C'est en parcourant une revue, que naïvement 'hé oui à mon âge, quel honte', j'ai découvert ce traffic que j'assimile au proxénétisme et qui se déroule majoritairement à Paris. J'ai du mal à admettre que des jeunes filles ou femmes puissent être réduites pour avoir un toit sur la tête à se donner corps et âme.
Voici une annonce type qu'on a aucun mal à trouver.
Que font les politiques à PARIS.
Qui dans programme municipal aborde ce délicat sujet.
Comment peut on accepter que ce genre de faits puissent se dérouler ici.
Qu'en pense Fadéla Amara de 'NI PUTES NI SOUMISES'.
Dans ce cas de figure , les jeunes femmes locatrices deviennent pour un toit sur la tête de véritables esclaves sexuelles.
J'ignorais que le droit à un toit était associé au devoir de se faire sauter.
Voici un article de Libé qui en dit long. Dommage que ce problème soit totalement ignoré par les candidats des municipales. hé les amis, il n'y a pas que les bobos .
Tahar, coeur de Lyon
mercredi 13 février 2008
Appartement contre service
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