jeudi 1 avril 2010

Il ne faut pas grand chose pour être heureux


Hé oui, il m'a suffit de voir mon fils monter du haut de ses 6 ans sur la marche la plus élevée du podium, récupérer sa petite médaille d'or même si ce n'est même pas du plaqué pour se sentir un peu égoîstement fier de sa progéniture. J'ai à plusieurs reprises assisté à des compétitions où mes enfants participaient et notament celles du plus grand qui a opté pour le rugby et où il fait des merveilles avec la fougue d'un jeune ado qui a appris à jouer de manière collective tout en se faisant plaisir individuellement et qui grâce au sport , apprend à se battre tout en respectant son adversaire. Ce dimanche, c'était tout autre chose. Le dernier de mes mes trois enfants cherche sa place et a tendance à imaginer qu'on le néglige. Ce jour là il a voulu se faire plasir mais aussi montrer qu'il est là même à 6 ans.

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