samedi 1 mai 2010

Marée noire : L'envers du décor


Les tenants du progrès à tout prix doivent être mal à l'aise dans leurs costumes taillés trop grands pour leur petite personne.
Jusqu'à présent malgré une progression sensible des idées écologistes, la majorité des pays du monde entier considèrent que le salut passe par un développement économique tout azimut et qu'il n'est pas question de ralentir et encore moins stopper la progression; Lorsque sont évoqués les risques de catastrophes majeures, les technocrates à la science infuse vous promettent sans la moindre hésitation que tout est prévu, que leurs grands scientifiques ont prévu tous les cas de figure.
Le hic, c'est que le constat est tout simplement affligeant. Tchernobyl nous a s sauté àla figure, il y a 24 ans etil semble qu'aucune leçon n'ait été retenue. LA seule chose qui compte et la rentbilité immédiate et tant pis pour les risques. " les avantages pour les actionnaires et les incovénients pour le commun des mortels.
Lorsqu'un volcan qu'on savait capable de se réveiller un jour a pété, c'est toute l'économie de l'Europe et du Monde qui s'est retrouvée le cul par terre pendant plus d'1 semaine et ce n'était qu'un tout petit nuage de poussières. En France, la Mer s'excite, provoque des dizaines de morts et on constate qu'on a un peu triché sur les zones habitables; Au large des Usa, une plateforme coule et c'est une immense marée noire qui se forme en menaçant tout l'éco système d'une immense région tout simplement parce qu'un robinet de sécurité qui n'a certainement jamais été testé refuse de fonctionner. Et pour ce dernier cas, c'est extrêmement grave quand on connait le nombre de plates formes en exploitation dans le monde entier et que l'avenir de l'exploitation prétrolière passe par l'exploitation off shore. La recherche du profit immédiat explique en grande partie les économies sur la sécurité et l'impression qui s'en dégage de la part des compagnies pétrolières, est un je m'enfoutisme total. Ilest temps que la société civile commence à se mêler de ces affaires avant que cela ne soit trop tard.

Le constat affligeant est que nous maitrisons pas grand chose, que ceux qui sensés prévenir ce genre de catastrophe ne le font pas.






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