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dimanche 11 décembre 2011

Y'en a marre de la violence dans les transports collectifs

ça fait des mois que l'envie me brûle l'esprit, les doigts de CRACHER ma colère dans mon blog à l'encontre de cette situation qui n'a que que trop durer. Insupportable que tous les jours à n'importe quel moment, cette violence qui a un visage , qui n'est jamais inquiétée puisse ouvertement sans prévenir s'abattre sur les usagers des transports publics, les éternels victimes consentantes et obligées malgré elles d'en subir terriblement les conséquences. 
Une violence terrible qui ne leur offre aucun droit droit de recours si ce n'est de maudire ouvertement ou en cachette cette catégorie d'individus qui sans crier garde peut leur faire rater un rendez vous important, qui peut leur faire perdre un travail, qui peut leur coûter les économies d'1 semaine ou plus, leur faire perdre un séjour tout payé et non remboursable. 
Ne pensez surtout pas que je pense aux petites frappes de quartier qui pensent que pour grandir, il faille jouer les robins des bois face à un contrôleur ou les habituels resquilleurs pour qui ne pas payer son titre de transport fait  parti de la normalité et le faire comprendre à coups de poings au contrôleur, un simple entrainement histoire de se faire la main. 
Vous avez deviné, je pense. Ben oui! , je pense et pas gentillement  à toute cette corporation au sein des transports publics qui dès qu'un de leurs collègues, j'aurai envie d'écrire frères de sang est victime d'une altercation avec un passager, un inconnu , un petit voyou, resquilleur, largué, paumé qui monte dans les transports juste pour emmerder son monde, qu'on repère dès qu'il rentre dans la gare ou dès qu'il monte dans un train ou un bus et qu'on laisse voyager comme si on cherchait à tout prix la confrontation et aire chier les usagers paisibles citoyens obligés de prendre les transports collectifs parce qu'avoir une voiture, ça coûte cher, parce que tous les jours on leur dit qu'il faut être un éco citoyen et que les transports collectifs ça préserve l'environnement, ça va plus vite et que c'est un moyen sûr.
Mais dans le contrat passé entre l'entreprise de service publique et l'usager, on  rappelle bien qu'un voyage, ça a un coup, qu'il y a des règles à respecter mais jamais on parle du respect du passager parce que dans les transports publics , le passager n'est ni le roi, ni une priorité. Ben oui! et tant pis si des membres de cette corporation fait la grimace en lisant mon article. J'ai l'impression que ce n'est pas cette corporation qui est au service des usagers mais les clients qui sont à leur disposition.

J'aimerai juste qu'ils se mettent un instant à la place de ces usagers. Imaginons juste un moment qu'un usager frappé par un voyou appelle toute sa famille et émet son droit e blocage de tout un réseau urbain juste pour protester contre le manque de sécurité des transports et qu'on dise au personnel du réseau qui devront rester  chez eux et qu'ils ne seront pas payés ou imaginons le problème dans un hôpital ou un établissement scolaire ou encore la police ou un aéroport. Il y a s décisions qui sont inacceptables et parfois il serait bon que chacun puisse se mettre à la place de l'autre et réfléchisse sur l'intérêt d'un service publique et la notion de culpabilité collective. Le monde, je pense n'en sortira que meilleur. Surtout par contre, ne dîtes pas que je ais du populisme ou que je parle comme les sympathisants du front national. Le bon sens n'appartient à personne et surtout pas aux imbéciles.











J'ai quand même trouvé un site, celui de la radio iranienne en langue française pour confirmer que j'avais raison en  reprenant un démenti formel du représentant de la Libye à l'Onu.

Voici leur article :  RIB- Le représentant de la Libye, auprès de l'ONU, a affirmé que son pays ne permettrait jamais à Israël d'ouvrir une ambassade, à Tripoli. "Les informations diffusées par les médias arabes, au sujet d'un accord israélo-libyen, en ce sens, sont sans fondement et mensongères", a affirmé Chalgham. "Le gouvernement, le "CNT" et les Libyens ont une position commune, à ce sujet, on ne veut d'aucune forme de relation avec Israël", a-t-il ajouté.

lundi 7 avril 2008

Bonne nouvelle comme quoi

Je vous avais relaté l'histoire d'Elisabeth et bien la justice a fait son travail et hortefeux ne pourra pas pour cette fois, incrémenter son compteur d'expulsés.


Le 07 avril 2008


ELISABETH VA ETRE REGULARISEE !
La nouvelle est arrivée dans la journée de dimanche. Le ministère d'Hortefeux a appelé Elisabeth pour l'informer qu'elle allait être régularisée.
Le ministre de l'immigration et de l'identité nationale, Brice Hortefeux, qui a "pris connaissance des faits samedi après-midi à la lecture du journal Le Monde, a immédiatement demandé au préfet de régulariser la situation d'Isabelle Guérin", a indiqué le ministère. "Le ministre a estimé que le préfet avait commis une erreur manifeste d'appréciation, le décès de M. Claude Guérin, ressortissant français, ne saurait justifier le non-renouvellement d'une autorisation de séjour de son conjoint étranger en situation régulière", est-il ajouté dans un communiqué.
Avec beaucoup de cynisme, le préfet d'Indre et Loire avait dit en substance à cette femme que son mari, de nationalité française, était mort trop tôt. ...
Le ministre s'est sans doute offusqué de cette situation.
Mais c'est la mobilisation à Tours, les 8500 signataires de la pétition en 72h, les centaines de lettres de protestation envoyées directement au Préfet ainsi que la médiatisation qui ont immanquablement dû heurter les oreilles du ministre !
Le Mouvement des amoureux au ban public, satisfait de l'issue pour Elisabeth, va se charger de rappeler au ministre que ce n'est pas de tel ou tel cas qu'il faut s'offusquer mais bien de la loi qui produit, tous les jours, des situations aussi inqualifiables que celle vécue par Elisabeth...
La pétition :
Une ressortissante béninoise en voie d'expulsion après le décès de son conjoint français.
Elisabeth, resssortissante béninoise, se marie avec Claude, ressortissant français le 16 octobre 2005 et obtient un titre de séjour temporaire « vie privée et familiale » en qualité de conjoint de français.
Ce titre de séjour est renouvelé une première fois au mois de novembre 2006. Quelques mois plus tard, Claude découvre qu'il est atteint d'un cancer. Il décède le 3 octobre 2007.
Elisabeth, qui vient de déposer une nouvelle demande de renouvellement de son titre de séjour, informe l'administration de ce décès. Trois semaines plus tard, elle reçoit un refus de séjour accompagné d'une mesure d'éloignement. Le préfet de l'Indre-et-Loire lui écrit que « même si la rupture de communauté de vie résulte malheureusement du décès du conjoint français, l’administration ne peut renouveler le titre de séjour sollicité ».
Elisabeth est parfaitement intégrée en France. Elle est titulaire d'un CDI en qualité d'agent d'entretien et possède un logement à son nom.
Jeudi 3 avril, elle a été interpellée à son domicile par les services de police et conduite au centre de rétention en vue de son expulsion...
Elisabeth a été libérée et assignée à résidence dans l'après midi du 3 par le Juge des Libertés. Mais son expulsion, qui reste en vigueur, doit intervenir dans les prochains jours.
Nous, signataires de la présente pétition, nous associons aux Amoureux au ban public :
pour refuser que des étrangers mariés à des ressortissants français soient expulsés après le décès de leur conjoint au mépris des principes élémentaires d'humanité et de justice.
pour exiger la libération immédiate d'Elisabeth et le renouvellement de son titre de séjour
pour dénoncer la politique d'éloignement aveugle et inhumaine du gouvernement
#VOIR
Le Mouvement des Amoureux au Ban Public
Se marier, vivre en couple et fonder une famille sont des droits fondamentaux garantis par la Constitution et les Conventions internationales protectrices des droits de l'homme. En France pourtant, des milliers de couples mixtes sont privés de ces droits ou doivent, pour y accéder, lever de nombreux obstacles et subir bien des humiliations. En effet, le durcissement continu des lois sur l'immigration et des pratiques administratives produit des situations inadmissibles : multiplication des procédures d'opposition à mariage, difficultés pour obtenir la transcription des unions célébrées à l'étranger, multiplication des refus de visa ou de titres de séjour, éloignement des étrangers en situation irrégulière mariés ou sur le point de se marier à des français, enquêtes de police sur la communauté de vie ne respectant pas les règles élémentaires de déontologie, d'objectivité et de respect des personnes auditionnées, non reconnaissance du droit au séjour des couples mixtes vivant hors mariage.... A l'initiative de la CIMADE, des collectifs de couples mixtes se sont réunis au sein du mouvement des « Amoureux au ban public » pour assurer la défense collective du droit à une vie familiale...Visitez le site des amoureux au ban public http://amoureuxauban.net/

Contact : coordination@amoureuxauban.net

vendredi 4 avril 2008

ça peut arriver à tout le monde

Une ressortissante béninoise en voie d'expulsion après le décès de son conjoint français.
Elisabeth, resssortissante béninoise, se marie avec Claude, ressortissant français le 16 octobre 2005 et obtient un titre de séjour temporaire « vie privée et familiale » en qualité de conjoint de français.
Ce titre de séjour est renouvelé une première fois au mois de novembre 2006. Quelques mois plus tard, Claude découvre qu'il est atteint d'un cancer. Il décède le 3 octobre 2007.
Elisabeth, qui vient de déposer une nouvelle demande de renouvellement de son titre de séjour, informe l'administration de ce décès. Trois semaines plus tard, elle reçoit un refus de séjour accompagné d'une mesure d'éloignement. Le préfet de l'Indre-et-Loire lui écrit que « même si la rupture de communauté de vie résulte malheureusement du décès du conjoint français, l’administration ne peut renouveler le titre de séjour sollicité ».
Elisabeth est parfaitement intégrée en France. Elle est titulaire d'un CDI en qualité d'agent d'entretien et possède un logement à son nom.
Jeudi 3 avril, elle a été interpellée à son domicile par les services de police et conduite au centre de rétention en vue de son expulsion qui doit intervenir dans les prochains jours.
Elisabeth a été libérée et assignée à résidence dans l'après midi du 3 par le Juge des Libertés. Mais son expulsion, qui reste en vigueur, doit intervenir dans les prochains jours.
Nous, signataires de la présente pétition, nous associons aux Amoureux au ban public :
pour refuser que des étrangers mariés à des ressortissants français soient expulsés après le décès de leur conjoint au mépris des principes élémentaires d'humanité et de justice.
pour exiger la libération immédiate d'Elisabeth et le renouvellement de son titre de séjour
pour dénoncer la politique d'éloignement aveugle et inhumaine du gouvernement
Signez la pétition (ICI).