A minuit, je serai peut être ici en compagnie de la planète.
http://www.timessquarenyc.org/events/new-years-eve/webcast/index.aspx#.VJ6fy_8sKA
mercredi 31 décembre 2014
dimanche 14 décembre 2014
Combattants pour la France et morts par la France
Quelques vérités sur le 7e Régiment des Tirailleurs Algériens (7e RTA)
Qui parlera enfin de ces tirailleurs musulmans portant l’uniforme de l’armée française et massacrés par les tenants de l’Algérie française.
Là où la réalité dépasse la fiction.
Tout commence un jour du début de l’année 1957 où le capitaine commandant le détachement du 2e bataillon du 7e Régiment des tirailleurs algériens stationné à Maafa rencontre chez le coiffeur à Batna un sergent musulman qui servait sous ses ordres durant la campagne d’Indochine.
Le capitaine propose donc à son sous-officier de venir le rejoindre et de se rengager en pleine guerre d’indépendance. Dans un premier temps, celui-ci refuse puis après quelques jours s’en va frapper à la porte du cantonnement du poste de Maafa. Il demande à rejoindre la compagnie du capitaine, sans doute sur ordre du FLN.
Après plusieurs semaines, le sergent déserte en compagnie d’une dizaine de tirailleurs musulmans en juin 1957 avec armes et bagages.
Au cours d’opérations successives de l’Armée française dans cette région des Aurès, ces tirailleurs musulmans déserteurs sont repris un à un par l’armée coloniale. Au mois de mai 1958, le dernier d’entre eux parle sous la torture et déclare que la 6e compagnie du 7e Régiment de tirailleurs stationné à Mdoukel près de Barika, dont le chef de bataillon est le commandant Adam doit déserter. Les éléments musulmans devaient déserter en bloc emportant avec eux le lieutenant commandant la compagnie comme otage.
Quelques jours après, en mai 1958, la 6e compagnie reçoit l’ordre de partir en opérations jusqu’au Djebel Refaa situé près d’El Kantara. Arrivés sur place, la compagnie reçoit l’ordre de déposer les armes en formant des faisceaux en séparant les tirailleurs Musulmans des Européens. A ce moment là surgit un détachement de parachutistes qui cernaient le lieu où se trouvait la 6e compagnie, tous les tirailleurs musulmans ont été exécutés sur place.
Ce après quoi le 2e bureau de l’Armée française prend conscience de l’ampleur du mouvement qui portait les tirailleurs musulmans à déserter et ouvre un camp d’internement et d’action psychologique suivant les méthodes du Viet Minh à El Outaya entre El Kantara et Biskra où se trouvait le 3e bataillon du 7e RTA.
C’est ainsi que démarre sous l’égide de l’Armée française une campagne de lavage de cerveaux auprès des tirailleurs musulmans venant de plusieurs régiments d’Algérie enfermés dans ce camp. Des « corvées de bois » régulières éliminent ceux dont le profil et le comportement ne convenaient pas aux spécialistes du 2e bureau chargé de ce camp d’internement qui resta ouvert durant plusieurs mois.
Les prisonniers qui leur semblaient « récupérables » ont ensuite été incorporés à des commandos de chasse, tous les autres, la plus grande majorité, ont été torturés et massacrés par l’Armée française dont ils portaient l’uniforme.
Combien de centaines de tirailleurs musulmans, appelés et engagés, portant l’uniforme militaire, ont-ils été ainsi massacrés, sans autre forme de procès, par l’Armée française dont ils faisaient partie ? Ils étaient sortis des effectifs de l’Armée coloniale au prétexte de ne pas avoir rejoint leur cantonnement ; bien sûr, leurs familles n’eurent plus jamais de leurs nouvelles.
Cet épisode tragique de la guerre d’Indépendance n’a jamais été révélé. Il suffit pourtant d’aller enquêter à El Outaya pour savoir ce qui s’est réellement passé durant les derniers mois de cette année 1958 où De Gaulle est parvenu au pouvoir.
Ainsi, s’achève l’un des drames parmi les plus atroces de la guerre d’Algérie où les fils des tirailleurs du 7e RTA dont les anciens, par dizaines de milliers, ont versé leur sang pour la France durant la 1ere et la 2eme Guerre mondiale. Ce qui a valu au 7e Régiment de Tirailleurs Algériens d’être décoré de la légion d’honneur et de porter la fourragère rouge.
En 1962, le 7e RTA est regroupé à Barika où il a été dissous sans autre forme de procès. Tous les tirailleurs musulmans ont été renvoyés dans leurs foyers avec l’accueil que l’on peut imaginer. Le reste du régiment a été rapatrié à Epinal dans les Vosges. Qui parlera un jour de tous ces jeunes tirailleurs musulmans disparus ou massacrés sommairement sans aucune forme de jugement ?
Sergent-Chef Adidène de la 8ème Compagnie
Qui parlera enfin de ces tirailleurs musulmans portant l’uniforme de l’armée française et massacrés par les tenants de l’Algérie française.
Là où la réalité dépasse la fiction.
Tout commence un jour du début de l’année 1957 où le capitaine commandant le détachement du 2e bataillon du 7e Régiment des tirailleurs algériens stationné à Maafa rencontre chez le coiffeur à Batna un sergent musulman qui servait sous ses ordres durant la campagne d’Indochine.
Le capitaine propose donc à son sous-officier de venir le rejoindre et de se rengager en pleine guerre d’indépendance. Dans un premier temps, celui-ci refuse puis après quelques jours s’en va frapper à la porte du cantonnement du poste de Maafa. Il demande à rejoindre la compagnie du capitaine, sans doute sur ordre du FLN.
Après plusieurs semaines, le sergent déserte en compagnie d’une dizaine de tirailleurs musulmans en juin 1957 avec armes et bagages.
Au cours d’opérations successives de l’Armée française dans cette région des Aurès, ces tirailleurs musulmans déserteurs sont repris un à un par l’armée coloniale. Au mois de mai 1958, le dernier d’entre eux parle sous la torture et déclare que la 6e compagnie du 7e Régiment de tirailleurs stationné à Mdoukel près de Barika, dont le chef de bataillon est le commandant Adam doit déserter. Les éléments musulmans devaient déserter en bloc emportant avec eux le lieutenant commandant la compagnie comme otage.
Quelques jours après, en mai 1958, la 6e compagnie reçoit l’ordre de partir en opérations jusqu’au Djebel Refaa situé près d’El Kantara. Arrivés sur place, la compagnie reçoit l’ordre de déposer les armes en formant des faisceaux en séparant les tirailleurs Musulmans des Européens. A ce moment là surgit un détachement de parachutistes qui cernaient le lieu où se trouvait la 6e compagnie, tous les tirailleurs musulmans ont été exécutés sur place.
Ce après quoi le 2e bureau de l’Armée française prend conscience de l’ampleur du mouvement qui portait les tirailleurs musulmans à déserter et ouvre un camp d’internement et d’action psychologique suivant les méthodes du Viet Minh à El Outaya entre El Kantara et Biskra où se trouvait le 3e bataillon du 7e RTA.
C’est ainsi que démarre sous l’égide de l’Armée française une campagne de lavage de cerveaux auprès des tirailleurs musulmans venant de plusieurs régiments d’Algérie enfermés dans ce camp. Des « corvées de bois » régulières éliminent ceux dont le profil et le comportement ne convenaient pas aux spécialistes du 2e bureau chargé de ce camp d’internement qui resta ouvert durant plusieurs mois.
Les prisonniers qui leur semblaient « récupérables » ont ensuite été incorporés à des commandos de chasse, tous les autres, la plus grande majorité, ont été torturés et massacrés par l’Armée française dont ils portaient l’uniforme.
Combien de centaines de tirailleurs musulmans, appelés et engagés, portant l’uniforme militaire, ont-ils été ainsi massacrés, sans autre forme de procès, par l’Armée française dont ils faisaient partie ? Ils étaient sortis des effectifs de l’Armée coloniale au prétexte de ne pas avoir rejoint leur cantonnement ; bien sûr, leurs familles n’eurent plus jamais de leurs nouvelles.
Cet épisode tragique de la guerre d’Indépendance n’a jamais été révélé. Il suffit pourtant d’aller enquêter à El Outaya pour savoir ce qui s’est réellement passé durant les derniers mois de cette année 1958 où De Gaulle est parvenu au pouvoir.
Ainsi, s’achève l’un des drames parmi les plus atroces de la guerre d’Algérie où les fils des tirailleurs du 7e RTA dont les anciens, par dizaines de milliers, ont versé leur sang pour la France durant la 1ere et la 2eme Guerre mondiale. Ce qui a valu au 7e Régiment de Tirailleurs Algériens d’être décoré de la légion d’honneur et de porter la fourragère rouge.
En 1962, le 7e RTA est regroupé à Barika où il a été dissous sans autre forme de procès. Tous les tirailleurs musulmans ont été renvoyés dans leurs foyers avec l’accueil que l’on peut imaginer. Le reste du régiment a été rapatrié à Epinal dans les Vosges. Qui parlera un jour de tous ces jeunes tirailleurs musulmans disparus ou massacrés sommairement sans aucune forme de jugement ?
Sergent-Chef Adidène de la 8ème Compagnie
jeudi 11 décembre 2014
Albert II de Monaco, un prince misogyne et une presse hypocrite
Charlène 08/10/14.SIPA |
En 2002, le Prince Rainier, soucieux de voir son fils Albert, 46 ans toujours célibataire et sans héritier légitime (il est père de deux enfants illégitimes) avait fait ajouter à cet article une nouvelle règle qui permettait aux sœurs du Prince régnant, Caroline et Stéphanie, ou à leurs fils de lui succéder.
« À défaut de descendance directe et légitime, la succession s’opère au profit des frères et sœurs du Prince régnant et de leurs descendants directs et légitimes, par ordre de primogéniture avec priorité masculine au même degré de parenté » stipule cette loi n° 1.249 du 2 avril 2002, devenue aujourd’hui, inutile. Parmi les conditions, l'héritier doit être français ou Monégasque. Ainsi le trône s'est blindé pour encore longtemps et dire que la famille Grimaldi est descendante d'un brigand de grands chemins qui avait fait main basse sur le Rocher
Bizarrement, certains médias annoncent l'information en mettant en avant d'abord le garçon 'art1' , 'art2' ou alors que d'autres plus justement parlent d'abord de la fille 'art3' , 'art4' de manière plus logique. Par contre aucun n'est choqué que le garçon soit désigné héritier plutôt que la fille alors que la logique aurait voulu que ça soit plutôt la fille. Aucun commentaire sur la procédure qui a permis la naissance des jumeaux. Il semblerait vu l'âge de la mère et celui du père et le fait d'avoir eu des jumeaux qu'il y a fort à parier que le couple a fait appel à la procréation médicalement assistée . On me dira de quoi je me mêle mais bon, il n'est pas interdit de se poser la question même si je pense qu'à Monaco, celui qui oserait s'interroger la dessus, risquerait de la prison ferme d'après cet article qui m'a surpris: article1
Gabriella Thérèse Marie, est née à 17h04, et Jacques Honoré Rainier, deux minutes plus tard. Ils se portent bien, ainsi que leur mère. Né après sa soeur, Jacques est prioritaire dans l'ordre de succession en tant que garçon. Les bébés prennent les titres d'anciens fiefs de la famille Grimaldi: Jacques est marquis des Baux (en Provence) et Gabriella comtesse de Carladès (en Auvergne).
Charlène, mère a 36 ans
Il s’agit des premiers enfants de Charlène de Monaco, âgée de 36 ans. Le prince Albert II de Monaco, 56 ans, est déjà père d’une fille et d’un garçon, qu’il a reconnus officiellement après son avènement.
(lien1)http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_succession_th%C3%A9orique_au_tr%C3%B4ne_de_Monaco
Pour la petite Histoire Monaco et la famille régnante est le résultat d'une ruse .
Francesco (François) Grimaldi dit « le Rusé » (La Malizia en italien), est un personnage génois du xiiie siècle qui s'est emparé de Monaco par la ruse le 8 janvier 1297 et y a établi sa famille dynastique des Grimaldi qui règne jusqu’à nos jours.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Grimaldi_dit_%C2%AB_le_Rus%C3%A9_%C2%BB
mardi 9 décembre 2014
Liberté pour Samira Al-Khalil, Razan Zaitouneh, Wael Hamadi et Nazem Hammadi
A video for Razan Zaitouneh, a Syrian lawyer and human rights defender. She was awarded the 2011 Anna Politkovskaya Award in October 2011.
One of TDA's communicators spraying Razan's graffiti on a wall in Hamma in support of #Douma4 campaign.
Razan Zaitouneh parle du pouvoir baasiste dans une video issue de l'archive de l'ina.
-Razan zaitouneh speaking about the baas regime in 2005
L'icône de la révolution
Il y a un an, des miliciens à visages couverts ont enlevé à Douma Samira Al-Khalil, Razan Zaitouneh, Wael Hamadi et Nazem Hammadi, quatre activistes incarnant les valeurs, le courage et la détermination de la révolution syrienne. Nous réclamons leur libération immédiate, de même que celle de tous les détenus en Syrie, et exprimons notre solidarité avec leurs familles et camarades.
مضى عام على جريمة اختطاف سميرة الخليل ورزان زيتونة ووائل حمادة وناظم حمادي، أربعة ناشطين جسّدوا قيَم الثورة السورية وشجاعة كفاحها، على يد مسلّحين ملثّمين في دوما، كبريات مدن الغوطة الشرقية. نطالب بالإفراج الفوري عن المخطوفين الأربعة، وعن جميع المخطوفين والمعتقلين في سوريا، ونؤكّد تضامننا الكامل مع عائلاتهم ورفاقهم
A propos de Razan... personne n'a oublié son visage angélique. L'icone de la révolution... Avocate, écrivaine, militante pour les droits de l'homme, lauréate de nombreux Prix, elle a été enlevée le 9 décembre 2013 en Syrie, avec trois activistes non violents. Son dernier témoignage en vidéo. Traduction en français : « Je m'appelle Razan Zaitouneh, militante des droits de l'homme de Damas. Je suis aujourd'hui basée dans la Ghouta orientale, une banlieue de Damas. La zone a été libérée des forces du régime mais nous sommes victimes de bombardements quotidiens de la part des forces du régime, surtout des avions MIG. Au moins trois à quatre personnes sont tuées chaque jour dans la ville de Douma. Mais peut-être est-il préférable de mourir ainsi. L'alternative est une mort lente et douloureuse subie à chaque seconde, à chaque endroit. C'est le siège, le manque de nourriture, de médicaments et d'essence. C'est très difficile d'expliquer ce que signifie vivre sous un siège. Par exemple, comment expliquer à quelqu'un que votre enfant n'a pas mangé d'œufs ou bu de lait depuis plusieurs mois ? Comment expliquer qu'ici il n'y a pas de chocolat ou de biscuits mais que les seules friandises que nous pouvons donner à nos enfants sont des dattes, une nourriture avec laquelle nous nourrissions nos bêtes par le passé ? Ces histoires sont seulement quelques-unes des histoires innombrables qui décrivent la vie sous un siège et la violence horrible du régime. Il y a de nombreuses autres histoires à raconter qui parlent de vie, d'espoir et de persévérance. Nous avons ouvert deux centres pour les femmes dans la Ghouta où elles peuvent acquérir de nouvelles compétences pour assurer la survie de leur famille. Plus important, le centre leur offre un lieu pour se rencontrer, se soutenir et se donner de l'espoir en ces temps difficiles. Au cours des trois derniers mois, plus de 300 femmes ont rejoint le centre et d'autres encore sont sur liste d'attente. Nous avons distribué des paniers de nourriture pour des centaines de familles et des équipements techniques pour des dizaines de militants. C'est incroyable de pouvoir aider les gens en ces temps difficiles et de faire vivre l'espoir ; d'offrir à des gens qui vivent dans un environnement de guerre civile la possibilité de se soustraire à la violence ambiante et à la mort. Un autre objectif que nous pourrions réaliser est de parvenir à un meilleur équilibre entre l'aide humanitaire et les activités civiles parce que nous avons autant besoin de l'un que de l'autre. C'est pourquoi le bureau du développement local et des projets sportifs est actif à plusieurs niveaux : aider les conseils locaux, porter de petits projets productifs et aider les projets de femmes dans différents lieux. On doit conserver ce nécessaire équilibre car l'un nourrit l'autre. Pour le travail juridique, nous continuerons à amasser de documents sur les crimes du régime et à demander la libération de tous les prisonniers politiques. N'oublions pas nos prisonniers comme Mazen Darwich, le courageux journaliste et militant qui est en prison depuis près de deux ans maintenant. Il ne faut pas oublier que chaque prisonnier vit sous les menaces de torture et de mort. Plus de 4000 prisonniers ont été tués. Les conditions de la guerre permettent seulement de voir la face sombre de ce qu'il se passe. Mais il y a une face lumineuse et incroyable à tout cela. Ce sont les gens, les femmes et les hommes qui agissent en silence sur le terrain pour réaliser leurs rêves de liberté et de justice, améliorer le quotidien pour que rien - pas même nos plus de 100 000 morts ou le difficile siège ou la trahison de la communauté internationale - ne puisse jamais annihiler la volonté du peuple qui a un rêve et une foi en l'avenir. J'exprime mon grand respect à toutes ces courageuses personnes. Continuons à travailler ensemble pour rendre leur vie plus supportable et rendre leur rêve plus accessible. Merci à tous de me donner l'opportunité de faire entendre mon message. » (droits réservés)
Razan Zaitouneh was abducted in the Damascus suburb of Douma, along with her husband and two colleagues, by unknown individuals on 9 December 2013. She recorded this message and sent it to FIDH on 4 December 2013.
Razan Zaitouneh a été enlevée dans la banlieue de Damas de Douma, avec son mari et ses deux collègues, par des inconnus le 9 Décembre 2013. Elle a enregistré ce message et l'a envoyé à la FIDH le 4 Décembre 2013.
lien de la vidéo : https://www.fidh.org/International-Federation-for-Human-Rights/north-africa-middle-east/syria/14377-syria-abducted-human-rights-lawyer-razan-zaitouneh-and-her-three
lien de la vidéo : https://www.fidh.org/International-Federation-for-Human-Rights/north-africa-middle-east/syria/14377-syria-abducted-human-rights-lawyer-razan-zaitouneh-and-her-three
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dimanche 7 décembre 2014
Fète des Lumières 2014, encore 1 jour
ça a démarré vendredi 5 décembre et ça se termine lundi 8 décembre en apothéose.
Le lien officiel des manifestations qui ont connu leur apogée dans la nuit de Samedi à Dimanche.
Toutes les infos sur la fête sont sur : http://www.fetedeslumieres.lyon.fr/
vendredi 5 décembre 2014
Le silence des médias
Je suis surpris, gravement même étonné qu'un fait divers dramatique qui s'est déroulé hier n'ait pas donné lieu à la moindre dépêche de la part des médias français. J'ai découvert la terrible information par hasard en lisant un journal algérien, El Watan en date d'aujourd'hui pour découvrir l'horreur qui s'est produite jeudi en mer méditerranée au Sud des côtes Italiennes: 17 morts, 17 vies ôtées par la Mer à jamais.
Ce n'est pas la première que je constate cette indifférence de la part des médias français par rapport aux drames de la méditerranée. Je ne comprends pas cette indifférence alors que dans le même temps, on nous bourre le crâne avec des stupidités.
A t-on peur d'effrayer les consciences et de décourager les Français de faire la fête. C'est ignoble mais la vérité a besoin d'être éclairée sinon, c'est nous qui finiront dans l'abîme du mensonge.
Voici un extrait de l'article:
Ce n'est pas la première que je constate cette indifférence de la part des médias français par rapport aux drames de la méditerranée. Je ne comprends pas cette indifférence alors que dans le même temps, on nous bourre le crâne avec des stupidités.
A t-on peur d'effrayer les consciences et de décourager les Français de faire la fête. C'est ignoble mais la vérité a besoin d'être éclairée sinon, c'est nous qui finiront dans l'abîme du mensonge.
Voici un extrait de l'article:
Dix-sept migrants sont morts, apparemment d'hypothermie et de déshydradation, sur un canot pneumatique secouru jeudi par les gardes-côtes italiens au sud de l'île de Lampedusa, indique un communiqué de la marine militaire.
Lors de cette opération de secours, les gardes-côtes et la marine
italienne ont découvert à bord du canot les cadavres de 16 personnes,
ainsi que 76 migrants encore en vie. Les corps ont été transbordés
sur une vedette des garde-côtes qui se dirigeait vers le port de
Porto Empedocle, en Sicile.
Deux des naufragés survivants d'entre eux se trouvaient dans un état
critique: l'un est décédé peu après l'arrivée des secours et l'autre a
été évacué par hélicoptère vers un hôpital. Ces dernières heures,
la marine italienne a également secouru quelque 200 migrants qui se
trouvaient sur deux autres embarcations de fortune.
Depuis l'été 2013, l'Italie est confrontée à des arrivées de plus en
plus massives par la mer: près de 8.000 au premier semestre 2013,
35.000 au second, 65.000 au premier semestre 2014 et le total de cette
année est déjà estimé à plus de 160.000, soit une moyenne de 400
personnes par jour. Le voyage est pourtant très risqué: au moins
3.200 candidats à l'exil ont trouvé la mort en Méditerranée cette
année selon l'Organisation internationale pour les migrations
(OIM).
http://www.amnesty.fr/Nos-campagnes/Refugies-et-migrants/Actions/Ne-laissons-plus-mourir-les-migrants-nos-frontieres-12113
http://www.amnesty.fr/Nos-campagnes/Refugies-et-migrants/Actions/Ne-laissons-plus-mourir-les-migrants-nos-frontieres-12113
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jeudi 4 décembre 2014
A qui profite l'assassinat de Said Mekbel ?
C'est difficile de parle de la terrible disparition , il y a exactement 20 ans, le 3 décembre 1994 de Saïd Mekbel , Mesmar J’ha pour les intimes, sans évoquer les responsabilités, les auteurs du crime abject et surtout les profiteurs de l'irréversible acte.
Celui qui a porté le coup fatal n'est peut être pas celui qui en tire le plus grand bénéfice. A vrai dire, Mekbel avait réussi à se faire des ennemis de partout. Entre ceux qui le haïssaient à vouloir sa mort parce qu'il s'était opposé ouvertement contre eux, les islamistes du FIS et du GIA et ceux qu'il soutenait, les militaires , les voyant comme la dernière barrière contre le chaos et les seuls en mesure de sauver le pays, le décideur pouvait très bien être l'un, l'autre ou les deux. Mekbel en savait trop sur les agissements des militaires et allait il parler. Mekbel était réputé pour être une personnalité intellectuellement irréprochable donc difficilement corruptible, dangereux donc.
Tout a été dit sur le lâche assassinat d'un intellectuel qui revendiquait haut et fort ses opinions politiques de patriote algérien, attaché à la liberté de pensée, aux droits des femmes et la laïcité. Il était menacé ouvertement par les groupes islamistes qui menaient une guerre ouverte contre le régime des militaires qui multipliait les actions de représailles meurtrières contre les groupes islamistes utilisant tous les moyens comme des escadrons de la mort qui tuaient, enlevaient et torturaient.
C'était les années noires , période cruciale pour les intellectuels et les civils en général surtout les plus démunis. A vrai dire, nul n'était à l'abri. Ni les intellectuels qui étaient d'office associés aux régime qu'ils soient francophones, berbérophones ou arabophones, ni les familles de ceux qui avaient choisi le combat contre le régime.
Qui était Saïd Mekbel : Un intellectuel, docteur-ingénieur, journaliste, chroniqueur , une plume qui comptait dans l'Algérie d'après guerre, qui avait goûté comme bien d'autres à la "question" en 1967.
Celui qui a porté le coup fatal n'est peut être pas celui qui en tire le plus grand bénéfice. A vrai dire, Mekbel avait réussi à se faire des ennemis de partout. Entre ceux qui le haïssaient à vouloir sa mort parce qu'il s'était opposé ouvertement contre eux, les islamistes du FIS et du GIA et ceux qu'il soutenait, les militaires , les voyant comme la dernière barrière contre le chaos et les seuls en mesure de sauver le pays, le décideur pouvait très bien être l'un, l'autre ou les deux. Mekbel en savait trop sur les agissements des militaires et allait il parler. Mekbel était réputé pour être une personnalité intellectuellement irréprochable donc difficilement corruptible, dangereux donc.
Tout a été dit sur le lâche assassinat d'un intellectuel qui revendiquait haut et fort ses opinions politiques de patriote algérien, attaché à la liberté de pensée, aux droits des femmes et la laïcité. Il était menacé ouvertement par les groupes islamistes qui menaient une guerre ouverte contre le régime des militaires qui multipliait les actions de représailles meurtrières contre les groupes islamistes utilisant tous les moyens comme des escadrons de la mort qui tuaient, enlevaient et torturaient.
C'était les années noires , période cruciale pour les intellectuels et les civils en général surtout les plus démunis. A vrai dire, nul n'était à l'abri. Ni les intellectuels qui étaient d'office associés aux régime qu'ils soient francophones, berbérophones ou arabophones, ni les familles de ceux qui avaient choisi le combat contre le régime.
Qui était Saïd Mekbel : Un intellectuel, docteur-ingénieur, journaliste, chroniqueur , une plume qui comptait dans l'Algérie d'après guerre, qui avait goûté comme bien d'autres à la "question" en 1967.
Durant les années noires, alors que son ami Tahar Djaout avait été assassiné 1 an plus tôt et que les intellectuels fuyaient l'Algérie, lui avait choisi le combat de l'intérieur et par la plume alors qu'il se savait exposé et recevait des menaces de mort. Il alliait son travail d'ingénieur et l'écriture de billets pour le journal qu'il avait fondé "Le Matin". Ce 3 décembre 1994, il était à table avec une amie quand un homme surgit par derrière lui logea 2 balles dans la tête. Ce n'est que le lendemain 4 décembre 1994 qu'il rendit l'âme pour rejoindre le carré des héros martyrs de l'Algérie moderne, celle qui par la plume a dit non à l'obscurantisme. Par la suite, des témoignages troublants ont semé le doute dans les esprits. Et si la main du DRS était derrière l'assassinat. Dans un pays où la collusion entre DRS et GIA était manifeste. Tout était possible comme le révèle quelques liens cités ci dessous que je vous invite à consulter. Pour le moment, le mystère est total. Même si sa mort était souhaitée par les groupes terroristes qui se battaient contre le pouvoir militaire et qu'on avait déjà attenté à sa vie et qu'il avait du mettre sa femme et ses enfants à l'abri à l'étranger, on e peut pas balayer l'idée d'une exécution décidée dans les services de la DRS.
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lundi 1 décembre 2014
Solidarité avec le Maroc, suite aux innondations meurtrières
Il s'agit d'un message de solidarité à partager et diffuser.
Suite aux inondations qui touchent plusieurs régions du Royaume, et
surtout le Sud où la population est très touchée, le groupe Ahebab wa
assehab lance une collecte de dons pour venir en aide aux familles
(vêtements chauds, couvertures, denrées alimentaires non périssables :
farine, huile, sucre...).
Il n’ya pas de minimum, ce qui vous semble dérisoire peut aider nos frères et sœurs en difficulté.
Notre action est concentrée sur la région de Telouet, Oued Ounila. On cible 15 douars (400 familles sans abri à ce jour). Les douars ciblés sont : Tourassine - Tiferwine - marouf - igherzgarhen - Asaka – Tagendouchte - Timlilte - Tamtkal - Ait mazdou – Bdan - Ighrem zaguagh - Ait ousaid - Ait atou - Tjegjite - Ait oumazire - Ait Hadou.
Nous sommes en contact directs avec les associations locales suivantes qui coordonnent sur place : Association Tourassine, Association Asaka, Associaiton Tajkjit et Association Tagundouchte-Timlilte.
Pour vos dons et pour toute information, prière contacter les relais et ambassadeurs suivants :
Coordination Générale : Mohamed Aouzal 06 20 69 06 26
Casablanca : Mamoun Iraqui Houssaini 063111 5005 ; Jamila Remchi ; Shams Sahbani
Marrakech : Ghita 06 61 23 27 28 ; Mohamed Aouzal 06 20 69 06 26
Rabat : Mohammed Marakchi 06 75 29 39 36 ; Shams Sahbani
Agadir : Maskour Mohamed 06 61 86 01 94
Safi : Jihada El Fergi 06 61 39 38 03 ; Ayoub Moumni 06 99 48 71 79 ; Imad Slimani 06 61 50 02 13
Toutes ces personnes sont sur facebook, n’hésitez pas à les contacter !
Nous comptons sur votre soutien et votre générosité intarissables. Numéro de compte bancaire de l’association : 011450000021200000152523
Agence BMCE Marrakech El Harti
Il n’ya pas de minimum, ce qui vous semble dérisoire peut aider nos frères et sœurs en difficulté.
Notre action est concentrée sur la région de Telouet, Oued Ounila. On cible 15 douars (400 familles sans abri à ce jour). Les douars ciblés sont : Tourassine - Tiferwine - marouf - igherzgarhen - Asaka – Tagendouchte - Timlilte - Tamtkal - Ait mazdou – Bdan - Ighrem zaguagh - Ait ousaid - Ait atou - Tjegjite - Ait oumazire - Ait Hadou.
Nous sommes en contact directs avec les associations locales suivantes qui coordonnent sur place : Association Tourassine, Association Asaka, Associaiton Tajkjit et Association Tagundouchte-Timlilte.
Pour vos dons et pour toute information, prière contacter les relais et ambassadeurs suivants :
Coordination Générale : Mohamed Aouzal 06 20 69 06 26
Casablanca : Mamoun Iraqui Houssaini 063111 5005 ; Jamila Remchi ; Shams Sahbani
Marrakech : Ghita 06 61 23 27 28 ; Mohamed Aouzal 06 20 69 06 26
Rabat : Mohammed Marakchi 06 75 29 39 36 ; Shams Sahbani
Agadir : Maskour Mohamed 06 61 86 01 94
Safi : Jihada El Fergi 06 61 39 38 03 ; Ayoub Moumni 06 99 48 71 79 ; Imad Slimani 06 61 50 02 13
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solidarité
les plateformes de mise en relation entre particuliers sont elles hors la loi ?
Aujourd'hui, UBER, le champion mondial du VTC est confronté à une guerre sans merci partout dans le monde qui l'oppose aux sociétés traditionnelles du transport de particuliers. Pour le cas de la France et dans le cadre du projet de loi Thévenoud assez bâclé et voté à la vite si on se réfère à l'article 12, " les plateformes de mise en relation entre particuliers dans le cadre d’une activité de transport à titre onéreux sont interdites".
Si le juge appuie sa décision le 12 décembre sur cet article pour considérer qu'Uber mène une activité illégale et qu'en plus il considère qu'Uber mène une concurrence déloyale à l'encontre des chauffeurs de Taxi et des VTC alors, c'est tout le covoiturage en France qu'il faut remettre en question et dans ce cas dans le cadre de l'égalité devant la loi, ça placerait des plateformes comme Blablacar, Heetch, Djump et même tous les services de covoiturage initiés par le Grand Lyon et le conseil général du Rhône. Si on applique à la lettre, un partage des frais implique un transport à titre onéreux.
Si le juge appuie sa décision le 12 décembre sur cet article pour considérer qu'Uber mène une activité illégale et qu'en plus il considère qu'Uber mène une concurrence déloyale à l'encontre des chauffeurs de Taxi et des VTC alors, c'est tout le covoiturage en France qu'il faut remettre en question et dans ce cas dans le cadre de l'égalité devant la loi, ça placerait des plateformes comme Blablacar, Heetch, Djump et même tous les services de covoiturage initiés par le Grand Lyon et le conseil général du Rhône. Si on applique à la lettre, un partage des frais implique un transport à titre onéreux.
J'irai même plus loin, on pourrait même considérer que le transport à titre gratuit deviendrait illégal étant donné que les particuliers ne sont pas sensés avoir des assurances adaptées à ce type de transport et que le transport public est une activité réglementée et réservée aux professionnels taxis et Vtc en oubliant au passage qu'il existe bon nombre d'entreprises qui ne sont ni taxis, ni VTC et qui font du transport public dans le cadre de sorties scolaires ou sportives à titre onéreux ou pas. Il y a vraiment besoin de tout mettre à plat et très sérieusement surtout qu'il y a des textes qui considèrent que la réglementation actuelle sur le covoiturage précise que la somme
gagnée par les conducteurs ne doit pas dépasser les frais annuels du
véhicule. Mais rien n'est chiffré. La limite est finalement très floue.
Nous avons pris l'exemple du transport mais on pourrait l'étendre à de très nombreuses activités gratuites et non gratuites proposées par les plateformes de mise en relation entre particuliers. Cela va de la location d'appartement qui concurrence les gîtes et hôtels, à la vente de biens de tout genre qui entraîne des pertes de recettes fiscales ou la proposition de services normalement payants . Il est clair que les plateformes de mise en relation entre particuliers dans tous les domaines tant vantées auparavant deviennent un cauchemar pour le trésor publique.
Au fait que dit la loi:
Les prestations de service entre particuliers représentent des transactions qui doivent être déclarées. Bien qu’il s’agisse généralement de petites sommes et de montants de quelques dizaines d’euros, ces échanges de service contre rémunération doivent faire l’objet d’un contrat et d’une déclaration auprès des organismes fiscaux et notamment du fisc. Même si la mission ne dure que quelques minutes ou quelques heures, le Client devient temporairement « employé » du prestataire. Dans ce cadre, la loi exige un contrat de travail et pose un certain nombre de droits et devoirs. Sous peine de requalifier la prestation de service en travail illégal, travail au noir. (http://blog.jobbers.co/bon-plan-jobbing-reduire-ses-impots-grace-jobbersco/)
Nous avons pris l'exemple du transport mais on pourrait l'étendre à de très nombreuses activités gratuites et non gratuites proposées par les plateformes de mise en relation entre particuliers. Cela va de la location d'appartement qui concurrence les gîtes et hôtels, à la vente de biens de tout genre qui entraîne des pertes de recettes fiscales ou la proposition de services normalement payants . Il est clair que les plateformes de mise en relation entre particuliers dans tous les domaines tant vantées auparavant deviennent un cauchemar pour le trésor publique.
Au fait que dit la loi:
Les prestations de service entre particuliers représentent des transactions qui doivent être déclarées. Bien qu’il s’agisse généralement de petites sommes et de montants de quelques dizaines d’euros, ces échanges de service contre rémunération doivent faire l’objet d’un contrat et d’une déclaration auprès des organismes fiscaux et notamment du fisc. Même si la mission ne dure que quelques minutes ou quelques heures, le Client devient temporairement « employé » du prestataire. Dans ce cadre, la loi exige un contrat de travail et pose un certain nombre de droits et devoirs. Sous peine de requalifier la prestation de service en travail illégal, travail au noir. (http://blog.jobbers.co/bon-plan-jobbing-reduire-ses-impots-grace-jobbersco/)
http://www.liberation.fr/economie/2014/11/20/contre-uberpop-taxis-et-vtc-s-unissent_1147374
http://www.maddyness.com/prospective/2014/11/21/location-francais-objets/
http://www.automobile-propre.com/breves/circulation-alternee-le-covoiturage-et-la-location-de-voiture-entre-particuliers-sont-les-grands-gagnants/
http://www.maddyness.com/prospective/2014/11/21/location-francais-objets/
http://www.automobile-propre.com/breves/circulation-alternee-le-covoiturage-et-la-location-de-voiture-entre-particuliers-sont-les-grands-gagnants/
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lundi 24 novembre 2014
Le 8 décembre 2014, c'est la fête du Cardon au Village de Vaulx-en-Velin.
Pour en savoir plus : http://onvaulxmieuxqueca.ouvaton.org/spip.php?article2061
Extrait de l'article du lien ci-dessous :
Tout est bon dans le cardon ! Les 7 et 8 décembre, le meilleur
ambassadeur de la ville sera célébré lors de la traditionnelle Fête
des cardons.
LE CARDON ? C’est le légume de Vaulx ! Cela reste l’emblème de la ville, même si on a de moins en moins de maraîchers”, note
Claude Castaldi, le président du comité des fêtes et d’animation des
commerçants, maraîchers et habitants. Les légumes typiques de la
région – le cresson de Saint-Symphorien d’Ozon, le poireau de Solaize
et bien sûr, le cardon de Vaulx-en-Velin – ont le vent en poupe.
Longtemps connus des seuls initiés et cantonnés au folklore local, ils
apparaissent depuis quelques années aux cartes des fleurons de la
gastronomie, Bocuse en tête. Plus que jamais, le car- don fait donc la
fierté de la ville.
Pour la 31e année consécutive, Vaulx
fêtera son emblème, dimanche 7 et lundi 8 décembre. Les maîtres mots
de cet évènement : convivialité et tradition. “C’est une belle fête très fédératrice. Les gens se la sont vraiment appropriées au fil des ans, continue le président. A la différence de la Fête des lumières de Lyon, elle appartient toujours aux habitants”.
Tout
aussi populaire que la Fête des cardons, la soirée d’épluchage, la
veille, devrait rassembler beaucoup d’habitués. Près de 600 kilos sont
préparés chaque année à l’école Langevin, avant le traditionnel
repas dansant (18 euros). Réservation aux permanences du comité, du 19
au 21 novembre et du 24 au 28 novembre, de 16 à 18 heures.
5000
convives sont attendus dans les rues du Village le lundi 8 décembre au
soir. Stands gastronomiques, manèges, animations de rue, structures
gonflables concerts... dès 19 heures, la place Gilbert-Boissier
revêtira ses habits de lumière pour accueillir les visiteurs venus
déguster le célèbre gratin de cardons. Comme chaque année, les
bénéfices de la soirée seront reversés à une association. Pour
cette édition, le comité des fêtes a choisi de mettre à l’honneur le
Blé de l’espérance qui vient en aide aux jeunes malades en milieu
hospitalier.
Maxence Knepper
Pratique : Comité des fêtes et d’animation des commerçants, maraîchers et habitants, 55 rue de la République. Tél : 06 85 07 32 13. cardons.comitedesfetes@laposte.net
PARALLÈLEMENT à la Fête du cardon,
l’association Passerelles horizons ouvrira ses portes à partir de 18h,
le 8 décembre. Une tradition pour les bénévoles, qui proposeront de
goùter toutes sortes de potages : de la traditionnelle soupe de
poireaux à la chorba en passant par le minestrone. “Depuis la création de l’association en 1998, nous organisons ce temps convivial et gratuit, explique Abid Saït, le président. C’est
un prétexte pour se réchauffer, car en attendant que le cardon
gratiné soit servi, il fait froid. Sans concurrencer la Fête du
cardon, nous proposons une petite halte dans nos locaux. En moyenne nous
recevons près d’une centaine de personnes chaque année”.
Au
delà de la dégustation de soupes, Passerelles horizons est une
association multiculturelle. Elle rayonne sur le Village et propose des
échanges de savoir-faire et recense près d’une cinquantaine de
familles. Au rez-de-chaussée de l’espace associatif rue Franklin, elle
dispense aussi du soutien scolaire chaque jeudi avec des étudiants de
l’ENTPE. Enfin, un vendredi sur deux, l’association du Village avec le
service municipal Petite enfance, accueille l’espace jeu. Passerelles
horizons reçoit des subventions de la ville et de la Caf pour le
soutien scolaire.
R.C
Pratique : Passerelles horizons, espace associatif Lamaze, 15 rue Franklin. Tél : 06 73 79 17 06.
Photo © Marion Parent
encore un lien http://www.vaulx-en-velin-journal.com/Actualites/Cadre-de-vie/Cardons-le-moral-!
(Lyon, le progrès) |
(Lyon, le Progrès) |
dimanche 23 novembre 2014
Prévention de la radicalisation en milieu scolaire
"Prévention de la radicalisation en milieu scolaire", c'est le nom d'un rapport interne du rectorat de la Vienne de 14 pages destiné aux chefs d'établissement de la Vienne. Il n'est pas à usage publique mais il ne fallait pas rêver et s'attendre qu'il soit après avoir été diffusé oublié au fond d'un tiroir. Médiapart, le site d'information spécialisé en scoops de tout genre s'est vite dépêché de le publier en mode payant évidemment. Le site ne vit pas d'amour et d'eau fraiche et son indépendance a un prix pas très élevé à vrai dire. Cependant, ça m'énerve de payer juste pour une info que je savais vite me procurer sans trop d'effort même s'il est normal d'affirmer que c'est grâce à Médiapart que l'information est arrivée jusqu'à moi.
Etant curieux par nature, je me suis d'abord mis à surfer quelques minutes dans la toile pour me rendre compte que beaucoup en parlait mais sans donner l'impression d'avoir lu le rapport et il n'y a rien plus agaçant de voir des copier coller d'un article de France3 que voici ici et repris sans grand effort par des sites dont on attendait un peu plus de leur part comme :
http://oumma.com/215709/detecter-un-musulman-radical-selon-rectorat-de-poitie
Etant curieux par nature, je me suis d'abord mis à surfer quelques minutes dans la toile pour me rendre compte que beaucoup en parlait mais sans donner l'impression d'avoir lu le rapport et il n'y a rien plus agaçant de voir des copier coller d'un article de France3 que voici ici et repris sans grand effort par des sites dont on attendait un peu plus de leur part comme :
http://oumma.com/215709/detecter-un-musulman-radical-selon-rectorat-de-poitie
http://sunna-magazine.com/actualite-islamique/les-symptomes-de-la-radicalisation-religieuse-selon-l-education-nationale/
http://journaldumusulman.fr/le-document-embarassant-pour-le-rectorat-de-poitiers-qui-incite-a-ficher-les-musulmans/
http://journaldumusulman.fr/le-document-embarassant-pour-le-rectorat-de-poitiers-qui-incite-a-ficher-les-musulmans/
Un exception tout de même: http://www.islamophobie.net/articles/2014/11/22/islamophobie-education-nationale
même des islamophobes, il n'y a rien à gratter qu'une simple reproduction d'un article piqué ailleurs. Les fins de semaine sont difficiles, on a pas trop envie de se décarcasser le cervelet. http://www.fdesouche.com/539563-radicalisation-religieuse-leducation-nationale-derape
Le seul site à publier en mode gratuit le fameux powerpoint en dehors de Médiapart fut Itélé : http://www.itele.fr/france/video/radicalisation-religieuse-un-document-du-rectorat-de-poitiers-cree-la-polemique-101488
Mais la palme d'or de la qualité de la diffusion revient au blog http://sans-langue-de-bois.eklablog.fr/radicalisation-religieuse-l-education-nationale-derape-a113381380
Un article complet et précis qui n'a rien à voir avec les torchons publiés par les sites dits islamiques ou de lutte contre l'islamophobie. Il faut dorénavant qu'ils travaillent mieux leurs sujets et publier des articles creux n'aide en rien les Musulmans et la majorité des internautes à éclairer leur lanterne.
Pour ceux qui n'auront pas le courage de cliquer sur les liens, le rapport explosif envoyé par l'académie de Poitiers est ici http://ekladata.com/8xXCRsMqBZwHr4IhQyKcmnEOUig/radicalisation_2014.pdf
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mardi 11 novembre 2014
chauffeur de taxi ou terroriste islamiste
Hier, alors que je me trouvais à Eurexpo pour la nuit Dantesque, j'ai eu du mal à faire la part des choses. en voyant 3 chauffeurs de taxis sortir de leur véhicule après avoir bloqué un véhicule d'un simple citoyen passé prendre des amis. Ils avaient décidé d'établir avec d'autres chauffeurs un barrage filtrant. Un barrage qui ne laissait aucune chance aux véhicules qui tombaient dans une véritable souricière sans aucune réaction de la police positionnée à 200m. Afin d'éviter une hécatombe, les services de sécurité d'Eurexpo avaient pris la décision de fermer l'entrée d'Eurexpo Nord provoquant un énorme bouchon à l'entrée. D'après le témoignage d'un participant à la nuit Dantesque, un conducteur aurait été tabassé par des chauffeurs de taxi en colère, des chauffeurs qui ressemblaient plus à des terroristes à la sauce talibane. Le plus incroyable fut la passivité de la police, restée en retrait des scènes de violence .
Un aperçu dans ce lien http://uberlyon.blogspot.fr/2014/11/respecte-dabord-ta-barbe-apres-tu.html
mercredi 5 novembre 2014
Que la victoire finale soit au rendez vous Kamel Daoud pour le prix Goncourt 2014
Je ne peux que te souhaiter le meilleur Kamel Daoud. Je t'ai connu à travers tes superbes chroniques du quotidien d'Oran et j'apprécie ton écriture vraie et sans concession quitte à te faire vilipender. Ton succès est tel que même tes détracteurs te lisent et te commentent. Tu mérites le respect et le succès que je souhaite au rendez vous à 13h. Bonne chance à toi en espérant te rencontrer pour de bon. On s'est raté de peu en mars 2012 mais ce n'est que partie remise.
Quelques liens pour découvrir ce fabuleux écrivain, chroniqueur.
Quelques liens pour découvrir ce fabuleux écrivain, chroniqueur.
http://www.actes-sud.fr/contributeurs/daoud-kamel
Pour ce Goncourt 2014, à chacun son point de vue.
Pour certains, ce fut une surprise.
http://www.rtl.fr/culture/arts-spectacles/meursault-contre-enquete-en-lice-pour-le-goncourt-et-le-renaudot-7774557535
Pour Slate, le cru 2014 est décevant
http://www.slate.fr/story/94207/goncourt-2014-mauvais
Pour moi, c'est une joie et je ne veux m'intéresser qu'au livre de Kamel Daoud, son premier roman : Meursault, contre-enquête, éditions Actes Sud
dont le sujet m'est familier et est en rapport avec le célèbre livre de Camus: "L'Etranger"
Cet homme qui soliloque dans un bar, nuit après nuit, c est le frère de l'Arabe tué par un certain Meursault dans un célèbre roman du XXe siècle. Soixante-dix ans après les faits, rage et frustration inentamées, le vieillard rend un nom au mort et donne chair à cette figure niée de la littérature : l'Arabe. Un roman profond sur les héritages qui conditionnent le présent et sur le pouvoir exceptionnel de la littérature pour dire le réel.
Voici un des commentaires d'un lecteur sur le site d'Amazone.fr
Editorialiste polémiste au Quotidien d'Oran, Kamel Daoud, a écrit un premier roman fascinant dans le jeu de miroirs qu'il tend à L'étranger de Camus. Dans son livre, ce dernier use 25 fois du terme "Arabe" mais ne cite jamais le nom ou le prénom du garçon assassiné. Et si le meurtrier est condamné ne l'est-il pas pour avoir manifesté peu d'émotion à la mort de sa mère davantage que pour son crime ? Daoud, tout en respectant le génie de Camus, attise sa réponse dans Meursault, contre-enquête, avec une insolence et un talent redoutables. Le roman est le monologue, dans un café d'Oran, d'un vieil homme qui prétend être le frère de cet Arabe anonyme tué sous un soleil accablant. Et de raconter sa longue vie, sorte de contrepoint troublant à celle de Meursault, jusqu'au meurtre, tout aussi absurde que celui de son "double" qui le libérera d'un lourd fardeau, tellement son existence, sous le poids d'une mère oppressante, était devenue un enfer depuis la mort de ce frère, dont le cadavre même n'a jamais été retrouvé. Au-delà de l'exercice de style, brillantissime, et de l'hommage à la langue française et à ses écrivains, Daoud revisite l'histoire de l'Algérie, du temps de la colonisation à aujourd'hui, en passant par l'Indépendance. Ironique, incisif, l'écrivain s'en prend aussi à la religion dans un mélange d'humour et de colère. Ce livre percutant et caustique est remarquable sur tous les plans et d'une densité stupéfiante en dépit de sa relative brièveté.
Pour ce premier roman, Kamel Daoud a toutes les chances de l'emporter. ça serait comme un clin d'oeil à Camus. Si le suspens est à la hauteur de l'évènement, je suis persuadé que bon nombre de lecteurs de Kamel sont comme moi impatients de connaitre le résultat qui sera lâché dans moins de 3 heures
http://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/jour-j-pour-le-goncourt-avec-un-verdict-a-suspense_1618770.html
Pour ce Goncourt 2014, à chacun son point de vue.
Pour certains, ce fut une surprise.
http://www.rtl.fr/culture/arts-spectacles/meursault-contre-enquete-en-lice-pour-le-goncourt-et-le-renaudot-7774557535
Pour Slate, le cru 2014 est décevant
http://www.slate.fr/story/94207/goncourt-2014-mauvais
Pour moi, c'est une joie et je ne veux m'intéresser qu'au livre de Kamel Daoud, son premier roman : Meursault, contre-enquête, éditions Actes Sud
dont le sujet m'est familier et est en rapport avec le célèbre livre de Camus: "L'Etranger"
Cet homme qui soliloque dans un bar, nuit après nuit, c est le frère de l'Arabe tué par un certain Meursault dans un célèbre roman du XXe siècle. Soixante-dix ans après les faits, rage et frustration inentamées, le vieillard rend un nom au mort et donne chair à cette figure niée de la littérature : l'Arabe. Un roman profond sur les héritages qui conditionnent le présent et sur le pouvoir exceptionnel de la littérature pour dire le réel.
Voici un des commentaires d'un lecteur sur le site d'Amazone.fr
Editorialiste polémiste au Quotidien d'Oran, Kamel Daoud, a écrit un premier roman fascinant dans le jeu de miroirs qu'il tend à L'étranger de Camus. Dans son livre, ce dernier use 25 fois du terme "Arabe" mais ne cite jamais le nom ou le prénom du garçon assassiné. Et si le meurtrier est condamné ne l'est-il pas pour avoir manifesté peu d'émotion à la mort de sa mère davantage que pour son crime ? Daoud, tout en respectant le génie de Camus, attise sa réponse dans Meursault, contre-enquête, avec une insolence et un talent redoutables. Le roman est le monologue, dans un café d'Oran, d'un vieil homme qui prétend être le frère de cet Arabe anonyme tué sous un soleil accablant. Et de raconter sa longue vie, sorte de contrepoint troublant à celle de Meursault, jusqu'au meurtre, tout aussi absurde que celui de son "double" qui le libérera d'un lourd fardeau, tellement son existence, sous le poids d'une mère oppressante, était devenue un enfer depuis la mort de ce frère, dont le cadavre même n'a jamais été retrouvé. Au-delà de l'exercice de style, brillantissime, et de l'hommage à la langue française et à ses écrivains, Daoud revisite l'histoire de l'Algérie, du temps de la colonisation à aujourd'hui, en passant par l'Indépendance. Ironique, incisif, l'écrivain s'en prend aussi à la religion dans un mélange d'humour et de colère. Ce livre percutant et caustique est remarquable sur tous les plans et d'une densité stupéfiante en dépit de sa relative brièveté.
Pour ce premier roman, Kamel Daoud a toutes les chances de l'emporter. ça serait comme un clin d'oeil à Camus. Si le suspens est à la hauteur de l'évènement, je suis persuadé que bon nombre de lecteurs de Kamel sont comme moi impatients de connaitre le résultat qui sera lâché dans moins de 3 heures
http://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/jour-j-pour-le-goncourt-avec-un-verdict-a-suspense_1618770.html
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