Depuis quelques années la rumeur enfle concernant le célèbre chanteur populaire dont les chansons étaient repris en refrain par la France entière et même toute l'Algérie.
Enrico Macias alias Gaston Ghenassia a pendant longtemps offert un double visage. Côté face, le chanteur intarrissable sur son amour pour la paix, les enfants , la vie, l'humain comme le montre son site et côté pile, un soutien indéfectible d'Israël comme le montre cette vidéo ci ou comme tout le monde l'a vu lors de la manifestion de soutien à Israël du 4 janvier 2009 où il prononça la phrase suivante: Malgré le deuil qui vient de le frapper en la personne de son épouse Suzy.
Le chanteur Enrico Macias a tenu a prononcer quelques mots :
« Machiah est arrivé le jour de la création de l’Etat d’Israël. Rien n’arrêtera le cours de notre histoire. Je serai toujours aux côtés d’Israël et si des épreuves personnelles ne m’en avaient pas empêché, je serai moi-même, aujourd’hui à Gaza, aux côtés des soldats de Tsahal. Ils sont en train de mourir pour nous. Je veux mourir pour eux ! »
Après ça et surtout en découvrant la réalité des actes de barbarie de l'armée israélienne, certains ont du mal à comprendre le comportement d'Enrico Macias et pourtant le drame est que c'est la réalité, mais une réalité qui remonte déjà à sa jeunesse en Algérie.
Certains l'accusent ouvertement d'avoir fait partie d'une milice juive qui effectuait des descentes dans les quartiers arabes à Constantine et qui expliquerait le pourquoi il est interdit d'Algérie sans parler du fait que ses propos pro sionistes ne sont pas du goût du pouvoir.
Voici un article assez édifiant
La ratonnade du quartier arabe de Constantine le 12 mai 1956 à laquelle beaucoup soupçonnent Enrico Macias au sein d’une milice juive locale d’avoir participé (à l’époque plusieurs habitants de la ville se souviennent l’avoir vu parader avec une arme ) fit une cinquantaine de morts arabes. Elle a été délibérée et s’est inventé de toutes pièces un prétexte. L’intérêt du Mossad israélien dans cette affaire était, en poussant la communauté juive à se mouiller avec le colonialisme, de créer un fossé entre les communautés arabe et juive afin d’aboutir in fine à l’exode vers Israël des juifs d’Algérie. (Le même scénario sera répété à Bagdad en 1958 pour obtenir le départ vers Israël des juifs irakiens qui ne voulaient pas y aller. Des attentats furent organisés par le Mossad contre des synagogues et des mosquées afin d’envenimer les relations inter communautaires, ces faits sont absolument avérés ). Par ailleurs, en 1956, Raymond Leiris le beau père d’Enrico était loin de n’être qu’un pacifique musicien de Maalouf comme le prétend E.M. Il avait déjà fait le voyage en Israël et en était revenu enthousiaste. En tant que responsable communautaire de Constantine il était devenu un des principaux relais du Mossad dans cete ville. C’est lui qui commença à organiser ces groupes de choc de jeunes juifs qui deviendront par la suite l’OAS J. ( J. pour Juive, cette organisation branche juive de l’OAS sévira particulièrement à Oran et Constantine ) Raymond Leiris sera finalement abattu en représailles de ses méfaits par le FLN, en 1961 en plein marché de Constantine. Pourtant un appel avait été lancé par le FLN en juin 56 dans sa presse clandestine appelant à l’unité contre le colonialisme de toutes les communautés. Cet appel ne sera pas écouté par les dirigeants de la communauté juive de Constantine auxquels était lié Enrico Macias ni par ceux d’Oran. Dans d’autres villes d’Algérie les communautés juives se conduisirent différemment notamment à Tlemcen ou Laghouat où elles eurent un comportement comparable à celui de leurs compatriotes musulmans. Des juifs intégrèrent même le FLN et bien sûr certains firent de la prison ou furent torturés pour actes de résistance. Malheureusement le poison colonial et le sionisme en général furent les plus forts et réussirent à diviser. En tout cas il s’agit d’une question politique et non comme ce triste sbire d’E.M. veut le faire croire d’une querelle religieuse, ce qui est grotesque vu le nombre de juifs qui retournent en Algérie chaque année. Ses mensonges sont ignobles et il nous fait ses yeux de coker pour ne pas avoir à avouer qu’il s’est conduit comme un salaud, méprisant ses compatriotes et trahissant son pays l’Algérie car il n’est pas pied-noir. Son vrai nom est Ghenassia. Son prénom est Gaston car depuis le décret Crémieux qui leur donnait la nationalité française, les juifs d’Algérie pour s’identifier à la France abandonnaient leurs prénoms judéo-arabes et se prénommaient Gaston, Benjamin, Alexandre ou Roger. Cela veut dire que ses ancêtres sont des indigènes arabo-berbères. Ils ne viennent pas de France ou d’Europe et donc ne peuvent pas être appelés Pieds-noirs. D’autre part il veut aller en Algérie car il cherche à savoir qui a flingué son beau père, Raymond Leiris, le responsable de l’OAS j . Avec volonté de représailles contre le ou les auteurs encore en vie grâce à ses amis du Mossad, va savoir Charles ?! A la place de cette racaille de Macias je me méfierais des Constantinois : des gens sérieux, ils n’ont pas son sens de l’humour et je doute que les parents des martyrs du 12 mai 1956 aient vraiment envie de faire poï, poï, poï, avec lui.
L' article précédent rejoint dans le propos un autre article tiré d'un journal israélien.
Comment le Mossad a armé des juifs de Constantine en 1956Par Maariv (Journal israélien)samedi 14 mai 2005, par MohsanToute cette histoire sera racontée pour la première fois lors du premier rassemblement mondial, à Jérusalem, des juifs originaires de Constantine (les 27-28 mars 2005). Enrico Macias sera présent avec l’historien Benjamin Stora..« Maariv » révèle comment, durant la guerre d’Algérie, une cellule du Mossad a armé et entraîné des juifs de Constantine pour se défendre contre des actions "terroristes" du FLN.A l’occasion du premier rassemblement mondial des juifs originaires de Constantine, qui se tiendra dimanche et lundi à Jérusalem, le journal lève ainsi le voile sur une des histoires encore inédites de l’action du Mossad.Le reportage parle de deux anciens agents, Avraham Barzilaï et Shlomo Havilio, en poste à Constantine et à Paris durant la guerre d’Algérie. « Avraham Barzilaï est arrivé à Constantine en janvier 1956, après avoir servi dans l’unité 131 des services de renseignement de Tsahal et avoir entraîné, dans ce cadre, les jeunes juifs égyptiens qui furent impliqués ensuite dans la « sale affaire » [ndlr : Il s’agit d’un ratage des services secrets israéliens au Caire].Barzilaï, 29 ans à l’époque, est envoyé par le Mossad, avec sa femme, à Constantine. Sa « couverture » est un poste d’enseignant de l’hébreu. En mai 56, il a déjà mis sur pied des cellules de juifs constantinois armés qui ont pour mission de défendre la communauté juive locale.Le 12 mai 56, jour de la fin du Ramadan, Barzilaï a le pressentiment que des "terroristes" du FLN vont commettre un attentat. Il donne donc l’ordre aux membres de sa cellule de s’armer de pistolets et de patrouiller rue de France, l’artère principale du quartier juif de Constantine.A midi, une très forte explosion secoue la rue : un Arabe a jeté une grenade à l’intérieur d’un café. Les jeunes de la cellule de Barzilaï arrivent sur place très rapidement. Des femmes juives crient. L’une d’elle désigne du doigt la ruelle vers laquelle le "terroriste" s’est enfui : « Les jeunes juifs de ma cellule l’ont rattrapé et l’ont abattu », relate Barzilaï, avant de poursuivre : « Nous craignions que les Arabes ne viennent se venger contre le quartier juif. Nous avons alors déployé quatre autres cellules sur des points stratégiques à l’entrée du quartier juif.Certains juifs portaient des armes, avec l’autorisation des autorités françaises. Très rapidement les coups de feu ont commencé à fuser de toutes parts. Et les juifs armés, furieux après l’attentat, ont commencé à se diriger vers le quartier musulman.J’ai donné l’ordre à nos hommes de prendre le contrôle de la situation et d’éviter tout débordement aux conséquences dramatiques », raconte Barzilaï. Il explique que seuls six soldats français sont arrivés sur place. Ce sont les juifs des cellules du Mossad qui leur ont indiqué ce qu’ils avaient à faire... « Nos hommes ont pénétré dans des cafés arabes voisins et leur ont causé des pertes sérieuses », rapporte Barzilaï dans un message codé envoyé au quartier général du Mossad en Europe, dirigé à Paris par Shlomo Havilio.« Maariv » indique qu’il relatera, pour la première fois, l’histoire de ce réseau du Mossad en Algérie, lors du rassemblement des originaires de Constantine. Parmi les personnalités qui seront présentes à Jérusalem, se trouvent une ministre du gouvernement Raffarin, Mme Nicole Guedj, secrétaire d’État aux Droits des Victimes, et le célèbre chanteur Enrico Macias, tous deux originaires de Constantine.Traduit de l’hébreu par Daniel Haïk pour Proche-Orient.info
Pour compléter cette lecture, je conseille les liens suivants:
En cliquant le lien3, on découvrira dans une vidéo un enrico Macias qui se lache.
Enrico Macias n'a pas honte de dire que depuis le début de sa vie, il s'est toujours donné corps et âme pour l'état d'Israël. Mais en premier lieu pour Tsahal. Et maintenant pour Magav. Et donc pour Migdal... qui "nous permet au-delà des frontières d'Israel de comprendre quel est le combat de Magav, parce que ce sont eux les garants de la sécurité de l'état d'Israel DONC DU PEUPLE JUIF." Et il continue en disant que bien sûr, il faudrait aider les pauvres et tout ça mais qu'en premier lieu, "il faut aider nos soldats parce que c'est eux qui garantissent... pas seulement l'état d'Israel, les frontières de l'état d'Israel mais aussi TOUTES LES FRONTIERES DU PEUPLE JUIF DANS LE MONDE ENTIER." Et de rajouter qu'il s'est toujours donné pour l'état d'Israel donc pour Tsahal, Magav et Migdal.
1 commentaire:
Shalom aleykhum,
Dimanche 25 janvier, à Istres, se sont réunies des personnes, venues de Fos/mer, Martigues, Miramas, Port de bouc, Salon de Provence et même de Toulon!
"...Le moment le plus fort de cette rencontre a été sans conteste l'intervention de monsieur Jean-Louis Golniche. Personne connue pour son engagement social et ses valeurs humanistes. Il est, entre autres, trésorier de l'association des Anciens Combattants de l'Armée d'Afrique ayant combattus pour la France. A son tour de parole, il s'est levé pour son intervention et a déclaré :
"Je suis juif et heureux d'être présent parmis vous."
Ensuite, il a précisé qu'en qualité d'élu, il déposerai, si on le souhaitait, une motion au prochain conseil municipal pour qu'il vote une subvention à destination du peuple de Gaza.....".
Du coup, l'association va faire cette proposition à toutes les collectivités...
Le reste du compte rendu est sur le blog: http://lavenircestmaintenant.skyrock.com/
Que pensez-vous de cette initiative voire comment pouvez-vous la relayer ?
Rachid
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