samedi 22 mars 2008

C'est qui le MoDem

L'article n'est pas de moi, on me l'a transmis, il est issu de la nébuleuse 'E-soutiens.bayrou.fr' sur laquelle rgne un despot qui a droit de vie et de mort sur les écrits. Je n'ai pas envie d'être sous le joug d'une petite frappe qui se prend pour un grand esprit et qui vit très mal d'avoir été floué alors qu'il faisait partie de la bande des 9 conspirateurs à Lyon. Il a joué de la censure comme un forcenné pour rien.

Il n'empêche qu'il y a encore des gens biens qui s'y expriment et de temps en temps on me refile des infos que je vous fais partager.







L'article parle d'une étude qui a été réalisée par Yann du 35 et qui mérite de sortir du cadre étroit d'E-soutiens.bayrou.fr Voici le lien : http://e-soutiens.bayrou.fr/ce_que_pensent_les_adherents_du_modem

En voici le détail




On reproche souvent au Mouvement Démocrate, nouvelle formation politique construite sur les bases de l’UDF, de ne pas avoir un positionnement politique clair et surtout de ne faire que reprendre les idées des autres partis. C’est la conséquence d’une communication simpliste sur le « ni-ni », à savoir ni de droite ni de gauche mais s’inspirant de ces deux courants idéologiques voire faisant alliance avec l’un et l’autre comme lors des municipales 2008. Alors le MoDem est-il juste un « machin » politicien, comme disait De Gaulle, qui ne sert à rien d’autre qu’à bricoler des alliances pour obtenir un maximum de sièges ici ou là ? Ça n’est pas en tout cas ce qui a motivé jusqu’ici des dizaines de milliers de français à adhérer au Mouvement Démocrate et des millions d’électeurs à lui faire confiance. Mais alors le MoDem, qu’est-ce que c’est ? Et surtout qu’est-ce qu’il propose ? Depuis plusieurs mois des adhérents ont participé à de nombreux débats sur le site
, bien sûr ce n’est qu’un échantillon de 350 adhérents parmi les 80% d’adhérents internautes du MoDem. Voici les résultats à fin mars 2008.
Pour commencer nous allons nous intéresser à ces adhérents. Ils ont
avec une répartition égale sur toutes les tranches d’âge, restent 5% entre 66 et 75 ans et quelques jeunes pousses démocrates (1% de moins de 18 ans). Sans surprise
, ensuite en Rhône-Alpes (12%) puis PACA, Midi-Pyrénées, Bretagne, etc... Ils ont un
puisque la moitié ont plus de BAC 3 et les deux tiers ont plus de BAC 2. Ils occupent d’ailleurs en grande majorité des
, quant aux retraités et étudiants ils représentent 30%. La moitié se déclarent d’un
, les autres se répartissant entre milieu aisé et milieu favorisé (1% très défavorisé). Enfin
qui permettrait à chaque nouveau salarié de savoir dans quel genre d’entreprise il s’engage.
mais un positionnement « démocrate ». En cas d’absence d’un candidat MoDem dans une élection, 73% souhaitent qu’il y ait un
quand même, 46% préférant toutefois que le candidat MoDem recalé garde le
personnel. Les consignes de vote ne sont d’ailleurs souhaitées que par 5% des adhérents… Et si au 1er tour le
ne leur plaît pas, 28% feraient un autre choix, 6% ne voteraient pas et 12% se décideraient au dernier moment, d’où l’importance des investitures. Un tiers pensent que
ne sont pas compatibles, un autre tiers gardent l’espoir et le dernier tiers restent très confiants, donnée importante pour l’avenir de certains ex-UDF au sein du mouvement. Un tiers s’opposent à l’existence d’un
adhérents, les autres sont favorables pour diverses formules. A titre d’information, François Bayrou a toujours déclaré qu’il ne voyait pas l’intérêt d’un mouvement jeunes. Concernant ce dernier,
aux municipales à Pau, 25% auraient souhaité qu’il consulte les adhérents de Pau au préalable mais les deux tiers ne souhaitaient pas qu’il se lance en tant que tête de liste. Par ailleurs 44% seraient favorables à la
gouvernementale et 10% seraient indifférents. Plus de la moitié (52%) préfèrent qu’il n’y ait
aux scrutins de liste ni consigne de vote au 2ème tour, mais une liberté individuelle de rejoindre une liste entre les deux tours. En matière d’organisation, les deux tiers seraient favorable à la création d’une
appelée par exemple
. Naturellement la quasi-totalité des adhérents souhaitent être au cœur de l’organisation et participer en particulier aux investitures et nominations des représentants.
Concernant les orientations thématiques, ils sont partagés à moitié entre plus de
et l’autre moitié souhaitant qu’il y en ait autant voire moins qu’aujourd’hui. Sur un retour du
ils sont également partagés à 50/50. Un tiers s’oppose aux
et les autres demandent plus de garanties. Ils sont majoritairement contre la
sur les chaînes publiques de télévision, notamment par crainte d’une trop grande dépendance à l’égard du pouvoir en place et d’une augmentation des prélèvements. 27% sont pour la dépénalisation du
et 20% pour une légalisation. 47% veulent faire évoluer la réglementation en matière d’
, notamment en faveur d’une sanction graduelle, mais 43% de veulent rien changer. 69% sont pour une égalité de statuts entre
hétérosexuels et homosexuels et 69% également sont favorable à l’
, dont 44% pour l’adoption plénière. Par ailleurs 65% sont favorables à ce qu’un homme puisse porter le
de son épouse. En matière de sanctions judiciaires ils sont favorables à la
plutôt qu’à l’emprisonnement. Les adhérents sont partagés sur le caractère démocratique de notre
mais souhaitent quasiment tous l’améliorer. Ils auraient d’ailleurs souhaité à 80% un
. Plus globalement, au sujet de la
, 64% sont pour un cloisonnement des budgets. Seuls 15% s’opposent à la création d’un organisme de contrôle du service public en remplacement de la
. En matière d’éducation, 64% sont favorables à la diffusion en classe de
pour traiter de problèmes touchant les adolescents. Ils sont 59% à ne pas souhaiter remettre en question les contrats de l’Etat avec les
et aux deux tiers favorables à une extension de la
à l’école. Ils sont pour un assouplissement de la
tout en souhaitant l’accès à l’école publique ou privée la plus proche du domicile de l’élève. Seulement 36% sont favorables à la
mais 51% souhaiteraient une tarification dégressive en fonction du revenu des parents. Enfin 45% veulent l’extension du
à toutes les filières universitaires alors que 29% souhaitent la suppression du Numerus Clausus. Concernant un sujet d’actualité, l’
, 73% y sont favorables dont 29% y compris pour les souffrances psychologiques. Sur l’
, 40% veulent supprimer la clause de conscience alors que 46% s’y opposent. 46% sont pour un système de
par point contre 42% qui y sont opposés. 58% des sondés souhaitent que le maintien de l’inscription des rmistes sur la liste des
soit obligatoire, 27% ne le souhaitent pas. Au sujet des
s, proposition phare du projet présidentiel de Bayrou, 51% n’y voient que des avantages, 38% y voient quelques risques et 8% y voient même autant de risques que d’avantages. Pour l’
justement, seuls 21% souhaitent conserver le mode de scrutin actuel alors que 34% souhaitent le même mode de scrutin qu’aux législatives. Enfin pour rester dans le domaine électoral, 84% sont pour une reconnaissance du
à toutes les élections. 62% pensent qu’on peut à la fois continuer à
mais 26% donnent la priorité à l’écologie. 27% trouvent l’idée d’un
très intéressante et ils sont 65% en tout à être prêt à essayer cette mesure. 48% des sondés ne veulent rien changer à la législation en matière de
mais 52% attendent une évolution, globalement pour plus de liberté. Un système original de
emporte l’adhésion de 68% des sondés. Concernant la
, 56% semblent favorables à une incitation financière significative et originale auprès des jeunes pour les aider à s’insérer. Au sujet de la
, 71% trouvent très intéressante l’idée d’un réseau national de MCTE (Maisons de la Création et Transmission d’Entreprise). Enfin 70% trouvent très intéressante l’idée d’un
puisque les femmes ne représentent qu’un tiers des adhérents. Pour l’anecdote, la moitié n’a jamais fumé de cannabis de sa vie…
Concernant le fonctionnement interne du Mouvement Démocrate, 74% des adhérents

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