mes autres ruptures pour raison médicales. Là, je me porte mieux. Je dois suivre un régime strict. Je ne dois pas manger de sel.
-  Mais sur scène, Warda dégage de la santé, il y a toujours une présence…
Je suis heureuse sur scène. Peut-être que je transmets ce bonheur au public.
-  Vous êtes revenue à Alger à deux reprises, en juillet et en novembre. En juillet, vous avez participé à la cérémonie d’ouverture du deuxième Festival culturel panafricain (Panaf). Comment avez-vous vécu cette expérience ?
Je me suis fatiguée. Il faut chanter en marchant. Je ne vais plus faire ces exercices-là. C’est bien, mais ce n’est plus pour moi. Je chante debout devant un micro et j’essaye de tout donner.
-  Justement, cette tradition de chanter debout pendant une heure…
Cette tradition sera toujours à la mode. Mais il y a une façon de chanter devant un micro sans bouger comme avant. Moi, j’ose parfois des petites ‘‘wardaouiates’’, je bouge un peu. Je suis sincère sur scène.Vous voyez comment je parle librement.
-  On vous voit très à l’aise sur scène…
C’est peut-être l’âge. Cela donne de l’assurance. Quand j’étais jeune, je n’avais pas la même assurance. J’ai une voix, un don de Dieu, mais le sensibilité était un peu faible.
-  Et là, vous êtes revenue pour le 1er Novembre. Warda est toujours présente…
Toujours ! Si un jour l’Algérie on ne m’appelle pas pour le 1er Novembre, je vais pleurer chez moi
-  Comment avez-vous vécu le retour à la salle Atlas, ex-Majestic, à Bab El Oued, à Alger ?
J’étais heureuse de retrouver la salle Atlas où j’ai chanté Aïd El Karama devant le président Chadli Benjedid. J’ai chanté également dans la même salle du temps de Boumediène avec Min Baïd. Cette salle me porte bonheur.
-  Vous avez interprété une nouvelle chanson cette fois-ci ?
C’est une chanson écrite par un jeune Algérien. Il m’a envoyé les textes au Caire que j’ai lus et relus. Et j’ai modifié un peu. J’ai, en fait, mélangé le texte. Une partie en arabe parlé et une autre en arabe classique pour le dernier passage. Je l’ai voulu ainsi. Cela me plaisait de faire ce mélange. La composition a été faite par le jeune Khaled Izz. Un compositeur que j’admire. L’Algérie se décide trop tard. Nous n’avons pas eu assez de temps pour préparer le concert. Je suis venue à Alger apprendre avec les musiciens. Khaled Izz ne peut pas voyager car il n’a pas encore fait son service militaire. Je suis donc venue avec mon maestro travailler avec l’orchestre algérien. Cet orchestre m’a beaucoup plu. Je me suis vite adaptée. Les musiciens sont corrects. Ils ne viennent pas en retard. Ils ne se plaignent pas. En Egypte, les grands musiciens sont très susceptibles, capricieux.
-  Warda a-t-elle pensé à écrire une biographie de son itinéraire artistique ?
On m’a fait beaucoup de propositions. J’ai envie d’écrire une biographie détaillée. Mais qui va le faire avec honnêteté et sincérité ? Je pense tout le temps à faire cette biographie. J’en ai à dire, vous savez…
-  Par exemple, on peut en profiter un peu…
(Rire). Il y a sûrement des moments de flottement, des moments de bonheur… Il n’y a eu que du bonheur ! Il y a eu peu de malheurs dans ma vie. En fait, ce n’est pas comparable avec ce que j’ai vécu. Il vaut mieux oublier parfois. Il faut positiver dans la vie
-  Vous avez proposé de lancer une école de musique en Algérie. Où en est le projet ?
Je n’ai pas été aidée dans ce projet encore une fois. Le projet n’a pas eu de suite. Je voulais passer au concret. Toute la vie n’est pas devant, monsieur ! C’est à l’Etat de penser à créer des écoles de musique. Je n’ai pas assez d’argent pour le faire. Je ne suis pas Rockfeller quand même ! Le pays est occupé avec des choses plus importantes. Donc, j’ai abandonné le projet. Je suis positive. Je ne vais pas faire un malheur.
-  En Algérie, quelles sont les voix que vous aimez ?
J’aime bien Nadia Benyoucef. Il y a également Fella Ababssa. Elle chante avec une belle voix.
-  Dans les télés arabes, on appelle plus Fella El Djazaïria, mais Fella tout court ! Est-il lourd de porter le nom algérien ?
Peut-être suis-je la première à être appelée El Djazaïria.
-  Quelles voix appréciez-vous dans le monde arabe ?
J’adore Fadhl Chaker, Jamel Maher, Saber Rebaï, Kadhem Essaher, Angham, Assala Naceri. Et Hussein El Djasmi est mon préféré maintenant. Il a une force comme celle que j’avais lorsque j’étais petite. Aujourd’hui, je suis moins forte qu’avant. On ne peut pas être pareille à 70 ans qu à 20 ans. Les cordes vocales vieillissent aussi.
-  Quels sont vos critères pour apprécier une voix ?
C’est surtout les sentiments avec lesquels ils chantent avec une voix facile, souple et qui dit tout. Hussein El Djasmi a tout. Saber Rebaï est fort aussi. Fadhl Chaker les surpasse par la douceur.
-  Mis à part le raï, pourquoi la musique algérienne ne s’est pas imposée au Moyen-Orient ? Faut-il “s’orientaliser” pour y arriver ?
La réticence vis-à-vis de la musique algérienne n’existe pas qu’en Egypte. En France, ils ont aimé le raï, mais les paroles ne sont pas comme il le faut. Les Français adorent ce genre de paroles. Mais, je ne sais pas comment vous répondre. Mes chansons ne sont pas internationales. Une seule chanson a cassé les frontières, Harmat Ahibek.
-  Quel est le secret du succès ? Est-ce le rythme ?
Oui, ils veulent du rythme et du rapide. Moi, je ne chante pas que cela.
-  Il y a l’expérience avec Salah Charnoubi et Omar Batticha au début des années 1990 avec des chansons rythmées…
Salah Charnoubi m’a donné tout ce qu’il avait pu. Maintenant, je suis passée à des compositeurs plus jeunes. Cela ne veut pas dire que je ne ferai plus de rythmique. J’en ferai, mais avec beaucoup de rigueur. Je m’en fous qu’en France ou en Europe on ne connaît pas mes chansons. Je m’en fous de l’internationale. Je suis internationale dans les pays arabes. Cela me suffit.
-  Quel est l’état de la chanson arabe ? La techno envahit les nouvelles compositions avec ce qui est appelée la Jeel music. On a l’impression que toutes les chansons se ressemblent…
Parfaitement. Il y a une crise. Actuellement, les nouvelles chansons libanaises me plaisent plus que celles qui sortent en Egypte. Je le dis franchement. L’Egypte n’est plus comme avant de toute façon. Auparavant, il y avait au maximum dix chanteurs. Regardez aujourd’hui, ils sont mille. Comment voulez-vous qu’on fasse un gala par mois ou un gala par semaine. C’est impossible de le faire. Il y a un encombrement. J’aurais aimé que cet encombrement soit de qualité.
-  La chanteuse syrienne Mayada El Hanaoui n’a pas été tendre avec vous.
Elle n’était pas tendre avec moi, c’est vrai. Mais les choses vont mieux. Je me suis adressée à elle à travers une émission de télévision et je lui ai dit que je l’aimais. On ne s’est jamais vues pour se disputer. Les journalistes me disent ‘‘Mayada a dit’’ et ils vont chez Mayada et lui disent ‘‘Warda a dit’’. Warda n’a rien dit ! Warda se tait depuis le temps.
-  Votre dernier feuilleton à la télévision Ana el awana été différemment apprécié…
Ce feuilleton a plu aux téléspectateurs du Maghreb. Mais je ne vais pas renouveler l’expérience. C’est très fatiguant comme exercice. Il faut se lever à 7 heures du matin. C’est une obligation. Il faut une longue séance de maquillage. Il faut faire attention aux habits. Moi, je suis chanteuse, c’est fini. Je ne peux pas dire que l’expérience était mauvaise. Je suis contente. Mais, le succès est mitigé. Au Moyen-Orient, le feuilleton n’a pas été apprécié. Je n’ai eu aucun mot d’encouragement ne serait-ce que d’un collègue. Pas de téléphone. Pas de mot gentil. Alors que moi je n’hésite pas à appeler lorsque je vois un travail bien fait.
-  Pourquoi cette attitude ?
On ne peut rien dire. Question sans réponse. Moi même je ne sais pas. (le fils de Warda, Ryadh, intervient et dit que que le feuilleton a été mal monté et qu’on aurait pu se contenter de 20 épisodes au lieu de 30). Mes pays, l’Algérie, la Tunisie, le Maroc, ont apprécié. Dans ces pays, le public aime me voir. Si l’on juge le feuilleton, on constate qu’il y a des lacunes.
-  Vous avez interprété le rôle de la mère. Vous aimez ce genre de rôle ?
Il n’y avait pas assez de profondeur dans ce rôle. Nous n’avons pas été gâtés par les chansons. Ce n’était pas le Charnoubi brillant d’avant. Allah Ghaleb ! J’arrête de jouer au cinéma, à moins que l’on accepte de me confier un rôle de grand-mère. Je voudrais participer à une série comme celle d’Aghata Christie. On ne l’a jamais fait. C’est presque impossible parce qu’il faut comprendre l’esprit. J’aimerais jouer ce rôle, celui d’une dame âgée avec des lunettes qui mène des enquêtes Et si on vous proposait un bon scénario, vous allez accepter de jouer ? Bien sûr ! Je le ferai avec plaisir
-  Vous avez en chantier un projet de quatre nouveaux albums avec Rotana ; qu’en est-il ?
J’ai déjà enregistré quatre chansons pour le nouvel album. A Rotana, ils sont un peu longs dans la préparation du produit. Cela prend du temps parce qu’ils gèrent trop d’artistes. Ce n’est pas cher de travailler avec les nouveaux chanteurs. Certains le font pour rien. Il y a de belles filles au kilo !
-  Et comment peut-on appeler cela, un bradage, une vente facile ?
Oui. Il y a eu la crise pour tout le monde, autant pour les milliardaires que pour les autres. S’ils peuvent avoir de belles filles qui chantent assez bien, ça passe ! Cela les arrange.
-  Pourquoi des artistes comme vous ne prennent pas l’initiative de produire une charte d’éthique pour que pareils phénomènes disparaissent ?
Je n’ai pas envie de me prendre prisonnière dans un filet. Je fais mes albums. je viens d’en faire deux. J’ai travaillé avec les compositeurs Marwan Khouri, Amgad Al Attafi, Khaled Izz et Billel Izzine. Billel Izzine a fait les plus belles chansons de Fadhl Chaker. Je n’ai pas passé cinq ans en fermant ma bouche pour sortir l’importe quoi. Avant décembre, les albums seront dans les bacs. Les titres sont Al Ayam, “Adet Sana, Amel et Lidhaa min omri
-  Il y a beaucoup de notions de temps dans ces titres, les jours, les années…
Parce que les choses changent. J’en ai marre de chanter « je l’aime, il m’a fait ceci, cela ». Vous voyez ce que je veux dire. Je chante donc la vie. A mon âge, vous savez…
-  Warda ne parle pas beaucoup de politique. Pourquoi ?
Je me mêle que de ce qui concerne mon pays. L’artiste doit rester artiste. Je ne veux pas me faire haïr par un avis qui déplairait à mes “fans”. J’ai déjà beaucoup de mal à tenir à mon âge. Je l’avoue.
-  Quel est le secret de ce dynamisme ?
Je ne suis pas tout le temps dynamique. J’aime beaucoup dormir. Je suis fainéante. Mais sur scène, je suis dynamique et pendant les répétitions. J’aime faire la cuisine. Il y a des périodes où je fais la cuisine pendant une semaine. Et après, stop !
-  Quels genres de plats vous faites ?
Lham hlou, couscous, h’rira, des plats chinois, français. Hier, je leur ai fait des tripes à la mode de Caen. Je ne peux pas faire la cuisine pendant le Ramadhan. Ma santé ne me permet pas de respecter les règles du carême. Quand j’étais en bonne santé, je faisais le jeûne. Pendant neuf ans, j’ai fait la cuisine pour mes enfants. Mes enfants sont ma vie. Ryadh est l’homme de ma vie. Un autre, Djamel mon petit-fils, est en train de prendre la place de Ryadh.
-  Pourquoi vous ne voulez pas vous installez en Algérie ?
J’ai cherché des maisons, c’est trop cher pour moi. Trop cher par rapport au Caire. Je n’ai pas envie d’habiter dans un immeuble comme au Caire. Si je trouve une maison à bon prix, je viens m’installer en Algérie. Je voudrais bien finir mes jours dans mon pays, près de mes enfants. Ryadh vit ici.
-  Parmi toutes les chansons que vous avez interprétées, lesquelles sont les plus proches de votre cœur ?
Beaucoup de chansons. J’aime toutes les chansons dédiées à l’Algérie et je ne les oublie pas. Pour les chansons sentimentales, j’aime Bi Omri koulou, Fi youm ou lila, Khelik Hina, El ouyoun Essoud. En composant Khelik Hina, Baligh Hamdi ne voulait pas que je parte et que je quitte l’Egypte, Allah yerhamou.

El Watan
Par Fayçal Métaoui






J'ai voulu parler de Donna Summer sur la même page en raison de leur décès le même jour et que pour moi, elles sont uniques.

Le nouvel observateur lui a consacré un article que je vous propose sous forme de lien 
 http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20120517.OBS5782/la-chanteuse-disco-donna-summer-est-morte.html


http://www.dailymotion.com/video/xfducb_donna-summer_news

mercredi 16 mai 2012

Mission accomplie pour Najat Vallaud-Belkacem

Elle revient de loin Najat Belkacem porte parole de Ségolène Royale, elle réussit certainement grâce aux appuis de Gérard Collomb à  se positionner dans l'équipe de campagne de François Hollande ce qui lui offrait automatiquement une place au gouvernement bien méritée au vu de son parcours sans faille dans la ville de Lyon même si le début de son mandat comme conseillère générale ne fut pas évident.

L'article qui peut ébranler Najat maintenant exposée aux feux de l'actualité. Peut on être à la tête du ministère des droits de la femme et au service du roi du Maroc dans un pays où le PJD est aux commandes du pays. Un dilemme qu'elle va bien être obligée de résoudre en démissionnant de l'un des postes.

http://voxmaroc.blog.lemonde.fr/category/portrait




Droit des femmes et porte-parole du gouvernement

Najat Vallaud-Belkacem

Porte-parole de Ségolène Royal en 2007 puis de François Hollande en 2012, cette élue lyonnaise couvée par le maire, Gérard Collomb, vole aujourd’hui de ses propres ailes. Jeune espoir de la génération Hollande, engagée dans un combat législatif courageux dans la circonscription historique de Raymond Barre, elle devrait connaître à 34 ans, sa première expérience ministérielle.

En 2002, elle n’avait pas voté. Dix ans plus tard, la voilà au gouvernement. Où elle sera sûrement la benjamine de l’exécutif. Elle ne veut pas être une icône de la diversité, elle s’horripile avec raison quand les journalistes la comparent à Rachida Dati.

Najat Vallaud-Belkacem a été propulsée sur la scène publique lors de la précédente présidentielle, en 2007, quand elle devient porte-parole de Ségolène Royal. Une campagne «dure», confiait-elle récemment mais qui lui a tanné le cuir. «Elle n’est pas stressée ou hystérique, c’est plutôt rare en politique», apprécie l’ancienne candidate PS. Elle parle avec calme et le sourire jamais trop loin. Même si elle est capable de se déchaîner sur twitter.

Najat Vallaud-Belkacem est née au Maroc, deuxième d’une famille qui comptera sept enfants, et a rejoint son père en France, à 4 ans, dans la région d’Amiens. Boursière, elle fait des études de droit, sciences-po où elle rencontre son futur mari... à la bibliothèque. Puis elle rentre au cabinet de Gérard Collomb, le maire de Lyon, qui fait office de mentor pour ses débuts en politique.

En 2004, élue pour la première fois, elle siège à la tribune pour la séance inaugurale du conseil régional Rhône-Alpes. Elle se découvre un «complexe d’imposture», raconte-t-elle dans son portrait de dernière page dans Libé, que chaque nouvelle promotion ranimera. «C’est comme si vous étiez à un mariage où vous n’êtes pas invité : vous avez toujours peur que quelqu’un vous dise qu’il faut partir, que vous n’êtes pas à votre place.» Aujourd’hui, elle a trouvé une place.


Elle ne passa pas inaperçue lors de la campagne de Ségolène royale aux primaires socialistes.

 http://parolededemocrate.blogspot.fr/2010/10/cest-qui-le-prochain.html



et de François Hollande pour les présidentielles


elle eut le droit à un morceau de tarte à la crème






 






Ses positions sur le Hamas sont claires

Insouciance ou inconscience.

Tout à l'heure, j'étais en voiture pour déposer mon môme à son entrainement sportif. Pas un grand trajet. A peine sorti, je vois au loin une scène qui allait tourner à l'apocalypse. Des histoires qu'on ne souhaite pour personne. Je place le décors. Une chaussée chargée à la veille d'un jour férié, le nième du mois. Des gens pressés pour rien mais pressés. Des voitures qui roulent assez vite. Juste avant un feu, sur la droite une maison dont la cour fermée habituellement par un grand portail donne directement sur le large trottoir à ce niveau à la hauteur de la chaussée.Une voiture était garée sur le trottoir, un homme penché dans le coffre occupé à vider le coffre de victuailles. Soudainement un ballon sort de la cour dont la porte était entrouverte. Le ballon roule pour atterrir au milieu de la chaussée. Soudainement, un bambin minuscule court après le ballon. Il était tellement petit que j'avais cru à un bébé miniature. Personne ne le remarque. Il allait vite sur ses petites jambes. Une scène qui s'est déroulée dans ma tête au ralenti. l'homme , la tête dans le coffre, le môme qui se retrouve dans la chaussée, une voiture type berlingo citroën arrive à bonne vitesse mais pas en excès. Je ne pouvais rien faire, ni klaxonner, ni intervenir. L'imparable allait se produire. Heureusement que le conducteur de la voiture par je ne sais quel miracle réussit à s'arrêter et pourtant le môme ne dépassait pas le haut du capot. La voiture s'arrêta donc mais le bébé n'était pas hors danger. Le bébé était encore dans la chaussée, d'autres voitures arrivaient. Le père perçut le drame qui allait se jouer mais incroyable, il ne réagit pas. J'en revenais pas. Il était les bras chargés, il voyait bien le bébé dans la chaussée devant le ballon, la voiture à l'arrêt mais il ne broncha pas. Etait il réellement conscient du danger. In capable de comprendre sa passivité. C'est en fin de compte la mère qui découvrit la catastrophe qui fonça vers le bébé pour le mettre à l'abri. Le père qui pourtant ne semblait pas ivre fit tout de même un signe pour remercier le chauffeur de la voiture et s'engouffra dans la cour.

Cet évènement a du s'écouler en moins de 20 sec.


et s'est déroulé à la hauteur du portail blanc à droite
 
 

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mardi 15 mai 2012

François Hollande mouille la chemise

C'est le moins qu'on puisse dire, François Hollande a mouillé la chemise à défaut de l'avoir tombée. Il se souviendra longtemps de cette journée du mardi 15 mai 2012 que le service protocolaire régla comme une horloge suisse mais c'était sans compter sur le temps maussade qui gâcha un peu le spectacle même si François hollande en eu cure et se prêta au jeu pour le moment le plus important de son existence. Celui où il devint enfin le président de tous les Français et le coup de foudre sur l'avion présidentiel n'a fait qu'apporter un peu plus son charme à cette folle journée de passation du pouvoir où 2 itinéraires se croisent pour définir le destin de tout un peuple. Il est évident que sur cette cérémonie a plané 2 ombres celle de Ségolène Royale et celle évidement de Dominque Strauss Khan. Ainsi va la vie. Celui que tout le monde riait et n'avait jamais imaginé à la plus place du pouvoir doit bien rire aujourd'hui des moqueries et se régaler du spectacle offert par tous ces courtisans, faux-culs la veille et encore plus aujourd'hui.


http://www.gentside.com/fran%E7ois-hollande/passation-de-pouvoirs-francois-hollande-un-president-qui-se-mouille_art40513.html

samedi 12 mai 2012

Jules Ferry , raciste notoire honoré par François Hollande

Ce matin, en prenant mon petit déj, une info à la radio m'a fait sursauter. Rappelez vous quand Obama avait été élu son premier discours, il l'avait réservé à une officine bien connue dans le monde pour faire du lobbing en faveur d'un tout petit état qui à lui seul concentre la plus grande concentration d'armes nucléaires par habitant. Pour notre françois national, je m'étais posé la question de savoir ce qu'il nous allait réserver. J'avais pensé au diner annuel du CRIF mais il était déjà passé et on n'allait tout de même pas organiser les élections en fonction de ce diner. Mais ça n'a pas été un soucis pour l'équipe de François Hollande de trouver un évènement pour remercier l'appel des Mosquées en sa faveur et le nombreux public maghrébin d'être venu le féliciter à la bastille. Ben ouhais qu'est ce qu'ils étaient contents les Musulmans de France et de Navarre et même du maghreb s'apprendre que Sarko 1er était tombé de son piédestal.

L'évènement choque est le suivant

Juste après la passation de pouvoir, le nouveau président de la République François Hollande rendra hommage mardi 15 mai après-midi à l'ancien ministre de l'éducation de la IIIe République, Jules Ferry.



Certains vont se demander ce qu'il y a d'anormal à ça alors je l'ai invite à s'intéresser au funeste personnage Jules Ferry et pour les aider juste quelques liens. bonne lecture

http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=DEC_LUIZA_2006_01_0089

"
Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit sur les races inférieures. (...)

Je répète qu'il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures.(...)"
 
 
 
Et chez les Jules Ferry, la haine contre l'Islam , c'est héréditaire.  voir lien

Tout le monde connait le passé du Père de François Hollande, sympathisant d'extrême droite et de l'OAS. Est ce que François Hollande une fois président dévoilera son vrai visage ou est ce nous qui n'avons vu que du feu. 

http://lelab.europe1.fr/t/les-tres-breves-confidences-du-pere-de-francois-hollande-2413

jeudi 10 mai 2012

Il y a un peu plus d' 1 an disparaissait Nadia Samir

Non, je n'ai pas oublié la date anniversaire de la disparition de Nadia Samir que j'avais évoquée il y a 1 an dans cet article  http://parolededemocrate.blogspot.fr/2011/05/adieu-nadia-samir.html  et pour qui existe une page facebook  et une page wikipedia.qui lui rend hommage. Il n'est pas oublié et il ne le sera jamais par les gens de ma génération qui l'avons croisé à maintes reprises à travers le petit écran et qui a marqué notre adolescence.
Je souhaite à travers ce texte rendre à nouveau hommage à cette grande dame de la télé mais aussi du cinéma qui ne nous a laissé que de bons souvenirs de son passage audiovisuel.

mercredi 9 mai 2012

l'amérique d'obama tue les handicapés

La vidéo est terrible. elle relate un évènement qui s'est produit en juillet mais dont les images ne nous parviennent que depuis 2 jours.  Ces images doivent être diffusées non par voyeurisme mais parce qu'il est important que le monde sache que derrière la belle face de la première démocratie au monde se cache  des horreurs, des meurtres inacceptables, la barbarie qui a un nom et un visage, la police, le système répressif .
Il faut dénoncer pour que justice soit faite.







http://www.youtube.com/watch?v=T8r33VHT46c

"Video revealing the circumstances of how a mentally ill homeless man in Fullerton, Calif. died last July was finally published Monday, revealing a stunningly brutal police assault that left Kelly Thomas bleeding, broken and near death.

In the video, one of the officers can be heard telling Thomas, who was schizophrenic, “See my fists? They’re getting ready to start fucking you up.” When he doesn’t immediately comply and instead stands up, another officer charges in and hits him with a baton, and a scuffle ensues.

For the next approximately eight minutes, Thomas is pinned by the two officers, then up to as many as four more arrive and pile on. As Thomas pleads for mercy and complains that he cannot breathe, he’s tased and punched repeatedly. The treatment continues until Thomas’s cries morph into inaudible grunts and moans.

He was comatose after the beating, and died five days later after being taken off life support. Needless to say, the video is not for the faint of heart.

The cause of death, officially, was compression of his thorax. Two officers were charged in the case, one of them with second-degree murder.

Activists in Fullerton have been demonstrating for months, and Thomas’s parents have been trying to force the tape into public view. One of them, Ron Thomas, is a former Orange County Sheriff’s deputy — and in the video, his son can be heard crying for his father repeatedly. Because of their status and the shocking nature of the killing, their petitions have even been supported by a member of the Fullerton City Council.

The footage was first shown in a courtroom on Monday, when it was also revealed that a paramedic who was charged with treating Thomas had paused to attend to the officers first, even though they’d only suffered minor scrapes from wrestling Thomas to the pavement. An earlier tape, shot from across the street, did not show Thomas’s ordeal in nearly as much detail.

This video was published May 7, 2012."

Stephen C. Webster

http://www.rawstory.com/rs/
2012/05/08/mentally-ill-california-man-brutally-beaten-by-police-in-released-video/



SOS marins en détresse

La situation n'a que trop durée, elle devient même critique.  Les esprits grondent sur 3 bateaux bloqués à Sète. Le risque d'une explosion est réelle d'autant plus que les autorités françaises et marocaines semble s'être entendues pour se débarrasser du fardeau en évacuant les bateaux afin de faire de la place pour une nouvelle compagnie. Rien sur l'avenir des travailleurs, rien sur les salaires qu'on leur doit. Afin de les soutenir, une pétition a été mise en place.

http://www.change.org/petitions/sos-marins-en-detresse?utm_medium=facebook&utm_source=share_petition&utm_term=autopublish

mardi 8 mai 2012

citoyen solidaire.

J'aurai pu intituler mon article reporter solidaire ou blogueur solidaire mais j'ai opté pour citoyen solidaire parce que ce que je réalise n'est pas une attribution réservée à cette catégorie de citoyens que je suis , à l'affut de l'information de préférence déjantée. Celle que personne ne publie, celle que les grands médias évitent pour ne pas indisposer ceux qui permettent aux scribes des grands titres de pouvoir chaque mois honorer leurs créanciers et surtout ne pas être harceler par leur "conseiller" en placement financier.
Pendant  des années, je me suis accroché au fil de l'actualité avec parfois l'impression de galérer mais il m'arrivait de jeter l'ancre et d'ignorer les bonnes comme les mauvaises nouvelles. J'ai eu le droit comme beaucoup à la page blanche qui refusait de se remplir même avec du n'importe quoi. Comme beaucoup, je n'arrivais pas à m'imaginer une seule journée avec pas un clic sur un lien qui déboucherait sur une page de mon blog.  On finit par ne vivre que par et pour son blog.
Un jour ,j'avais décidé de faire une belle et grande pause de plusieurs mois. J'avais l'impression de ne causer qu'à un mur. Peu de retour en commentaires et l'arrivée de Facebook allait bouleverser la donne.
Même si la décision d'ouvrir un blog était surtout due à des censures permanentes de mes écrits et l'envie de mettre noir sur blanc mes coups de gueules, je pris vite l'habitude d'écrire non seulement pour moi mais aussi pour partager. Quand je pris possession  de facebook, j'appréciai très vite cette possibilité que n'offrait pas le blog et qui était cette facilité à s'adresser à des milliers de personnes de manière instantanée.
Il n'empêche que je revins très vite au blog mieux structuré pour retrouver des infos et surtout pour diffuser des informations dans le temps. Ce retour s'accompagna d'une nouvelle approche de l'actualité. L'information quotidienne n'était plus ma priorité, je me mis de plus en plus à m'intéresser à l'actualité  invisible. Celle qui ne fait pas la une des journaux. Celle qu'on avait tout simplement décidé de neutraliser.

lundi 7 mai 2012

les françois de gauche aiment les françois

Je ne pense pas qu'il faille en faire une règle générale mais à 31 ans d'intervalle , la France de Gauche, la France humaniste et solidaire a ,de nouveau, apporté ses voix à un second président socialiste depuis l'avènement de la 5 ième république et à nouveau pour la seconde fois, c'est un François de France qui a été plébiscité avec un écart  suffisant pour ne pas avoir honte du score. J'ose espérer simplement que les promesses électorales seront tenues.

jeudi 3 mai 2012

journée de la liberté de la presse

Liberté pour en faire quoi. Je me pose des questions.

Liberté d'être un vendu, de mentir, de dire la vérité. 






islam en france, islam de france

A vrai dire, le débat du jour françois nicolas alias sarkozy hollande, je l'ai zappé. J'étais dans un autre débat beaucoup plus palpitant et intéressant à 4 autour de boissons chaudes et fraiches à essayer d'étudier la meilleure manière de pouvoir résoudre une affaire criminelle. Une fois la réunion terminée, je suis rentré chez moi en voiture et en mettant en route la radio, je suis tombé sur le paragraphe qui fâche.
Celui où on voit dans l'islam que des méchants.Et le pauvre Sarkozy qui voit des ben laden derrière chaque burka s'est mélangé les pinceaux en indiquant que lui voulait un islam en france alors que les autres, voulaient un islam de france. Bien sûr, il voulait dire le contraire ce qu'il fit dans une autre complainte. Agaçant ce mélange des genres : islam, immigration , terrorisme.

La réplique d'Hollande m'a agacé. ça faisait gamin, pas intéressant. . C'étaient mes impressions à l'instant. Il ne me reste plus qu'à lire les comptes rendus et déposer une synthèse ici. Mais ne me demandez pas d'écouter le débat, je n m'en sens pas le courage et ça ne m'as avancez dans ma décision pour dimanche d'autant plus que ce n'est même pas certain que je puisse arriver à temps pour déposer un bulletin dans l'urne. ça fera au mieux ou au pire un bulletin nul en moins.

mardi 1 mai 2012

1 er Mai :Fête du travail ou des travailleurs

La question mérite d'être posée au moins 1 fois par mois. Ce qui est certain, c'est que tout le monde sait que c'est un jour férié du moins en France mais ce n'est pas général mais combien savent exactement l'objet de cette fête, c'est une autre histoire et de plus en plus, elle est devenue une journée qui n'a plus rien avec le mot travail et plus une journée d'expression politique loin des préoccupations syndicales. 
 

Ils sont combien à savoir cela

Étymologie du mot TRAVAIL : tripalium (latin populaire).
Le mot latin populaire "tripalium" désignait un instrument d’immobilisation (et éventuellement de torture) à trois pieux. On appelle encore "travail" un appareil servant à immobiliser les chevaux rétifs pour les ferrer ou les soigner. Le  mot "travail" désignait autrefois l’état d’une personne qui souffre (ce sens est toujours utilisé en obstétrique). Il a été étendu ensuite aux occupations nécessitant des efforts pénibles, celles des "hommes de peine", puis à toutes les activités de production.

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Mais cette journée est elle la fête du travail ou la fête des travailleurs. 

Aujourd’hui, la fête des Travailleurs (appelée fête du travail par les conservateurs) est commémorée par un jour férié chômé le 1er mai dans la plupart des pays ayant institué une telle fête, comme la France10.

Un petit tour sur le site de wikipédia nous donne vite la réponse.  Hé oui, tous les pays ne fêtent pas le premier mai de la même manière et surtout ne lui accordent pas la même signification.

qui plus est dans un même pays, cette journée revêt une signification très différente selon le bord politique et avec les élections présidentielles, on dira que les choses se compliquent.


Nouvelles du port

Enfin des nouvelles de nos Marocains de Sète. Un grand moment hier soir d'avoir pu avoir en ligne, un des marocains bloqués à Sète. Je devais y être mais pas évident de dégager du temps pour entreprendre le voyage mais il se fera et d'autant plus après l'échange téléphonique eu avec un membre de l'équipage du Marrakech.



 http://www.youtube.com/watch?v=jINKpV9tnGo&feature=youtu.be