Il y a 1 semaine, les médias occidentaux qui avaient râté le départ du train de la démocratie qui avait pris son départ en Tunisie, essayent aujourd'hui de mettre les bouchées doubles en espérant récupérer leur retard dans la médiatisation de ce Tsunami citoyen. Le hic, c'est que chaque évènement est unique et pas forcément reproductible. C'est ainsi que la semaine passée quand des citoyens encartés ou pas ont décidé de manifester bruyament à Alger et ignorer les interdictions du pouvoir algérien, tout le monde s'attendait à une explosion de colère. Depuis quelques jours, c'est la rue égyptienne qui bouge après celle de la Palestine, de Jordanie, du Maroc et du Yemen.
vendredi 28 janvier 2011
Apres la Tunisie, à qui le tour
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