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LYON (AP) -- Pour sa première "installation" en France, le photographe américain Spencer Tunick, mondialement connu pour ses photos de foules nues, a fait poser dimanche matin dans le plus simple appareil quelque 1.500 personnes réparties sur deux sites lyonnais.
L'artiste avait été invité à réaliser cette performance dans le cadre de la Biennale d'Art Contemporain de Lyon, qui s'ouvre lundi et durera jusqu'au 14 décembre.
Sur les 3.500 inscrits, moins de la moitié des "modèles" ont été retenus pour ces séances qui avaient pour sites le port Edouard-Herriot et la presqu'île de Lyon, à la confluence du Rhône et de la Saône, par un temps couvert et plutôt frais.
Dans les deux cas, au milieu des conteneurs du port ou dans l'atmosphère champêtre de la rencontre des deux cours d'eau, sites distants d'environ un kilomètre, Tunick a fait poser les participants dans toutes les positions, debout, couchés, les jambes en l'air, et bien sûr entièrement nus.
Entamées vers 7h30, ces deux séances successives se sont achevées vers 11h, suivies d'un grand pique-nique, cette fois inaccessible à la presse.
A en croire les plaques d'immatriculation des voitures stationnées autour des deux lieux retenus par le photographe, les participants, arrivés dès 4h30 sur place, venaient d'un grand quart Sud-Est de la France.
Des tracts avaient été distribués fin juillet dans tout Lyon afin d'inciter les habitants à participer à cet événement, également filmé. Les photos issues de ces séances seront envoyées aux participants et exposées dans un musée de la ville.
Agé de 38 ans, Tunick a commencé à réaliser ses "installations" éphémères en 1992, avec quelque 25 personnes posant nues devant le siège de l'ONU. Depuis, il a organisé un peu plus de 65 rendez-vous dans différents pays tels que l'Angleterre, où un prêtre a participé incognito aux photos, et le Chili, où les autorités ont failli interdire l'expérience, alors que près de 5.000 personnes avaient répondu à l'appel "
L'artiste avait été invité à réaliser cette performance dans le cadre de la Biennale d'Art Contemporain de Lyon, qui s'ouvre lundi et durera jusqu'au 14 décembre.
Sur les 3.500 inscrits, moins de la moitié des "modèles" ont été retenus pour ces séances qui avaient pour sites le port Edouard-Herriot et la presqu'île de Lyon, à la confluence du Rhône et de la Saône, par un temps couvert et plutôt frais.
Dans les deux cas, au milieu des conteneurs du port ou dans l'atmosphère champêtre de la rencontre des deux cours d'eau, sites distants d'environ un kilomètre, Tunick a fait poser les participants dans toutes les positions, debout, couchés, les jambes en l'air, et bien sûr entièrement nus.
Entamées vers 7h30, ces deux séances successives se sont achevées vers 11h, suivies d'un grand pique-nique, cette fois inaccessible à la presse.
A en croire les plaques d'immatriculation des voitures stationnées autour des deux lieux retenus par le photographe, les participants, arrivés dès 4h30 sur place, venaient d'un grand quart Sud-Est de la France.
Des tracts avaient été distribués fin juillet dans tout Lyon afin d'inciter les habitants à participer à cet événement, également filmé. Les photos issues de ces séances seront envoyées aux participants et exposées dans un musée de la ville.
Agé de 38 ans, Tunick a commencé à réaliser ses "installations" éphémères en 1992, avec quelque 25 personnes posant nues devant le siège de l'ONU. Depuis, il a organisé un peu plus de 65 rendez-vous dans différents pays tels que l'Angleterre, où un prêtre a participé incognito aux photos, et le Chili, où les autorités ont failli interdire l'expérience, alors que près de 5.000 personnes avaient répondu à l'appel "
le site de Tunick Spencer : http://www.spencertunick.com/
Ici, description de l'évènement par un participant : lien1 et lien2 , lien3 . Voilà les Lyonnais loin de l'image de froideur qu'on leur colle à la peau sont capables de délirer sans qu'on ait besoin de les forcer.
Tunick Spencer, 11 set 2005 |
Mais revenons sur le clip qui a fait tourner la tête au personnel de l'hôpital Edouard Herriot
119 professionnels chantent et dansent sur un titre revisité de Grégoire. L’objectif : promouvoir l’image de l’hôpital Edouard Herriot pour améliorer son attractivité et inciter les professionnels de santé à venir y travailler. Cette initiative originale a été lancée par la Direction des Ressources Humaines et de la Direction des Soins de l’hôpital, avec le soutien de la Direction Générale. Elle s’intègre dans le cadre de la campagne lancée par les HCL au printemps 2011, visant à recruter essentiellement des infirmières et infirmières spécialisées ainsi que des kinésithérapeutes.
Le clip et le making-off ont été présentés en avant-première à l’ensemble des professionnels de l’hôpital Edouard Herriot le 7 juin, à l’occasion du rendez-vous interne annuel « Les rendez-vous d’Edouard Herriot ». Le clip a ensuite vocation à être présenté lors des journées d’accueil des nouveaux arrivants. Afin d’inciter les jeunes professionnels de santé à rejoindre l’hôpital, le clip sera projeté lors des forums employeurs, dans les Instituts de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) et les écoles spécialisées. Il sera également visible à long terme sur le site Internet des HCL et sur les sites de partage de vidéos YouTube et Dailymotion.
Le clip et le making-off ont été présentés en avant-première à l’ensemble des professionnels de l’hôpital Edouard Herriot le 7 juin, à l’occasion du rendez-vous interne annuel « Les rendez-vous d’Edouard Herriot ». Le clip a ensuite vocation à être présenté lors des journées d’accueil des nouveaux arrivants. Afin d’inciter les jeunes professionnels de santé à rejoindre l’hôpital, le clip sera projeté lors des forums employeurs, dans les Instituts de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) et les écoles spécialisées. Il sera également visible à long terme sur le site Internet des HCL et sur les sites de partage de vidéos YouTube et Dailymotion.
Moi je lance une question mais pas sur le clip. Je trouve qu'il est bien fait mais sur cet hôpital du moins pour ceux qui l'ont connu; Moi, j'y ai plein de souvenirs et pas du genre qu'on encadre et qu'on accroche au dessus de son lit. Si vous de votre côté, vous avez des choses à dire sur le sujet, n'hesitez pas à utiliser la zone commentaire.Ce qui est certain, c'est que les syndicats n'ont pas apprécié du tout ce qui est pour eux une farce de mauvais goût. D'après eux, Danser alors qu'il y a un manque chronique de personnel, les choque.
Ils l'ont montré hier, mais ils étaient peu nombreux ( voir article )
Sur cette initiative, je laisse chacun avec son avis. L'objectif, rappelons le, n'est pas d'amuser la galerie mais d'attirer du personnel et peut être éveiller des vocations parmi ceux qui visionneront la vidéo des HCL. L'idée du projet est saine et si les volontaires qui y ont participé ont pu prendre plaisir , pourquoi pas.
Je donne comme une réponse à ce clip, 3 évènements qui m'ont laissé un désagréable souvenir dans cet hôpital le premier en 1975, victime d'une hémorragie interne, je suis resté seul dans une chambre à me voir vider de mon sang sans aucune intervention d'un médecin pendant de longues heures. Ce n'est qu'à la dernière minute qu'on est venu à mon secours et ensuite en 2001, suite à une chute et une blessure assez grave dans la main, le chirurgien de service a refusé de me soigner, jugeant que ce n'était pas de son niveau et c'est un interne qui s'est occupé de ma blessure, j'en porte encore les stigmates puis ce fut en 2006, opération lourde avec en cadeau un staphylocoque doré ,une aide soignante inhumaine avec ordinateur portable qu'elle avait envoyé comme un crêpe sur le lit vide d'à côté alors que je feignais de dormir. J'avais réussi par une simple phrase à la faire mettre en arrêt maladie pour 1 semaine. Et je n'ai pas parlé des erreurs d'aiguillage. Heureusement qu'il y avait des infirmières et aides soignantes dévouées pour faire oublier qu'à 2 reprises , j'ai failli entrer dans les statistiques des bavures médicales.
Ils l'ont montré hier, mais ils étaient peu nombreux ( voir article )
Sur cette initiative, je laisse chacun avec son avis. L'objectif, rappelons le, n'est pas d'amuser la galerie mais d'attirer du personnel et peut être éveiller des vocations parmi ceux qui visionneront la vidéo des HCL. L'idée du projet est saine et si les volontaires qui y ont participé ont pu prendre plaisir , pourquoi pas.
Je donne comme une réponse à ce clip, 3 évènements qui m'ont laissé un désagréable souvenir dans cet hôpital le premier en 1975, victime d'une hémorragie interne, je suis resté seul dans une chambre à me voir vider de mon sang sans aucune intervention d'un médecin pendant de longues heures. Ce n'est qu'à la dernière minute qu'on est venu à mon secours et ensuite en 2001, suite à une chute et une blessure assez grave dans la main, le chirurgien de service a refusé de me soigner, jugeant que ce n'était pas de son niveau et c'est un interne qui s'est occupé de ma blessure, j'en porte encore les stigmates puis ce fut en 2006, opération lourde avec en cadeau un staphylocoque doré ,une aide soignante inhumaine avec ordinateur portable qu'elle avait envoyé comme un crêpe sur le lit vide d'à côté alors que je feignais de dormir. J'avais réussi par une simple phrase à la faire mettre en arrêt maladie pour 1 semaine. Et je n'ai pas parlé des erreurs d'aiguillage. Heureusement qu'il y avait des infirmières et aides soignantes dévouées pour faire oublier qu'à 2 reprises , j'ai failli entrer dans les statistiques des bavures médicales.
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