mercredi 17 septembre 2008

Affaire El Durah, 8 ans après, ce n'est pas fini

Jeudi 18 septembre à 20 h 30 au Centre Communautaire de Beaugrenelle 11 rue Gaston-de-Caillavet, 75015 Paris. L’affaire Al Dura Antoine Spire recevra successivement : Arlette Chabot, directrice de l’information de France 2 et Philippe Karsenty, directeur de l’agence Media-Ratings


D'abord pour vous rafraichir la mémoire une petite vidéo:








Mohamed al-Durah
par edyes




Je vais essayé de résumer en deux mots l'affaire.





Les faits tout d'abord:



Le 30 septembre 2000, France 2 diffusait un reportage commenté par Charles Enderlin qui attribuait la mort du petit Mohamed Al Dura à des tirs venus des lignes israéliennes au carrefour de Netzarim (Bande de Gaza).



Cet évènement allait être suivi par d'immenses manifestations dans le monde entier et alimenter en haines et violences la seconde intifada palestinienne.



Sauf que dans le même temps de nombreux sites internet à tendance pro-israélienne ne l'entendent pas de cette oreille et déclenchent les hostilites comme l'indique cet article. nous étions en 2004 et Arlette Chabot, directrice déléguée à l'information de la chaîne publique, vient de porter plainte contre X, pour diffamation publique.



Une vidéo défend la partie adverse à France 2 la voici en dessous












L'Effroyable Imposture !
par Ben-Yehuda


En juillet 2008 voici un explication d'Arlette Chabot sous forme de vidéo
et cela après Le procès en appel de l'Affaire Al Doura s'est soldé le 21 mai 2008 par la relaxe de Philippe Karsenty du procès en diffamation qui lui avait été intenté France 2 et Charles Enderlin









Affaire al-Dura-Enderlin-Arlette Chabot s'explique-3-7-08
par bridgetower





En résumé l'affaire se poursuit Arlette Chabot se pourvoyant en cassation.



Dans cette affaire, on constate qu'il n'est pas bon d'être israélien et critiquer Israël.



Les organisations françaises sionistes sous couvert de prête nom veillent au grain et dans le même temps, il est certain que les vidéos montrent qu'il y a peut être eu de la manipulation pour faire croire autre chose. Un peu comme l'affaire de Timisoara (Roumanie).



Quelque soit l'issue du procès et de la rencontre de demain, depuis ce jour des centaines de palestiniens dont beaucoup d'enfants et de femmes sont tombés en victime innocente de la barbarie sioniste et pour beaucoup de ces faits, Tsahal n'a jamais contesté les faits, elle les a juste de manière cinique chercher à les justifier.



Ce procès au delà de l'affaire Durah est avant tout celui du scoop médiatique et donne à réfléchir sur le rôle du journaliste en période de conflits.

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