dimanche 25 avril 2010
LIP DUB - CHUM - RICHARD PETIT - LE PRINTEMPS
samedi 24 avril 2010
autorisé aux mineurs de plus de 18 ans. :)
Salah Hamouri : vous connaissez !
Polygame et fier de l'être
Et nous en avons un célèbre en la personne de Paul Bocuse qui lors d'une Interview donnée le jeudi 15 décembre, parue dans le Daily Telegraph disait
"J'adore les femmes et nous vivons trop longtemps de nos jours pour passer une vie entière avec une seule » (…) « Elles sont toutes heureuses, avec moi et entre elles, et si j'additionne le temps que nous avons passé ensemble en tant que couples, j'arrive ?nbsp; 145 ans ». (…) « C'est une vision un peu machiste, mais je suis un homme de mon temps et pense que quoi qu'elles disent, les femmes aiment les hommes machistes". Et il ne parlait que des officielles, les autres, il devait y en avoir tellement qu'il en oubliait les visages et certainement les noms.
Et quand il demande à son collègue de l'immigration Eric Besson de déchoir de la nationalité française sa cible du jour, il ferait mieux de balalyer devant sa porte et celle de son collègue qui est loin d'être une sainteté en la matière comme le précise son ex femme Sylvie Brunel ici .
dimanche 18 avril 2010
Resister, dénoncer, une seconde nature
voici un lien vers le site menacé
http://danactu-resistance.over-blog.com/article-palestine-bds-menaces-sur-notre-site-de-resistance-48828144.html
Histoire d'un cauchemar permanent
Je profite de cet article pour relayer cet appel ici
référence 1 , référence 2, référence3, référence4
L'Islande tousse et c'est toute l'Europe et le monde qui sont en train de tomber malade
Et ce nuage qu'on disait peu dangereux au départ commence à affoler les pouvoirs publics. On déconseille les avions de décoller afin d'éviter qu'ils tombent en panne mais on n'est même pas capable de connaître le fin mot de l'Histoire"
Profession : Mulet : Lieu : Europe
vendredi 16 avril 2010
Urgences médicales à Lyon:témoignage
Inauguration de la place Ben Gourion à Paris. C'était hier
samedi 10 avril 2010
en ton nom liberté, on assassine!
mercredi 7 avril 2010
Douce France, le pays de mon enfance ........
Monsieur le Président, je m'en fous de votre vie privé
disparition avant terme d'un leader raciste
Et moi qui croyait que le seul cow boy de France était à l'Elysée
La scène s'est déroulée le 26 mars dernier à Marseille. Vers 10 h, devant le lycée Antonin-Artaud, trois élèves auraient insulté une jeune fille. Cette dernière aurait immédiatement appelé sa mère, commandant de police de Plan de cuques, une commune proche de Marseille, raconte France 3.
12 policiers au lycée
"Dans la demi-heure suivante, 12 fonctionnaires de police, à bord de trois véhicules de service de Plan-de-Cuques se rendaient au lycée", indique le syndicat national des enseignants du secondaire (Snes) dans un communiqué. Avec à la tête du cortège, la mère de la victime présumée, selon France 3.
Huit heures de garde à vue
Le Snes rajoute que les fonctionnaires auraient demandé à ce que les trois garçons "leur soient amenés sur le champ". La suite relèverait de l'interpellation classique : transport au commissariat, fouille, menottes, prise d'empreintes, de photos et prélèvement ADN... La garde à vue aurait duré 8 heures, selon France 3.
Enquête interne
Contactée par La Provence, Élisabeth Bianchi, la commandante de police, reconnaît son erreur."Il est évident qu'avec le recul, je n'aurais pas dû agir comme ça. J'ai de la rancoeur, mais j'assume tout", avoue-t-elle avant d'affirmer que dans cette affaire "tout a été monté en épingle". Sa version des faits : "J'étais en civil. Pas en tenue. On est loin de la mère de famille qui débarque avec des armes de tous les côtés. Ces jeunes n'ont jamais été menottés. On les a emmenés docilement et tout s'est bien passé". Les parents, alertés par l'établissement, ont été choqués par cette intervention. Le directeur départemental de la sécurité publique a accepté de les rencontrer vendredi dernier. Une enquête interne aurait été lancée.
Julie lescaut (Nouveau générique)
Au pays des Droits de l'Homme, il n'y a plus d'Hommes
Monsieur Ibrahim NOUR a passé plus de 25 ans de sa vie en France, a été titulaire de la nationalité française et n'a pu effectuer par méconnaissance les démarches à entreprendre pour conserver celle-ci dans les 12 mois qui ont suivi l'indépendance de Djibouti en 1977. Il ne peut ni ne veut retourner à Djibouti où il a déjà subi des sévices et où son existence est menacée.
Cette rencontre publique avec la presse fera le bilan des initiatives de soutien, des recours juridiques avec Me Delbès son avocat, et des nouvelles actions en cours face à cette nouvelle illustration de la logique inhumaine des politiques actuelles concernant les étrangers et les migrants.
VENEZ NOMBREUX !!!!
Vaulx en Velin, le 11 janvier 2010
Nour Ibrahim Mohamed
15, chemin Hector Berlioz
69120 Vaulx en Velin
Tél : 04 26 65 34 36
Mobile : 06 15 11 05 40
Monsieur le Maire,
Je suis un habitant de Vaulx en velin et je vous écris pour vous alerter sur une situation personnelle qui me préoccupe au plus au point. Je viens de recevoir une lettre recommandée signée par le préfet du Rhône qui « m’invite » à quitter le territoire français avant un mois. Cette décision fait suite à ma demande de 2002 d’être rétabli dans la nationalité française qui m’a été retiré il y a quelques années. De surcroit, l’OFPRA m’a notifié en novembre 2009 un rejet suite à une demande d’asile. Depuis je vis une situation kafkaïenne qui m’angoisse en permanence. Pour vous éclairer précisément, permettez-moi de vous relater toute l’histoire :
En 1977, au moment où Djibouti accède à l’indépendance, pays dont je suis originaire, je vivais en France jouissant de tous mes droits de citoyen français. Et en aucun cas je n’ai été averti que je devais renouveler auprès des autorités compétentes ma demande de confirmation d’être établi dans la nationalité française né de l’accord de décolonisation établi entre la France et les autorités indépendantes du nouvel état de Djibouti. Et cela dans un délai d’une année. En 1980, je décide de rentrer à Djibouti pour des raisons familiales et j’ai utilisé pour cela mon passeport français.
Au bout des quelques mois, j’ai pris attaches avec les services consulaires français à Djibouti afin de refaire mon passeport qui venait d’expirer. Le jour du rendez-vous je n’ai pas pu rentrer dans le bâtiment consulaire puisque je fus appréhendé Manu militari par des agents de la police djiboutienne qui m’ont jeté au cachot et accusé de trahison vis-à-vis du jeune Etat indépendant. Après moult péripéties bureaucratiques et pour revenir en France et reprendre mon travail, j’ai accepté de voyager avec un passeport djiboutien et, sans que je le sache, j’abandonnais, sans mon accord ma nationalité française. Une fois en France, je n’ai eu aucune difficulté tant que je travaillais et circulais avec ma carte d’identité française que j’avais précieusement conservée.
Cette situation « normale » a duré près de deux années. En 2003, j’ai décidé de renouveler ma carte CIN auprès des services de l’état civil de Vaulx en Velin et grande fut ma surprise quand j’ai été averti que je n’étais plus de nationalité française dans la mesure que je n’avais pas renouvelé ma demande après l’indépendance de Djibouti. Depuis je vis un véritable cauchemar et je n’ai cessé d’entreprendre des démarches qui n’ont pas abouti, si ce n’est d’être sommé de quitter le territoire français dans les plus brefs délais !
Monsieur le Maire ! Je suis une personne âgée de 70 ans et j’ai passé 28 ans à travailler et à vivre en France. Je suis retraité et je perçois des rentrées d’argent stables. J’ai même repris depuis 2007 une activité professionnelle à temps partiel en tant qu’électricien dans une entreprise à Vaulx en Velin. Je vous prie donc d’intervenir auprès du préfet afin que cette procédure d’expulsion soit gelée et que je puisse avoir la possibilité d’obtenir une carte de séjour afin de continuer à vivre mes vieux jours en France, plus exactement à Vaulx en Velin, ville que j’aime et où je connais beaucoup de gens. Repartir à Djibouti m’occasionnerait beaucoup de problèmes et à mon âge je n’ai plus la force d’y faire face.
Dans l’attente de votre réponse et de votre soutien actif et solidaire, veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression des mes cordiales salutations.
Nour Ibrahim Mohammed
mardi 6 avril 2010
Bavure ! mais non juste des dégâts collatéraux .
lundi 5 avril 2010
A qui appartiennent les médias en France ?
Lisez l'article et vous le saurez :
http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/la-concentration-des-medias-n-est-72443
dimanche 4 avril 2010
Il paraît qu'Israël est une démocratie où la presse est libre
Mort d'un vigile: mais chut !!!!!, ce n'est pas un crime raciste.
samedi 3 avril 2010
SIONISME MUSULMAN
le joker de l'antisémitisme
Reporter ou indic
NOUS SOMMES TOUS DES SALAH HAMOURI
SALAH HAMOURI EST UN JEUNE FRANCO PALESTINIEN EMPRISONNE EN ISRAËL DEPUIS 2005.
En Mars Salah a fêté ses 5 ans de détention.
Accusé d’avoir comploté avec 2 autres jeunes contre le rabbin Ovadia Yossef, chef spirituel du parti religieux d’extrême droite SHAS, au motif qu’ils étaient passés en voiture devant le domicile de celui-ci
SALAH A DU CHOISIR ENTRE PLAIDER COUPABLE ET AVOIR 7 ANS DE PRISON OU NON COUPABLE ET 14 ANS DE PRISON.
Sur ce blog, nous avons défendu Salha Hamouri à plusieurs reprises. voici les articles qui relatent son cas.
Et une vidéo tournée l'année passée à Grigny quand il fut déclaré citoyen d'honneur de la ville
http://parolededemocrate.blogspot.com/2009/06/lettre-de-salah-hamouri.html
http://parolededemocrate.blogspot.com/2009/11/salah-hamouri-enfin-sur-france-2.html
http://parolededemocrate.blogspot.com/2008/10/salah-on-ne-toublie-pas.html
http://parolededemocrate.blogspot.com/2008/07/libert-pour-salah-hamouri.html
Halal ! mon oeil.
Les journalistes font connaître le résultat de leurs trouvailles aux directions de McDonald's et de KFC pour recueillir leurs réactions. Un triomphe. McDonald's dénonce des méthodes de voyou, exige de voir le film et surtout de connaître le nom du franchisé. L'agence refuse mais doit concéder un visionnage au terme duquel le vice-président de McDonald's France disposera d'un quart d'heure de réflexion avant de répondre face caméra. Le quart d'heure se transforme en une journée puis en trois jours et finira par un refus de répondre. Entre-temps, la pression monte. La régie publicitaire de M6 intervient auprès de la rédaction en chef. McDonald's exige la livraison du film et de tous les rushes tournés en caméra cachée faute de quoi il menace la chaîne d'un procès. Des députés appellent le producteur en lui demandant de « laisser tomber » avec cet argument imparable : « C'est des copains. » Copains vraiment ?
A M6, la pression est maximale, les réunions se succèdent. Le lissage du film aussi. La séquence du syndicaliste racontant que les croque-monsieur sont baptisés « disques durs » quand ils ont trop attendu, est coupée. M6 et McDonald's finissent par transiger : pour contrebalancer l'image désastreuse donnée par le film, une nouvelle séquence sera tournée chez un autre franchisé. Un savoureux moment de communication d'entreprise.
La réaction de KFC est moins brutale. Le directeur général accepte l'interview mais répond trop légèrement. Il en prend conscience et exige une seconde interview. Elle se déroulera chez les avocats de KFC. Communication verrouillée là aussi. Une semaine avant la diffusion, la direction de l'information de M6 et l'agence s'accordent sur une version finale. Fin de l'histoire ? Pas encore. Au dernier moment, les dirigeants de M6 se ravisent et exigent la suppression de toute la séquence McDonald's et KFC. Tony Comiti refuse et renvoie la balle à M6. En clair : nous vous livrons le film, à vous d'assumer la censure. M6 assume. L'intégralité de l'enquête est « trappée ». Coût pour la chaîne : environ 70 000 euros et un bug d'image sans lendemain. Moins cher que de perdre un de ses si chers annonceurs.
les vidéos sont à voir ici
Mc Donald's - reportage censuré par M6
KFC Halal ? voici la vidéo censurée par M6
jeudi 1 avril 2010
Voyage au coeur de facebook
Ayant eu la "chance" d'avoir jusqu'à plus de 3000 contacts, je ne saurai les appeler "amis", je ne devais pas en connaitre plus de 100 personnelement, j'ai pu me rendre compte de la détresse humaine qui semblait être le commun de la plupart des actifs de facebook dont certains cumulent les 3*8 tous les jours accrochés à leur Iphone à cliquer machinalement sur des "j'aime" ou coller des ":)" ou des "mdr" en guise de réponse. Il est vrai qu'on en devient facilement accroc au point d'en devenir malade et de ne plus pouvoir distinguer, le réel du virtuel. Le summum de la bétise facebookienne , ce sont les applications ludiques. Certains se sont définis l'objectif d'être dans le tableau des meilleurs ' traduire des plus malins tricheurs et certains jeux tournent à une compétition de tricheurs qui jurent sur tous les saints du monde qu'ils ne trichent jamais et qu'ils cliquent 40h/ jour sur leurs claviers pendant des mois. Appréciez la prouesse, d'autant plus, il n'y a rien à gagner à part voir sa tronche offerte en pâture à des milliers d'autres tronches. Et puis il y ceux qui veulent attirer l'attention à un ou une alors ils décident de la bombarder d'images ridicules qui innondent votre mur à ne plus savoir où vous habitez. Et ce sont des millions qui font ça jour et nuit et pas forcément de jeunes enfants mais des adultes plus ou moins vieux , des femmes en manque d'amour qui au détour d'un bout de poème espèrent retrouver l'âme soeur égarée dans les méandres de la toile et c'est aini que leur profil change de ton avec un " x est célibataire ou x est en couple ou relation compliquée . il a rrive que dans la journée, une même personne passe de célibataire à mariée puis célibataire et à nouveau fiancée et compliquée pour finir la nuit dans les bras de je ne sais qui. des fois, on a du mal à suivre et il ne faut mieux pas se planter dans les mots utilisés parce que s'ils ne plaisent pas, on vous descend en flêche, vous êtes bloqué, supprimé et même parfois montré du doigt afin que chacun puisse venir vous lyncher. Vous me direz, ce n'est que du virtuel, Hé bien non, pas si virtuel que ça. Les esprits s'échauffent vite derrière l'écran et ça finit parfois devant les tribunaux. Vous me direz une époque, ça se terminait en duel. Aujourd'hui, c'est plus soft.
On pourra débattre longtemps sur les effets maléfiques ou bénéfiques de Facebook.
Disons le seul vrai intérêt est qu'il permet de diffuser une masse d'informations très rapidement et facilement à moindre coût; Sauf que comme toute chose, trop d'infos tue l'info et entre ceux qui ne font que relayer la même chose en mille exemplaires et d'autres qui répandent des rumeurs amplifiées par d'autres, il ne reste pas grand chose de la vraie info.
J'ai donc décidé de dire bye bye à ce monde impittoyable sans pour autant desactiver mon compte que je laisse comme souvenir de mon passage où chacun pourra à sa guise se défouler .
Ah oui, je n'ai pas parlé des conspirateurs et apprentis révoluttionnaires qui se prennent pour Che guevara et qui s'imaginent refaire le monde devant leur écran.
Pour terminer cet article, je rajouterai quand même et pour finir sur un ton optimiste, j'ai rencontré des gens extraordinaires que j'aimerai garder parmi mes amis, même si avec certains , ce ne fut pas tout rose sur Facebook.
'Boycott, désinvestissement, sanctions', une campagne pour la justice
Pour la Campagne Boycott désinvestissement danctions (BDS) à l'égard d'Israël, l'heure est semble-t-il en France à la criminalisation et aux attaques diffamatoires. La tribune publiée par Me Michaël Ghnassia sur Le Monde.fr du 24 mars n'en est qu'un exemple. La rhétorique déployée par ce dernier renvoie un geste citoyen pour obtenir l'application du droit international, le boycott, à une "hérésie morale". Le boycott a pourtant une histoire en forme d'arme des sans-armes, que Me Ghnassia semble bien oublier : boycott des bus de Montgomery en 1955 à l'appel de Martin Luther King, boycott de l'Afrique du Sud contre l'apartheid à la fin des années 1970… A une échelle plus modeste, en janvier 2001, des ouvriers de Calais et Ris-Orangis menacés de licenciements appelaient à boycotter leur propre compagnie, Danone.
La suite en cliquant sur ce lien
Bienvenue à mon blog cher internaute de Gaza
Il ne faut pas grand chose pour être heureux
Hé oui, il m'a suffit de voir mon fils monter du haut de ses 6 ans sur la marche la plus élevée du podium, récupérer sa petite médaille d'or même si ce n'est même pas du plaqué pour se sentir un peu égoîstement fier de sa progéniture. J'ai à plusieurs reprises assisté à des compétitions où mes enfants participaient et notament celles du plus grand qui a opté pour le rugby et où il fait des merveilles avec la fougue d'un jeune ado qui a appris à jouer de manière collective tout en se faisant plaisir individuellement et qui grâce au sport , apprend à se battre tout en respectant son adversaire. Ce dimanche, c'était tout autre chose. Le dernier de mes mes trois enfants cherche sa place et a tendance à imaginer qu'on le néglige. Ce jour là il a voulu se faire plasir mais aussi montrer qu'il est là même à 6 ans.