Il y a 1 semaine, je découvris un ouvrage " Laissées pour mortes" de la comédiene Nadia Kaci qui relatait un terrible drame qui s'était produit en 2001 à Hassi Messaoud. J'avais cru que ce drame appartenait au passé et que fut ma surprise que ce qui s'était passé il y a 9 ans avait repris dans a même région. c'était suffisant pour me mettre dans ne colère noire et vouloir en parler aujourd'hui malgré le temps magnifique qui m'invite plus à une escapade en plein air qu'à être devant mon ordi et taper mon texte plein de colère intérieure. En2001, la presse avait relaté cette affaire comme l'indique cet article de l'Humanité : lien1 mais, personnelement, je n'en avais rien su. Impressionné par le livre de Kaci, j'avais décidé d'en faire un article. Il est important de témoigner si l'on veut que ce genre de barbaries ne se reproduise plus. Il faut dénoncer pour soutenir les victimes et aussi pour obliger les pouvoirs publics à condamner durement les auteurs de ce genre de faits.
Ce qui m'a mis en colère, c'est que depuis quelques semaines, le cauchemar a repris à Hassi Messaoud (Algérie) comme l'indique cet article de la presse algérienne : lien2 .
Le laisser aller des autorités locales est inadmissible comme si on reprochait à ces femmes de ne pas avoir d'hommes chez elle. Encore faudrait il qu'il y ait des hommes, ces vrais . Les gens qui mennent ces attaques nocturnes sont des voyous drogués et alcooliques plutôt jeunes et lâches surtout.
Je profite de cet article pour relayer cet appel ici
référence 1 , référence 2, référence3, référence4
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2 commentaires:
C'est ça qui blesse surtout !! et qui est complétement dégueulasse : c'est que les autorités ne fassent rien et que ces femmes se retrouvent doublement condamnés 1. à subir les violences de ces lâches et 2. à être ignorées par les autorités locales. Comme s'il y avait une honte à reconnaitre des faits atroces ! Mais la honte est dans le fait que ce problème gravissime n'a pas été
résolu en temps et en heure.
Cet article m'a donné envie de lire le bouquin, je vais le demander à l'éditeur en service de presse, ne pouvant hélas pas l'acheter, étant sans revenu actuellement, merci aussi pour cet article, je sens que je vais passer régulièrement sur ce blog, merci Tahar...
dan
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